samedi 25 décembre 2010

apprentissage

 après de longs mois de doutes et de recherches je pris enfin contact avec un homme qui je crois correspondait a mes attentes du moments Nous partagions le meme sens du jeu. nos correspondances s intensifiées et nos désirs aussi. Nous avons beaucoup écrit mots crus pervers et parfois trés chatiés. rendez vous fut pris a paris il m avait demandé d etre en jupe bas talons aiguilles pas de string guépiere très sérrée afin que ma taille soit ceint et ainsi face ressortir ma croupe et mes fesses manteau. Je n étais pas fière durant tout le trajet pour me rendre sur le lieu décidé. Mais je voulais me réveler et vivre enfin un instant plus qu ardemment souhaité. Enfin postée au lieu dit j attendais anxieuse et presque exitée. Je vis alors un homme assez grand très bien vétu s approcher d une démarche sure et souple arrivée a mon niveau il s arréta et me demanda d une voix douce fiona je suppose je fis oui de la téte sans osée le regarder ni affronter son regard.Il m attira a lui d un geste brusque et m embrassa rentrant sa langue au plus profond de ma bouche je sentais mon coeur explosé. Ce baiser si impérieux sauvage inaugurait une soirée riche en sensualité nous étions d accord pour ne pas faire de grands discours me tenant toujours par la taille sa main glissa dans mon manteau remonta le long de ma cuisse avec beaucoup de voluptuée c était délicieux ét très sexy il atteignit enfin l entrée de mon sexe préparé selon sont souhait épilé il caressa mon intimité a pleine main frottant sa paume sur toute la largeur de ma chatte je restais la dans l attente de ces doigts je les voulais en moi la dans cette rue si passagére je souhaitais me faire doigter sur le champ tellement l exitation était grande. je cherchais sa main et suivaiS ces mouvements de mon bassin sans retenue d ailleurs .Je devenais petit a petit une petite salope son role était de me rendre chienne. Il cessa sa caresse et je me sentis vide et ridicule puis avec gentillesse il me proposa de diner ce que j acceptais un peu frustrée. J avais aussi honte d étre aussi assoifée de sexe et de jeux. Arrivée au restaurant aprés un parcours agréable il me demanda de m assoir a meme mes fesses la jupe relevée. Je relevais alors le morceau de tissus qui cachait ma nudité et senti sous mes fesses le cuir froid de la chaise. Nous reprenions alors notre conversation il me sentait contractée il commanda alors deux verres que nous sirotions je commencais a me sentir plus a l aise et a son écoute ce qu il remarqua et lui permis de me demander d écarter les cuisses afin qu il puisse disposé de mon sexe ouvert pour lui j entrouvris les cuisses et écartais légerement ma jupe afin qu il pus voir mon sexe endessous de la nappe il repris sa caressse le long de mon bas et doucement s enquis de mes expériences passées avais je déjà été violée baisée brutalement par l anus fouéttée etc..... j avais besoin d un autre remontant qu il commanda immédiatement afin de lui répondre librement et sans tabous je savais que cet homme allait utiliser mon corps a sa guise et la cyprine m envahissait a l entendre me parler de cul. le repas fut vite pris je le sentais prét a me surprendre il m engagea a me lever de table et a ma rendre aux toilettes afin de me raffraichir ce que je fis avec plaisir. Je pensais pouvoir me recomposer un personnage plus lucide et moins lubrique mais c était sans compter sur la volonté de mon partenaire . Peu de temps aprés mon arrivée aux wc je refaisais ma coiffure et redessinée mes levres je le vis arrivé derriere moi leve ta jupe et montre moi ton cul je m executais doucement creuse ta croupe que je vois le cul qui va me servir de vide couille ce soir. Je tendais alors mon derrière écarte tes cuisses je veux voir ta chatte j écartais du mieux que je pouvais je savais le jeu engagé c était excitant d etre la observé par cet homme aux risques que d autres individus n arrivent mais il n avait pas l air de sans soucier beau cul salope furent ces mots ne bouge pas ne geint pas puis il claqua ma fesse brutalement de sa main recommenca sur l autre aussi virulement je tenais le lavabo abassourdi il recommenca dix fois sur chaque fesses et frappa mon sexe aussi je ne pus retenir des larmes d humiliations offerte et punie pourquoi lorsque il eu fini j eus droit a son explication tu es trop pute dés le début te faire caresser dans la rue et un role de pétasse il te fallait une correction. Recompose toi un visage nous remontons il me laissa ainsi la jupe sur les reins encore choquée mais heureuse malgé tout j aimais les atouts de cet hommes surprenants enfin maitre de mon corps et trés exigeant. Rouge le cul en feu je refis surface auprés de lui nous partions il m enveloppa de mon manteau et nous partimes a la recherche de sa voiture il ne me donna aucune explication sur notre parcours futur son vehicule était stationné dans une impasse va devant la voiture et releve ta jupe je veux voir ton cul rouge il alluma les feux de croisement et je dus me tenir contre le mur cambrée il resta ainsi a me soumettre a son regard un long moment puis klaxona afin que je monte enfin dans