samedi 25 décembre 2010

apprentissage

 après de longs mois de doutes et de recherches je pris enfin contact avec un homme qui je crois correspondait a mes attentes du moments Nous partagions le meme sens du jeu. nos correspondances s intensifiées et nos désirs aussi. Nous avons beaucoup écrit mots crus pervers et parfois trés chatiés. rendez vous fut pris a paris il m avait demandé d etre en jupe bas talons aiguilles pas de string guépiere très sérrée afin que ma taille soit ceint et ainsi face ressortir ma croupe et mes fesses manteau. Je n étais pas fière durant tout le trajet pour me rendre sur le lieu décidé. Mais je voulais me réveler et vivre enfin un instant plus qu ardemment souhaité. Enfin postée au lieu dit j attendais anxieuse et presque exitée. Je vis alors un homme assez grand très bien vétu s approcher d une démarche sure et souple arrivée a mon niveau il s arréta et me demanda d une voix douce fiona je suppose je fis oui de la téte sans osée le regarder ni affronter son regard.Il m attira a lui d un geste brusque et m embrassa rentrant sa langue au plus profond de ma bouche je sentais mon coeur explosé. Ce baiser si impérieux sauvage inaugurait une soirée riche en sensualité nous étions d accord pour ne pas faire de grands discours me tenant toujours par la taille sa main glissa dans mon manteau remonta le long de ma cuisse avec beaucoup de voluptuée c était délicieux ét très sexy il atteignit enfin l entrée de mon sexe préparé selon sont souhait épilé il caressa mon intimité a pleine main frottant sa paume sur toute la largeur de ma chatte je restais la dans l attente de ces doigts je les voulais en moi la dans cette rue si passagére je souhaitais me faire doigter sur le champ tellement l exitation était grande. je cherchais sa main et suivaiS ces mouvements de mon bassin sans retenue d ailleurs .Je devenais petit a petit une petite salope son role était de me rendre chienne. Il cessa sa caresse et je me sentis vide et ridicule puis avec gentillesse il me proposa de diner ce que j acceptais un peu frustrée. J avais aussi honte d étre aussi assoifée de sexe et de jeux. Arrivée au restaurant aprés un parcours agréable il me demanda de m assoir a meme mes fesses la jupe relevée. Je relevais alors le morceau de tissus qui cachait ma nudité et senti sous mes fesses le cuir froid de la chaise. Nous reprenions alors notre conversation il me sentait contractée il commanda alors deux verres que nous sirotions je commencais a me sentir plus a l aise et a son écoute ce qu il remarqua et lui permis de me demander d écarter les cuisses afin qu il puisse disposé de mon sexe ouvert pour lui j entrouvris les cuisses et écartais légerement ma jupe afin qu il pus voir mon sexe endessous de la nappe il repris sa caressse le long de mon bas et doucement s enquis de mes expériences passées avais je déjà été violée baisée brutalement par l anus fouéttée etc..... j avais besoin d un autre remontant qu il commanda immédiatement afin de lui répondre librement et sans tabous je savais que cet homme allait utiliser mon corps a sa guise et la cyprine m envahissait a l entendre me parler de cul. le repas fut vite pris je le sentais prét a me surprendre il m engagea a me lever de table et a ma rendre aux toilettes afin de me raffraichir ce que je fis avec plaisir. Je pensais pouvoir me recomposer un personnage plus lucide et moins lubrique mais c était sans compter sur la volonté de mon partenaire . Peu de temps aprés mon arrivée aux wc je refaisais ma coiffure et redessinée mes levres je le vis arrivé derriere moi leve ta jupe et montre moi ton cul je m executais doucement creuse ta croupe que je vois le cul qui va me servir de vide couille ce soir. Je tendais alors mon derrière écarte tes cuisses je veux voir ta chatte j écartais du mieux que je pouvais je savais le jeu engagé c était excitant d etre la observé par cet homme aux risques que d autres individus n arrivent mais il n avait pas l air de sans soucier beau cul salope furent ces mots ne bouge pas ne geint pas puis il claqua ma fesse brutalement de sa main recommenca sur l autre aussi virulement je tenais le lavabo abassourdi il recommenca dix fois sur chaque fesses et frappa mon sexe aussi je ne pus retenir des larmes d humiliations offerte et punie pourquoi lorsque il eu fini j eus droit a son explication tu es trop pute dés le début te faire caresser dans la rue et un role de pétasse il te fallait une correction. Recompose toi un visage nous remontons il me laissa ainsi la jupe sur les reins encore choquée mais heureuse malgé tout j aimais les atouts de cet hommes surprenants enfin maitre de mon corps et trés exigeant. Rouge le cul en feu je refis surface auprés de lui nous partions il m enveloppa de mon manteau et nous partimes a la recherche de sa voiture il ne me donna aucune explication sur notre parcours futur son vehicule était stationné dans une impasse va devant la voiture et releve ta jupe je veux voir ton cul rouge il alluma les feux de croisement et je dus me tenir contre le mur cambrée il resta ainsi a me soumettre a son regard un long moment puis klaxona afin que je monte enfin dans