mercredi 6 octobre 2010

Hôtel de la plage

Le déjeuner fut excellent. Nous nous regardions dans les yeux, oublieux du reste du monde.Un couple élégant d’une quarantaine d’années déjeunait lui aussi à deux tables de nous. Je les observais du coin de l’oeil. Ils jetaient de fréquents regards vers notre table et chuchotaient en riant. Ils avaient l’air sympathique et ouvert. D’un coup, une bouteille de vin apparut sur notre table. La serveuse nous dit : « Ces messieurs/dames de la table à côté ».Nous remplîmes nos verres et nous tournâmes vers eux pour les saluer. « Vous êtes français ? » « Oui, mais venez donc à notre table et merci pour le vin ».Elle s’appelait Danièle, était petite rousse et pulpeuse. Lui Georges, les cheveux déjà légèrement argentés, d’allure sportive et décontractée. Ils étaient ici en vacances. Nous bûmes la bouteille puis une autre, puis des cafés. Ils habitaient l’hôtel de la plage depuis quelques jours. Georges nous avoua que depuis le balcon de leur chambre il nous avait vu dans l’eau avec ses jumelles, tout la bas à la fin des bouées. Ce qu’il avait vu lui avait bien plu (rires). Je regardai Franceska qui rosit. Nous étions maintenant à la fin de l’après midi. La plage, un désert. Plus de client dans la taverne. « On fait quoi ? » Demanda Georges. « Venez boire un verre dans notre chambre. Il y a une si belle vue du balcon ». Clin d’œil ? Je consultai ma femme du regard. Un battement de paupière. C’était oui.La vue de la terrasse était vraiment belle. Rien que la mer et dans le lointain cotonneux, l’île d’Aegina.La chambre était vaste, occupée par un lit géant. Georges saisit le téléphone intérieur et commanda une bouteille de champagne et des amuse-gueule. Il avait un Ipod qu’il branchât sur les baffles de la télé. Il avait bon goût en matière de musique. Le jour tombait lentement mais il n’alluma pas la lumière. La pénombre se fit plus épaisse. Danièle disparut un long moment dans la salle de bain. Elle revint enfin vêtue d’un déshabillé élégant, vaporeux, vaguement transparent. Elle s’allongea sur le lit, une jambe repliée sous elle. Georges alluma la lampe de chevet. Une douce lumière chaude et tamisée envahit la chambre.A part un pouf et une chaise, pas d’autres endroit pour s’asseoir. Franceska était assise sur le bord du lit, j’étais sur le pouf. Georges, le verre à la main, s’allongea à moitié sur le lit. Il avait enlevé ses chaussures. La conversation avait légèrement dérapée, plus que légèrement. Nous parlions maintenant de libération sexuelle. Enfin, Georges en parlait avec une certaine véhémence. Franceska me regardait, un léger sourire sur les lèvres. Je vis la main de Georges se posait d’abord sur le genoux de Danièle puis remonter lentement vers le haut de sa cuisse à demi dénudée. Danièle nous observait, les yeux mi-clos, les deux mains sur ses seins qu’elle semblait caresser.L’atmosphère se chargea lentement d’électricité. La tension érotique se fit palpable au fur et à mesure du temps écoulé et de la conversation de plus en plus chaude. La cuisse de Danièle était maintenant nue jusqu’à l’aine et quelques poils roux et bouclés dépassaient la bordure de son déshabillé. Sa main droite avait disparu à l’intérieur du vêtement et il était visible qu’elle se massait le sein et en pinçait le bout. Je vis le regard de Franceska se river sur ce spectacle. Elle passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres sèches. Je vins m’asseoir à son côté sur le lit.Georges saisit de ses doigts le bord du déshabillé et l’écarta entièrement dévoilant ainsi la nudité de Danièle qui écarta les jambes. Sa vulve nichée dans sa toison rousse nous apparut. Fascinés par cette image nous n’avions pas remarqué que Georges, profitant de notre émotion, avait débouclé sa ceinture et descendu la fermeture éclair de son pantalon de toile exposant ainsi son slip d’où débordait le bout enflammé de son gland. Je posai ma main sur le genoux de ma femme et le senti trembler sous mes doigts.Georges était maintenant positionné, à genoux, à la tête du