l habitacle au chaud regarde dans la boite a gant ce que je fis la je trouvais deux gods énormes c est pour te défoncer le cul ce soir je ne pouvais qu optempérer malgré la taille des engins qui me déchireraient surement mon intimité. Suce ma queue tout de suite ta bouche a besoin de servir et mes couilles sont pleines il m attrapa les cheveux et sans préambule tira ma téte contre sa braguette sors ma bite ce que je fis rapidement il me tirait les cheveux et m enfonca son chibre jusqu a dans la gorge il donnait le rythme brutalement m enfoncant jusqu aux couilles son sexe de bonne catégorie tu gouttes c est bon tu aimes suce bite active toi tire moi le jus je pleurais d étouffement je devais suivre un mouvement très intense puis il me laboura de coups de queue au fond de la gorge et sortis son sexe pour m éjaculer sur le visage qu il inonda de son sperme en grande giclée c est bien tu apprends vite dorénavant je veux ma pipe régulière je te regarde je regarde mon sexe et tu seras que je souhaite que tu pompes avec avidité ma pine j hochais la téte en signe d assentitement j aimais ces directives j en voulais encore je comprenais au fil de la soirée que je devenais une femelle préte a tout pour honorer cet amant. Lave toi le visage on sort voir des amis qui n ont rien a m envier aprés une heure de route nous arrivions dans une maison bourgeoise ou l accueil fut très sympathique on nous conduisit au salon ou quatre hommes étaient assis a une table et jouaient au poker sur le canapé trois femmes a genoux tournées vers le mur jupes relevées croupes et sexes offerts a la vue de ces males. Mon partenaire me fis mettre comme les autres releva ma jupe dévoilant ainsi les marques de ces mains ne regarde jamais dans notre direction tu es la pour prendre des queues au fond de ton cul et a volontés comme les trois salopes qui t accompagnes. Je n osais bougeais pas mal le cul de ta nouvelle pouliche je sentis une présence derrière moi qui entreprenais de m écarter la vulve il m enfonca alors deux doigts brutalamnt dans mon con tres humide ce qui me fit pousser un cris de surprise je recus alors une forte claque sur le cul ta gueule ici tu jouis a la demande je serrais donc les dents et me lassa ramoner longuement j étais au bord de l orgasme lorsque il retira sa main bonne chienne elle apprend vite je vis alors du coin de loeil mon tortionnaire se placer derriere le cul de la jeune femme a coté de moi et lui penettrer le cul avec brutalité sans complaisance je l entendis hurler de douleur il lui démonter le fion a grand coup de bite il l attrapa par les cheveux ferme la prends grosse chienne en silence elle se tut je n entendais plus que le sexe claquer sur le cul et le bruit de la mouille l homme grogna et se vida en elle a grand renforts d allers retours impitoyables. Je sentis alors mon amant revenir vers moi je m habituais a son parfun il écarta mes levres et enfonca le god apercu dans la boite a gants il le glissa avec delicatesse mais l enfoncait de plus en plus j essayais dans la mesure du possible d élargir mon sexe au maximum il me branla doucement tendrement un flot de cyprine sortit de mon sexe et coula le long de ma cuisse hé regardez la chienne elle prend son pied interrésse les autres approchèrent l un se posta devant moi m ouvrit la bouche et je dus le lécher le pomper l aspirer il me giffla a plusieurs reprises pour mon manque de dynamisme je redoublais d éfforts m appliquais a le combler lorsque je sentis un autre membre me grimper sur la croupe et m enfoncer son gland dans le cul mon cul si fragile écoute grosse pute tu gardes le god dans ta chatte et tu prends ma queue dans ton fion dis oui salope dempande moi de te pourfendre ton petit trou je ne pus dire mot j avais une queue dans la bouche l autre dans ma chatte et le troisième m enfila comme un chien il me défonca le cul avec violence j hurlais je pleurais je prenais des féssées mon corps subissait des outrages d hommes forcenés je fus submergée de sexe me faisant pilonner de partout lorsqu ils finirent de se servir de moi a trois je tombais le corps meutri j avais joui et subi enfin ce que je voulais étre leur petite salope il m avait violée le cul sans me demender mon avis et je ne pourrais l oublier les autres filles subir le memes sorts nous étions ce soir des garages a bites j avais l anus en feu mais c etait sans compter sur le quatriéme qui me repris les hanches enfila sa queue dans mon cul et me bourra avec violence jusqu a enfin se vider sur mes fesses aprés cette soirée je pus me laver et mon amant me raccompagna a la porte de mon domicile il écarta mes cuisses me fouilla de nouveau comme une chienne en chaleur il me pinca les seins avec brutalité leve un peu ton cul cochonne il me rentra de nouveau un doigt au fond de mon cul le bougeant avec vigueur tu vois salope ton baptéme est fait tu n auras plus de mal a te mettre a quatre pattes dorénavant pour mes désirs va te reposer demain je t emmene te faire enculer ailleurs j adore voir ton cul se dilater sous les coups de butoir je descendis alors fourbues heureuse j avais enfin celui qui comprenais qui j étais une femelle en rut