l habitacle au chaud regarde dans la boite a gant ce que je fis la je trouvais deux gods énormes c est pour te défoncer le cul ce soir je ne pouvais qu optempérer malgré la taille des engins qui me déchireraient surement mon intimité. Suce ma queue tout de suite ta bouche a besoin de servir et mes couilles sont pleines il m attrapa les cheveux et sans préambule tira ma téte contre sa braguette sors ma bite ce que je fis rapidement il me tirait les cheveux et m enfonca son chibre jusqu a dans la gorge il donnait le rythme brutalement m enfoncant jusqu aux couilles son sexe de bonne catégorie tu gouttes c est bon tu aimes suce bite active toi tire moi le jus je pleurais d étouffement je devais suivre un mouvement très intense puis il me laboura de coups de queue au fond de la gorge et sortis son sexe pour m éjaculer sur le visage qu il inonda de son sperme en grande giclée c est bien tu apprends vite dorénavant je veux ma pipe régulière je te regarde je regarde mon sexe et tu seras que je souhaite que tu pompes avec avidité ma pine j hochais la téte en signe d assentitement j aimais ces directives j en voulais encore je comprenais au fil de la soirée que je devenais une femelle préte a tout pour honorer cet amant. Lave toi le visage on sort voir des amis qui n ont rien a m envier aprés une heure de route nous arrivions dans une maison bourgeoise ou l accueil fut très sympathique on nous conduisit au salon ou quatre hommes étaient assis a une table et jouaient au poker sur le canapé trois femmes a genoux tournées vers le mur jupes relevées croupes et sexes offerts a la vue de ces males. Mon partenaire me fis mettre comme les autres releva ma jupe dévoilant ainsi les marques de ces mains ne regarde jamais dans notre direction tu es la pour prendre des queues au fond de ton cul et a volontés comme les trois salopes qui t accompagnes. Je n osais bougeais pas mal le cul de ta nouvelle pouliche je sentis une présence derrière moi qui entreprenais de m écarter la vulve il m enfonca alors deux doigts brutalamnt dans mon con tres humide ce qui me fit pousser un cris de surprise je recus alors une forte claque sur le cul ta gueule ici tu jouis a la demande je serrais donc les dents et me lassa ramoner longuement j étais au bord de l orgasme lorsque il retira sa main bonne chienne elle apprend vite je vis alors du coin de loeil mon tortionnaire se placer derriere le cul de la jeune femme a coté de moi et lui penettrer le cul avec brutalité sans complaisance je l entendis hurler de douleur il lui démonter le fion a grand coup de bite il l attrapa par les cheveux ferme la prends grosse chienne en silence elle se tut je n entendais plus que le sexe claquer sur le cul et le bruit de la mouille l homme grogna et se vida en elle a grand renforts d allers retours impitoyables. Je sentis alors mon amant revenir vers moi je m habituais a son parfun il écarta mes levres et enfonca le god apercu dans la boite a gants il le glissa avec delicatesse mais l enfoncait de plus en plus j essayais dans la mesure du possible d élargir mon sexe au maximum il me branla doucement tendrement un flot de cyprine sortit de mon sexe et coula le long de ma cuisse hé regardez la chienne elle prend son pied interrésse les autres approchèrent l un se posta devant moi m ouvrit la bouche et je dus le lécher le pomper l aspirer il me giffla a plusieurs reprises pour mon manque de dynamisme je redoublais d éfforts m appliquais a le combler lorsque je sentis un autre membre me grimper sur la croupe et m enfoncer son gland dans le cul mon cul si fragile écoute grosse pute tu gardes le god dans ta chatte et tu prends ma queue dans ton fion dis oui salope dempande moi de te pourfendre ton petit trou je ne pus dire mot j avais une queue dans la bouche l autre dans ma chatte et le troisième m enfila comme un chien il me défonca le cul avec violence j hurlais je pleurais je prenais des féssées mon corps subissait des outrages d hommes forcenés je fus submergée de sexe me faisant pilonner de partout lorsqu ils finirent de se servir de moi a trois je tombais le corps meutri j avais joui et subi enfin ce que je voulais étre leur petite salope il m avait violée le cul sans me demender mon avis et je ne pourrais l oublier les autres filles subir le memes sorts nous étions ce soir des garages a bites j avais l anus en feu mais c etait sans compter sur le quatriéme qui me repris les hanches enfila sa queue dans mon cul et me bourra avec violence jusqu a enfin se vider sur mes fesses aprés cette soirée je pus me laver et mon amant me raccompagna a la porte de mon domicile il écarta mes cuisses me fouilla de nouveau comme une chienne en chaleur il me pinca les seins avec brutalité leve un peu ton cul cochonne il me rentra de nouveau un doigt au fond de mon cul le bougeant avec vigueur tu vois salope ton baptéme est fait tu n auras plus de mal a te mettre a quatre pattes dorénavant pour mes désirs va te reposer demain je t emmene te faire enculer ailleurs j adore voir ton cul se dilater sous les coups de butoir je descendis alors fourbues heureuse j avais enfin celui qui comprenais qui j étais une femelle en rut