lit. Sa verge dénudée frôlait la bouche de Danièle, une belle verge au gland violacé en forme de champignon. Danièle ouvrit la bouche et, très lentement la queue bandée s’y introduisit jusqu’à la racine. Des doigts de sa main droite, Danièle écarta les grandes lèvres sur l’univers nacré et rose de son con.C’en fut trop pour moi. Je me dressai et en deux secondes ma verge douloureuse et raide fut dehors. Franceska, les yeux fixés sur le spectacle, se laissa déshabiller entièrement. Sa respiration était rapide. Elle se mit à ramper sur le lit et bientôt son visage se trouva joue à joue avec Danièle, à quelques centimètres de la queue qui allait et venait dans sa bouche. Elle ne résista pas longtemps, sa main se saisit du membre et l’engouffra entre ses lèvres. Ma femme était couchée sur le côté contre Danièle sur le dos, les jambes écartées. Je me penchais d’abord sur la vulve grande ouverte de Danièle et me mis à la sucer. Dans le même temps, je plongeai deux doigts dans le vagin trempé de Franceska qui continuait à pomper la queue de Georges en alternance avec Danièle.Franceska souleva une cuisse m’invitant ainsi à la pénétrer ce que je fis, à genoux entre ses cuisses. Je vis la main de ma femme remplacer ma bouche sur le clitoris de Danièle, se mettre à le caresser, à le masser. Puis elle enfonça deux doigts en crochet dans le vagin béant, puis un troisième. Elle se mit à les faire aller et venir rapidement. Je pouvais entendre le bruit mouillé que cela produisait. Le quatrième doigt rejoignit les autres et enfin le pouce. Franceska avait désormais sa main enfoncée dans le vagin dilaté, il s'en fallait de peu pour qu'elle y disparût entièrement. Franceska faisait maintenant des mouvements de rotation, poussant lentement, cherchant à aller encore plus loin Je voyais ses jointures disparaître puis réapparaître gluants. Danièle se tordait de plaisir, elle n'allait pas tarder à exploser… Mais non, car Franceska retira sa main lentement, sa main trempée qu'elle tendit à ma bouche pour que je les nettoie, ce que je fis avec avidité.C'est alors que Georges intervint. Il fit mettre Danièle à quatre pattes, en 69 avec Franceska, et lui lécha longuement l'anus. Danièle avait la tête entre les cuisses de ma femme. Elle regardait ma queue allait et venir lentement dans son vagin. De ses deux mains, elle écarta les grandes lèvres pour exposer totalement le clitoris. Elle poussa un long râle quand elle senti la queue de Georges pénétrer son anus puis elle se pencha et posa sa bouche sur le clitoris durci. J'imaginais ma femme caressant les testicules de Georges et alternativement caressant le clitoris de Danièle, introduisant de nouveau ses doigts dans le vagin brûlant, sentant la queue de Georges à travers la fine membrane du périnée.Ah, que le spectacle de nous quatre était excitant à voir! Je sortais parfois ma verge et la plongeais, humide, vernissée, dans la bouche de Danièle. Enfin, je me penchais, et réunissant le maximum de salive la déposais sur l'anus de ma femme. Je soulevais son bassin et disposais un coussin sous ses reins puis je pris ses jambes et les levai bien écartées. Je vis le visage de Danièle envahir la vulve qu'elle se mit à laper. Ma queue pénétra lentement l'anus. Je restai un long moment immobile au fond de ce rectum dont je sentais les contractions spasmodiques.Brusquement je vis frémir les épaules de Danièle. Tout son corps se mit à trembler. Un son étouffé sorti de sa bouche toujours collée à la vulve de FranceskaDans le même temps, je vis un long jet de sperme atterrir sur son dos, puis un deuxième. Cela porta mon excitation au paroxysme. Je fis quelques aller retours rapides et éjaculai sur le visage de Danièle. Mon sperme s'écoula sur la vulve de ma femme et Danièle s'empressa de le lécher. Restait Franceska qui s'était emparée de la verge de Georges, libérée, encore dur, et la tétait gloutonnement Nous la caressâmes tous les trois jusqu'à ce qu'enfin, elle aussi soit submergé par un long orgasme…

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