vendredi 24 décembre 2010

La grange

C’est le temps des vacances, nous sommes en plein mois de juillet. Tu décides d’aller passer une cette fin de semaine en camping dans les cantons de l’Est en compagnie de ta copine Sophie. Quelques préparations de dernière minute et vous voilà parties ce samedi à la fraîcheur de la rosée du matin couvrant encore le sol. Après une bonne marche en fin d’après-midi, vous ne remarquez pas qu’un orage violent se met en place sans avertir. Une pluie violente s’abat sur vous et la température au bout de quelques minutes chuta de façon importante. Vous cherchez un abri pour laisser passer la chose. Il n’a pas fallu longtemps pour que la chance vous sourie sous la forme d’une ferme isolée à quelques centaines de mètres.

Je profitais de la grange pour moi aussi m’abriter également de l’orage. étendu sur la paille, je m’étais presque endormi. C’est alors que la porte s’ouvre et que j’aperçois ces belles femmes, trempées jusqu’aux os, en particulier toi, dans ton t-shirt blanc et ton short jean. Je vous invite aussitôt à entrer, la pluie tombant toujours en averse. Confuse de la situation, tu demandes s’il est possible de rester le temps que l’orage cesse et laisser sécher votre linge. Je réponds dans l’affirmative puisque je suis également de passage ici. Puisque Sophie de son côté avait un petit imperméable, elle s’offrit pour aller demander aux habitants de la ferme d’utiliser leur téléphone. Elle quitta donc la grange, nous laissant tous les deux seuls.

Voyant que tu grelottais et incapable de bouger, je suis allé chercher une grande serviette accroché au mur. M’en servant comme paravent, tu t’es mise à te déshabiller, t-shirt d’abord, le soutien-gorge et ensuite le short et finalement ta petite culotte. Je te couvris avec la serviette pour la frotter énergiquement contre ton corps pour te redonner un peu de chaleur. Je sentais immédiatement que la bête commençait à réagir dans mon pantalon. Après ce traitement énergique qui dura deux ou trois minutes, je te propose de t’étendre en attendant le retour de ta copine. Tu acceptas sans trop réagir même sachant que tu étais complètement nue sous la serviette. Cela créa une atmosphère particulière ou l’un et l’autre font les choses sans retenu mais simplement naturellement. Je te propose un massage, pour finir de te remettre sur pieds et te redonner un minimum d’énergie. Sans attendre ta réponse, j’étale une autre serviette sur le sol et te demande de t’y allonger.

Je commence par te masser la nuque et les épaules avant d’écarter au fur et à mesure la serviette pour découvrir ton dos que je masse lentement et avec soin, appréciant chaque instant et chaque centimètre de ton corps. Arrivant au bas du dos, j’hésite un peu en attendant une éventuelle réaction de ta part. Face à l’absence de réaction, je vais directement vers tes cuisses et mollets sans oser toucher tes fesses. En remontant, je me risque à passer ma main sur la moitié d’une fesse. Tu semble accepter cela comme un doux réconfort. Petit à petit, tu y trouves un certain plaisir avec cet inconnu. Mes grandes mains et mes gros doigts qui massent merveilleusement bien et prennent possession de ton corps. Sans rien dévoiler, tu n’espères maintenant qu’une chose, que cela ne puisse jamais s’arrêter.

Encouragé par ce silence, je fais tomber l’autre moitié de la serviette pour découvrir les fesses qui me font déjà fantasmer. Je bande comme un cheval, je garde les yeux fixés sur le corps de cette femme inconnue qui devient l’objet de mes désirs. Mon cœur palpite à 150 pulsions minutes. Je pose mes deux mains sur tes fesses et commence un massage tout en douceur et en force en remontant jusqu’aux épaules puis redescendant aux chevilles. Après quelques minutes de ce traitement, j’ose passer à l’intérieur de tes cuisses tout en remontant vers ton dos. C’est alors que tu n’as pu contenir un geste d’encouragement en courbant les fesses pour aller à la rencontre de mes mains, avec l’espoir que je te caresse encore plus cet endroit si sensible et si excitant.


Je ne brusque pas les choses. Je profite des yeux et des mains de ce spectacle unique et remercie dieu qui provoqua cet orage oh combien bénéfique. Je me sens soudain à l’étroit dans mon pantalon. Ma queue prend des proportions surprenantes mais il faut garder son calme. Pour l’instant, tu acceptes d’être massée et c’est tout. Je te demande si tu veux bien te retourner, ce que tu fis tout de suite avec plus ou moins d’hésitation. Je découvre alors l’autre facette de cette si belle femme qui se laisse manipuler par un homme inconnu sans retenue ni pudeur. Tu te sens bien tout simplement, peut-être te dis-tu que tout compte fait, cet homme inconnu t’a soumise en quelques minutes à des caresses que tu n’as pas senties depuis longtemps. Je te masse le cou et les épaules en m’attardant un peu plus sur tes seins. Les pointes de tes seins se manifestent maintenant par une légère dureté. Je couvre tes deux seins de mes mains et je deviens de moins en moins maître de mes gestes. Je te caresse le ventre, les cuisses et en passant ma main près du « triangle des Bermudes ». Je perds le sens de l’orientation et t’écarte tout en douceur les cuisses. Je laisse coulisser un doigt juste à la surface de ton pubis. Je sens que tu es bien mouillée mais cette fois, ce n’est pas la pluie qui en est la cause.