vendredi 24 décembre 2010

La grange

C’est le temps des vacances, nous sommes en plein mois de juillet. Tu décides d’aller passer une cette fin de semaine en camping dans les cantons de l’Est en compagnie de ta copine Sophie. Quelques préparations de dernière minute et vous voilà parties ce samedi à la fraîcheur de la rosée du matin couvrant encore le sol. Après une bonne marche en fin d’après-midi, vous ne remarquez pas qu’un orage violent se met en place sans avertir. Une pluie violente s’abat sur vous et la température au bout de quelques minutes chuta de façon importante. Vous cherchez un abri pour laisser passer la chose. Il n’a pas fallu longtemps pour que la chance vous sourie sous la forme d’une ferme isolée à quelques centaines de mètres.

Je profitais de la grange pour moi aussi m’abriter également de l’orage. étendu sur la paille, je m’étais presque endormi. C’est alors que la porte s’ouvre et que j’aperçois ces belles femmes, trempées jusqu’aux os, en particulier toi, dans ton t-shirt blanc et ton short jean. Je vous invite aussitôt à entrer, la pluie tombant toujours en averse. Confuse de la situation, tu demandes s’il est possible de rester le temps que l’orage cesse et laisser sécher votre linge. Je réponds dans l’affirmative puisque je suis également de passage ici. Puisque Sophie de son côté avait un petit imperméable, elle s’offrit pour aller demander aux habitants de la ferme d’utiliser leur téléphone. Elle quitta donc la grange, nous laissant tous les deux seuls.

Voyant que tu grelottais et incapable de bouger, je suis allé chercher une grande serviette accroché au mur. M’en servant comme paravent, tu t’es mise à te déshabiller, t-shirt d’abord, le soutien-gorge et ensuite le short et finalement ta petite culotte. Je te couvris avec la serviette pour la frotter énergiquement contre ton corps pour te redonner un peu de chaleur. Je sentais immédiatement que la bête commençait à réagir dans mon pantalon. Après ce traitement énergique qui dura deux ou trois minutes, je te propose de t’étendre en attendant le retour de ta copine. Tu acceptas sans trop réagir même sachant que tu étais complètement nue sous la serviette. Cela créa une atmosphère particulière ou l’un et l’autre font les choses sans retenu mais simplement naturellement. Je te propose un massage, pour finir de te remettre sur pieds et te redonner un minimum d’énergie. Sans attendre ta réponse, j’étale une autre serviette sur le sol et te demande de t’y allonger.

Je commence par te masser la nuque et les épaules avant d’écarter au fur et à mesure la serviette pour découvrir ton dos que je masse lentement et avec soin, appréciant chaque instant et chaque centimètre de ton corps. Arrivant au bas du dos, j’hésite un peu en attendant une éventuelle réaction de ta part. Face à l’absence de réaction, je vais directement vers tes cuisses et mollets sans oser toucher tes fesses. En remontant, je me risque à passer ma main sur la moitié d’une fesse. Tu semble accepter cela comme un doux réconfort. Petit à petit, tu y trouves un certain plaisir avec cet inconnu. Mes grandes mains et mes gros doigts qui massent merveilleusement bien et prennent possession de ton corps. Sans rien dévoiler, tu n’espères maintenant qu’une chose, que cela ne puisse jamais s’arrêter.