J’insiste un moment sur ton clito. C’est alors que tu écartes carrément les cuisses comme une invitation ouverte. Je me fraye un passage dans ta chatte avec mon majeur et tout en douceur, je te pénètre petit à petit avec mon doigt. C’est tout chaud et tout doux. Tu es manifestement excitée par ce plaisir. Tu lèves un peu les hanches pour sentir un peu plus ce doigt au fond de ton intimité et tu me regardes droit dans les yeux comme pour me supplier d’aller encore plus loin, me supplier de ne pas m’arrêter, ce qui n’est d’ailleurs nullement mon intention.

Je ne résiste pas plus longtemps et je pose mes lèvres sur les tiennes pour t’embrasser avec tout le désir que je ressens. Je continue à te caresser la chatte avec des mouvements circulaires et profonds en y ajoutant un deuxième doigt à l’intérieur. Je ne décolle plus mes lèvres des tiennes, voulant te croquer, te dévorer toute crue. Mes caresses sont mêlées de tendresse, douceur et aussi une certaine force mâle qui ne cherche qu’à s’exprimer devant une femme aussi belle, offerte et ouverte. J’arrête un moment mes caresses pour les remplacer par des baisers sur tes seins suivi ensuite de ton sexe. Je prends possession de ta chatte pour la pénétrer avec ma langue, léchant tout ton jus ayant pour moi le goût du miel. Prenant tes hanches par les deux mains, je t’attire près de moi et reprends mes doux assauts sur ta vulve. Je te fais doucement crier de plaisir.

Après de longues minutes de ce traitement, tu oublie où tu es et ce que tu fais. Une seule chose compte, c’est ce plaisir intense qui te rempli de bonheur et tu veux que cela dure éternellement. Silencieuse depuis le début, tu oses parler:

- Monsieur, puis-je me retourner, j’aimerais que vous caressiez mes fesses, j’en meurs d’envie….

- Je suis à votre entière disposition madame. J’espère que vous ne pensiez pas du mal de moi dans le sens où j’aurai profité de la situation.

- Absolument pas, au fait comment puis-je vous appeler ?

- Je suis Marc-André…. et vous ?

- Annie…heureuse d’être caressée par un si grand et gentil monsieur.

- Retournez-vous pour que je puisse admirer à nouveau ces superbes fesses.

C’est ainsi que je m’applique avec toute l’énergie d’un homme vorace de sexe. Tel que demandé, je commence à te caresser les fesses. Mes mains te caressent les fesses avec gourmandise. Tu n’arrêtes plus de bouger les fesses pour aller à la rencontre de mes mains remplies de plaisir et de bonheur. Tu passes tes mains derrière ton dos pour saisir la boucle de ma ceinture pour la défaire et pour laisser tomber mon pantalon au sol. Tu prends ma queue dans tes mains pour la masturber délicatement.

- Retournes-toi, que je te dis doucement à l’oreille. Nous ferons seulement ce que tu accepteras de faire.

- Oh my God!, comme elle est belle et grosse! Marc-André, laisse-moi te branler un peu… mais ne me pénètre pas avec ça, tu vas me défoncer la chatte.

- T’inquiètes pas petite puce, je vais faire en sorte que tu puisses vivre plusieurs beaux orgasmes magnifiques et sans douleur… c’est promis.

Tu es maintenant à moitié assise et je me rapproche alors de toi, te présentant ainsi ma queue toujours aussi bandé. Tu es légèrement inquiète de la tournure des évènements vu la taille de mon engin. Tu hésites un moment puis oses une caresse avec une main puis les deux mains. Je te caresse la nuque et les épaules pendant que petit à petit, tu commence à la lécher sur tous les côtés. Tes mains s’aventurent partout sur ma tige et sur mes couilles. Lentement, tu arrives à faire entrer ma bite un peu plus profondément dans ta bouche en faisant de ton mieux pour me donner le plaisir que j’attendais. Je te demande alors de venir sur moi en position 69. Ainsi je peux manger ta chatte que je compte bien visiter le moment venu. Tu t’appliques à ta fellation pendant que cet homme doux et ferme te mange la chatte. Tu profites de cette énorme chose entre tes mains en la mettant dans ta bouche, sur tes lèvres, sur tes seins, ce qui augmentait encore plus mon excitation. Tu perds le sens des réalités et ne vis que pour cette grosse queue qui devient ton jouet favori du moment. Il fait chaud, très chaud ce qui ajoute à l’excitation commune. Je continue à te fouiller le vagin avec trois doigts tout en te fouettant le clito de ma langue. Tu laisses alors échapper de petits cris de satisfaction.

Je sens monter davantage l’impérieux désir de te faire exploser de plaisir.

- Annie, je crois que tu es prête, je vais te baiser comme tu le désires. Je prendrai le temps qu’il faudra pour que ça soit un événement mémorable.

Je t’installe sur le dos et viens me placer entre tes cuisses déjà ouvertes. Je t’embrasse avec fermeté et douceur et d’une main, je dépose ma queue sur ta chatte toute mouillée, juste pour la taquiner. De ton côté, tu attends le moment où ma queue trouvera son passage et ira au fond de cette chatte brûlante.

Après deux bonnes minutes de va-et-vient sur ton clito et sur tes lèvres, j’entame une pression lente et constante, sans forcer, sur l’entrée de ton vagin. Tu ouvres un peu plus tes cuisses comme preuve de ton abandon. Lentement, tes lèvres mouillées s’écartent pour laisser passer cette queue rigide. En même temps, je commence à te caresser les seins tout en t’embrassant avec passion. Je prends petit à petit place dans ton intimité. Mon gland vient de passer et je pousse davantage jusqu'à te pénétrer de la totalité de ma verge. Tu te sens maintenant bien remplie par mon sexe. Je ne bouge presque pas sauf pour exercer une nouvelle pression pour que ma tige trouve de nouveau son chemin en toi.

Suite à quelques mouvements de reins de ta part, j’entame des va-et-vient très lents et très prononcé. Regardant ma grosse queue entrer à l’intérieur de ta petite chatte augmente mon degré d’excitation. Tu ne perds pas une miette de cette pénétration tellement douce et brutale à la fois. Ton vagin devient de plus en plus aisé. Tu pousses des petits cris à chaque poussée et poses tes pieds autour de mes reins. C’est peut être le signal que j’attendais pour entamer la chevauchée plus rapide. Je pousse donc plus loin mes assauts. Mes mouvements profonds et rapides touchent maintenant le fond de ta chatte, ce qui déclenche chez toi un orgasme explosif et enivrant. Toi, remplie avec cette queue, te sens totalement possédée, ce qui te fait perdre toute notion de retenue ou de pudeur.

Je m’arrête un moment pour éviter de jouir trop vite. Je reprends mes mouvements qui se font maintenant avec aisance et amplitude. Toi, tu respires au rythme de ma queue qui te transperce. Tu vas à sa rencontre pour la sentir encore au plus profond de toi-même. De nouveau, je ralentis la cadence pour mieux déguster ces moments de pur plaisir.

- Annie, comment te sens-tu maintenant?

- Je suis remplie, possédée, baisée et heureuse de l’être. Je voudrais que tu me baises longtemps, me faire jouir encore et encore. Je veux sentir ta belle et grosse queue profondément en moi. J’ai envie de te dire des mots crus, des cochonneries….tu me fais perdre la tête!

- écoute, on se donne liberté de parole pour que l’expérience soit totale.

- Ok, je jouis si intensément depuis que tu es sur moi, je suis toute petite à coté de toi et j’aime cette queue au fond de moi.

- Je suis là pour ton plaisir ma belle.

- Vient chéri, met-moi ta queue au plus profond, enfonce-la plus, baises-moi fort s’il te plait, défonce-moi, je suis à toi toute ouverte.

- Tiens ma belle, tu t’en souviendras très longtemps de cet orage.

Et je me mets à te ramoner avec force et vigueur. Tu poses tes cuisses sur mes épaules et ta chatte toute petite en apparence accepte très bien cette grosse queue.

- Tiens ma petite salope, laisse-toi prendre comme ça, tu aimes ça hein? Allez, dit que tu aimes ça!

- Oh oui Marc-André, je l’aime cette grosse queue qui me laboure la boîte. Je l’adore, je la veux encore plus loin, baise-moi fort … chien, insulte moi!

- Oui ma petite cochonne. Jamais tu n’aurais osé penser te faire défoncer comme ça… et ça te plait maintenant. Ouvre encore tes cuisses petite salope.

- Ouiiiiiii, défonce-moi la chatte, tu me rends folle… ouiiiiiii.

Et ces paroles à peine dites que tu te mets à trembler pour la deuxième fois d’un orgasme violent et continu. Je te ramone toujours à toute vitesse en te tenant les épaules entre mes mains. Je te baise avec toute la puissance disponible, te secouant comme une catin. On croirait une poupée de chiffon dans les mains d’un enfant.

En laissant s’échapper un cri rauque, je gicle en toi une bonne décharge de sperme avec une puissance rare, témoins de l’intensité de l’acte et surtout de mon désir. Tu bouges la tête et le corps dans tous les sens et cries en me perçant les fesses de tes ongles.

- Encore Marc-André, vas y…. rempli-moi, rempli ta petite salope, ta petite pute à toi, baise, baise, baise, b… a….i…s…e …m…o…i……….O…u…i…i…i… encore, ne t’arrête pas... Je suis ta salope, je suis ta salope, je suis ta salope…………… je suis TAAAAAAAAAAA salope.

Je reste un moment dans ta chatte, ne pouvant me séparer de toi aussi rapidement. Deux minutes passent et je me couche à tes côtés. Toujours étendu au sol, tu retrouves tes esprits tout en respirant encore très fort. Je me penche sur toi et te caresse avec une infinie douceur. Je t’embrasse sur les lèvres, les joues, le cou, les seins et sur chaque centimètre de ta peau.

Dix minutes plus tard, je te regarde, allongée et à moitié endormie. Je te couvre avec la serviette au cas où tu aurais froid. Je continus à admirer les lignes de ce magnifique visage, des traits où la fatigue a laissé place à une sérénité transpirant le bonheur. Après quelques minutes, tu ouvres les yeux et cherches à comprendre la situation lorsque tu me vois près de toi. Tu me regardes avec des yeux pleins de reconnaissance et de tendresse et me dit :

- C’était merveilleux Marc-André, nous recommencerons?

Je ne savais pas quoi répondre. Je ne savais pas si ta copine Sophie allait bientôt revenir. Eh puis après…..peut-être qu’elle voudra se joindre à nous. Tous les deux étendus sur le côté, je commence à te caresser de nouveau sur tout ton corps. Je mets du temps à étaler ces caresses qui font gémir tendrement. Tu sens chaque passage sur tes seins, ta chatte et tes fesses. Moi, tout en te caressant, admire le galbe de ton derrière tout invitant. Je te tourne sur le dos et place ma queue dans la raie de tes fesses. J’exerce ensuite des caresses au corps à corps qui ne semblent pas te déplaire, ni vouloir se terminer, quel bonheur. Au bout d’un quart d’heure de caresses diverses, tu ne tiens plus en place et me demande de te prendre, te posséder tout de suite… maintenant. Je te soulève légèrement le bassin en te penchant la tête en avant, appuyée sur tes coudes. Ta croupe est bien tendue vers moi et ma verge est de nouveau toute raide. J’écarte tes cuisses, pose mon gland à l’entrée de ta fente et introduis mon membre tout en douceur. Toi, tes lèvres un peu enflées des assauts précédents, tu sens une légère douleur mais sachant ce qui s’annonce, tu pousses tes hanches vers l’arrière pour rencontrer ma pénétration.

Lorsque je suis entièrement en toi, tu te mets à trembler, à te secouer et à pousser davantage vers moi qui te pénètre à fond. Quand à moi, je suis heureux de voir devant moi cette splendide paire de fesses bien ronde et prête pour recevoir les assauts de ma grande queue. Je te pénètre tout en douceur en te tenant par les hanches. Chaque fois que je me sens entièrement en toi, je te tire vers moi assez vigoureusement pour que tu sentes cette queue puissante au plus profond de ton corps et de ton âme. Les gémissements s’enchaînent et presque au bout de l’épuisement, tu me demandes de te défoncer.

Je te tiens bien par les hanches et reprend des mouvements musclés. Je veux sentir la femelle soumise à cette queue et mes couilles claquer sur ton pubis. Tout cela m’excite au plus haut point. Une petite tape sur la fesse droite, une autre sur la fesse gauche et puis d’autres suivent par après. Tu es folle maintenant et tends encore plus les fesses pour recevoir des claques et des pénétrations. Le rythme s’accélère jusqu'à ce que ni l’un ni l’autre ne maîtrise plus rien. Tu te mets de nouveau à trembler et lances un gémissement haut et fort de jouissance.

- Oui mon grand salaud, oui comme ça, défonce-moi, casse-moi le cul avec ta queue de cheval, baise-moi encore, oui comme ça .….. encoooooooooooore, fait-moi mal, possède-moi, je suis …….remplie de ………ta…..queue!

- Moi aussi, je suis à toi, petite pute …..Je vais te casser …. je vais te planter avec ma bite de cheval comme tu dis et que tu aimes tant ……..oui comme ça …. prend ça….ça!

- Oh oui……………oui……………oui…………..baise-moi ……………..baise…..moi….. Bai….se….moi!

En cet instant, tu choisis de sortir ma queue de ta chatte, te la mettre en bouche pour te faire goûter et sentir l’odeur de ton propre sexe, de lécher les quelques gouttes de ton propre jus. Je te tiens le visage à deux mains, te regarde me sucer, aspirer, lécher ma queue avec un infini bonheur. Je reste admiratif de l’appétit sexuel de cette femme que je viens tout juste de rencontrer.

- Marc-André, tu crois que je serai capable de recevoir ta petite bête dans mon petit cul?

- Je ne sais pas, la nature est bien faite. Il faut essayer.

- J’aimerai tant essayer.

Sur ce, je t’embrasse très longuement, te caressant les seins entre mes mains et redescendant jusqu'à ta chatte que je pénètre avec deux doigts pour exercer des mouvements qui te font réagir aussitôt. Tu te tournes le visage vers moi et me regardes. Je te caresse les fesses et t’introduis un doigt dans ton petit cul. Je procède à des petits gestes de rotation et y introduis un second doigt. Tu n’es surtout pas indifférente à te faire pénétrer des deux côtés à la fois. Tu joues avec ta bouche, tes lèvres, tes seins, tes oreilles comme un enfant devant une confiserie. Cinq minutes plus tard, j’introduis doucement un troisième doigt dans ton petit cul serré. Ta main gauche caresse le galbe de tes jolies fesses. Tu sais maintenant que tu es totalement dominée et possédée par mes mains et bientôt ma queue.

Lorsque je juge que tu es prête à aborder la partie délicate, je m’étire et prend dans mon sac un tube de KY. Je te positionne au sol à plat ventre et te demande de te laisser faire. J’introduis à nouveau mes doigts pour vérifier que le passage reste souple. Tu demeure excitée et espère que je réussirai à te sodomiser sans te faire trop mal. Je pose maintenant ma langue sur ton anus, le pénètre avec celle-ci. Je te soulève maintenant le bassin et glisse ma queue dans la raie de tes fesses pour y appliquer des allers-retours doux et puissants. Tu remues les hanches en signe que c’est peut être le moment. Je présente ma queue en face de cet anus bien lubrifié, détendu et offert et j’applique une pression moyenne mais continue. Tu grimaces un peu mais ne réagis pas. J’appuie encore et après quelques efforts, mon gland passe. Je ne bouge plus. Tu prends en main la conduite des opérations et diriges la pénétration avec un dosage très mesuré en poussant ton postérieur vers moi par petites avancées. Pour dédramatiser la situation, je me mets à te parler de façon plus crue :

- Dit petite pute, qu’est ce que je te fais en ce moment d’après toi ?

- Tu es en train de me pénétrer avec ta tige, elle est grosse, elle est énorme…. tu m’encules.

- Et t’enculer quoi?

- Tu m’encules mon petit cul de salope….. TA salope toute à toi.

- Oui, j’aimerai faire de toi une reine de la baise au cul, rien que pour ton bonheur.

- Je suis ta reine et tu es mon salaud de roi qui me déchire le cul….j’aime quand tu me fais ça.

- Oui petite salope qui se fait enculer par une grosse matraque hein, tu n’as pas peur de rien?

- Non, avec toi, je n’ai pas peur. Vas y, encules-moi chérie mais doucement, laisse-moi le temps s’il te plait d’accueillir toute ta queue en moi, fait de moi une vraie cochonne et contente de l’être.

Je continue à te baiser. Mon sexe est très à l’étroit. Je me sens enveloppé, tout chaud. Tu entames des petits mouvements lents de va-et-vient et je me tiens la queue avec une main afin contrôler tout dérapage. J’apprécie en ce moment ce magnifique spectacle de pénétration anale. Tu es entre la jouissance et la douleur. Tu fais progresser la pénétration à ton rythme et arrête lorsque mes couilles se posèrent sur tes fesses. Tu comprends alors que j’avais envahie tout ton petit cul. Je reste fiché en toi, sans bouger. Je t’embrasse sur la nuque et sur les épaules et je sens un frémissement qui parcoure ton corps

- J’ai mal, laisse-moi le temps de m’habituer à toi en moi. Je suis contente de te sentir tout en moi, tu me dis avec tendresse.

Tu entames de ta propre initiative des mouvements lents de va-et-vient et te retournes la tête pour voir ce spectacle si excitant d’une grosse queue plantée dans son petit cul. Lorsque les mouvements se font plus fluides, l’ensemble de ton corps se met à trembler encore plus fort. Tes gémissements, tout comme ta respiration, s’accélèrent. En mettant une main sur ta chatte, tu t’insères deux doigts dans ton vagin trempé et commences à te pénétrer toi-même en même temps que je te défonce le cul. J’accélère alors le mouvement, à genoux, au-dessus de toi. Voyant ce petit trou avaler la totalité de ma queue, je te caresse le galbe de tes fesses en te traitant de belle petite salope enculée.

- Oui je suis ta belle salope et tu es mon maître enculeur, possède-moi, prend-le ce petit trou, vas y chéri, depuis le temps que je souhaite ce moment.

- Je voudrais que cela dure une éternité tellement c’est bon de t’enculer.

- Si tu veux que je revienne te voir, promets-moi de m’enculer à chaque fois que je te le demanderai.

- Pas besoin de te le promettre ni que tu me le demandes tellement je voudrais t’enculer chaque jour, chaque instant. Tiens, prend-la au fond de ta boîte. Ce voyage au fond de toi est un voyage qui laissera des souvenirs impérissables dans ton esprit. J’aime ton anus qui me serre si fort la tige.

- Oui je te la serre, j’aime tes couilles qui tapent sur mon cul, vas y encore ………….haaaaaaaaaaa oui ……… oui …………. oui ………. oui………je viens, je viens oui oui oui oui …O…………U…………I………iiiiiiiiiiii !!!!

Ces cris témoignent d’un orgasme tellement puissant que tu ne peux plus t’empêcher de trembler de tout ton corps d’un plaisir incontrôlé et inhabituel chez toi. Tu crois t’évanouir. Moi, au même moment, je t’envoie plusieurs giclées de sperme au fond de ton cul. Ma jouissance est tellement forte que je perds tout contrôle et fini par m’effondrer à côté de toi. Je reste planté dans ton trou, te serrant contre moi, t’embrassant là où j’ai accès en guise de remerciements pour le bonheur que tu me procures. Nous nous reposons l’un près de l’autre, épuisés. Toi dans le creux de mes bras et moi, la queue entre tes cuisses.

Peu de temps après s’être rhabillé, Sophie ouvre la porte de la grange pour te dire que des amis viendront vous chercher. Elle s’excuse d’avoir pris du temps mais puisque les propriétaires de la ferme étaient absents, il a fallu qu’elle marche 20 minutes avant de trouver un téléphone. Tu te lèves et en quittant, tu me regardes et me remercies de la bonne conversation que nous avons échangée. Tu sors en souriant.

lundi 13 décembre 2010

Dans la voiture

La journée est presque terminée, je recois un appel au bureau, et c'est mon amant préféré, il est beau comme un coeur, et tres sexy, avec ses belles cuisses, ses belles fesses, et surtout pour son beau sexe. Je réponds, il constate dans ma voix que je suis un peu triste, je lui réponds il y a des journées comme ca. alors sans plus tarder, il m"invite à le rejoindre dans sa voiture à notre emplacement après mon travail. Tout à coup, mon moral se met en mode joyeuse, je lui réponds ok mais je finis à cinq heures, il me dit je vais t'attendre, car je te veux et je suis très excitée juste à l'idée de te revoir et j'ai le goût de....avant de partir je décide je vais enlever mon soutien-gorge, ceci l'excite surtout qu'il adore mes gros seins.

alors viens 5:00pm il fait noir, je m'empresse d'aller le rejoindre avec ma voiture, je l'apercois il est au poste, mon coeur se met à battre d'excitation. J'ouvre la porte de sa voiture au siège arrière, je me jette dans ses bras, il me sert très fort, et me regarde et commence à m'embrasser sur la bouche, passe ses mains sous ma blouse et il constate que je n'ai pas de soutien gorge, il se met à rire, et moi, je gémit d'excitation, il me chatouille le dos et j'ai des frissons partout, il déboutonne ma blouse tout doucement, regarder mes seins, et il me mange les mamelons, ils deviennent dures et encore plus excitées, il s'empresse de me remonter ma jupe, il me dit étend toi sur la banquette, il soulève mes fesses et retire mes collants et ma petite culotte, il me regarde et me dit, comme tu es belle, et excitante, il constate que je suis mouillée, il se penche et se met à me lécher la chatte, comme c'est bon comme je lui dit, il me regarde avec son sourire qui me fait craquer, il me dit détends toi, et penses seulement à toi, laisse toi aller, il se penche la tête à nouveau, et continue à explorer et passer sa langue si chaude, il me dit comme c'est bon, esti que c'est bon, je me caresse les seins en même temps, en me pincant les mamelons, ils deviennent touts durs, je lui dis c'est ca, j'aime ce que tu fais, il va de plus en plus vite, ma jouissance commence à monter, et à monter, et tout à coup, ca vient je lui dis ca vient chéri continue continue,.......et oui......oui......et encore oui........je lui dis d'arrêter....ca chatouille......il vient m'embrasser, je lèche ses lèvres car il est tout imprégner de liquide de ma chatte et j'adore cette odeur et ce goût......

Je reprends mon souffle, je lui dis c'est à ton tour mon chéri, je lui défais son pantalon, il le retire afin qu'il soit plus confortable, il est tout excité, sa queue est tout raide comme je l'aime,,,je me penche vers lui, je me remonte les fesses sur le côté, il prend sa main et me caresse les fesses et mets son doigt sur mon clito, il me frotte et moi je le suce comme un bonbon, comme j'adore lécher une belle queue, c'est si bon, je passe ma langue tout autour comme il aime, je l'entends gémir, ma main sur sa queue, je lèche et je lèche sans arrêt, et pendant ce temps il continue à me caresser le clito, je crois que je vais jouir à nouveau, je fais le mouvement de va et vient sur sa queue avec ma langue, je le bouffe tout entier, il aime ce que je lui fait, il me dit que viens.....sans plus tarder je me retire, car j'aime le regarder jouir, j'aime son expression sur son visage quand il vient, il me retire ma main afin qu'il puisse le faire lui même et tout à coup, je vois son sperme éjaculé comme un jet, c'est si fort, je le regarde il m'embrasse et moi je lui dis continue a me masturber je viens à mon tour.....et oh chéri cccc'est bon..........mmmmm...........

après tout ces ébats, nous nous rhabillons, on se met à jaser....et ensuite on se dit il faut partir maintenant....jusqu'à la prochaine fois......et je sais qu'il aura une prochaine fois.....