Encouragé par ce silence, je fais tomber l’autre moitié de la serviette pour découvrir les fesses qui me font déjà fantasmer. Je bande comme un cheval, je garde les yeux fixés sur le corps de cette femme inconnue qui devient l’objet de mes désirs. Mon cœur palpite à 150 pulsions minutes. Je pose mes deux mains sur tes fesses et commence un massage tout en douceur et en force en remontant jusqu’aux épaules puis redescendant aux chevilles. Après quelques minutes de ce traitement, j’ose passer à l’intérieur de tes cuisses tout en remontant vers ton dos. C’est alors que tu n’as pu contenir un geste d’encouragement en courbant les fesses pour aller à la rencontre de mes mains, avec l’espoir que je te caresse encore plus cet endroit si sensible et si excitant.


Je ne brusque pas les choses. Je profite des yeux et des mains de ce spectacle unique et remercie dieu qui provoqua cet orage oh combien bénéfique. Je me sens soudain à l’étroit dans mon pantalon. Ma queue prend des proportions surprenantes mais il faut garder son calme. Pour l’instant, tu acceptes d’être massée et c’est tout. Je te demande si tu veux bien te retourner, ce que tu fis tout de suite avec plus ou moins d’hésitation. Je découvre alors l’autre facette de cette si belle femme qui se laisse manipuler par un homme inconnu sans retenue ni pudeur. Tu te sens bien tout simplement, peut-être te dis-tu que tout compte fait, cet homme inconnu t’a soumise en quelques minutes à des caresses que tu n’as pas senties depuis longtemps. Je te masse le cou et les épaules en m’attardant un peu plus sur tes seins. Les pointes de tes seins se manifestent maintenant par une légère dureté. Je couvre tes deux seins de mes mains et je deviens de moins en moins maître de mes gestes. Je te caresse le ventre, les cuisses et en passant ma main près du « triangle des Bermudes ». Je perds le sens de l’orientation et t’écarte tout en douceur les cuisses. Je laisse coulisser un doigt juste à la surface de ton pubis. Je sens que tu es bien mouillée mais cette fois, ce n’est pas la pluie qui en est la cause.

J’insiste un moment sur ton clito. C’est alors que tu écartes carrément les cuisses comme une invitation ouverte. Je me fraye un passage dans ta chatte avec mon majeur et tout en douceur, je te pénètre petit à petit avec mon doigt. C’est tout chaud et tout doux. Tu es manifestement excitée par ce plaisir. Tu lèves un peu les hanches pour sentir un peu plus ce doigt au fond de ton intimité et tu me regardes droit dans les yeux comme pour me supplier d’aller encore plus loin, me supplier de ne pas m’arrêter, ce qui n’est d’ailleurs nullement mon intention.

Je ne résiste pas plus longtemps et je pose mes lèvres sur les tiennes pour t’embrasser avec tout le désir que je ressens. Je continue à te caresser la chatte avec des mouvements circulaires et profonds en y ajoutant un deuxième doigt à l’intérieur. Je ne décolle plus mes lèvres des tiennes, voulant te croquer, te dévorer toute crue. Mes caresses sont mêlées de tendresse, douceur et aussi une certaine force mâle qui ne cherche qu’à s’exprimer devant une femme aussi belle, offerte et ouverte. J’arrête un moment mes caresses pour les remplacer par des baisers sur tes seins suivi ensuite de ton sexe. Je prends possession de ta chatte pour la pénétrer avec ma langue, léchant tout ton jus ayant pour moi le goût du miel. Prenant tes hanches par les deux mains, je t’attire près de moi et reprends mes doux assauts sur ta vulve. Je te fais doucement crier de plaisir.

Après de longues minutes de ce traitement, tu oublie où tu es et ce que tu fais. Une seule chose compte, c’est ce plaisir intense qui te rempli de bonheur et tu veux que cela dure éternellement. Silencieuse depuis le début, tu oses parler:

- Monsieur, puis-je me retourner, j’aimerais que vous caressiez mes fesses, j’en meurs d’envie….

- Je suis à votre entière disposition madame. J’espère que vous ne pensiez pas du mal de moi dans le sens où j’aurai profité de la situation.

- Absolument pas, au fait comment puis-je vous appeler ?

- Je suis Marc-André…. et vous ?

- Annie…heureuse d’être caressée par un si grand et gentil monsieur.

- Retournez-vous pour que je puisse admirer à nouveau ces superbes fesses.

C’est ainsi que je m’applique avec toute l’énergie d’un homme vorace de sexe. Tel que demandé, je commence à te caresser les fesses. Mes mains te caressent les fesses avec gourmandise. Tu n’arrêtes plus de bouger les fesses pour aller à la rencontre de mes mains remplies de plaisir et de bonheur. Tu passes tes mains derrière ton dos pour saisir la boucle de ma ceinture pour la défaire et pour laisser tomber mon pantalon au sol. Tu prends ma queue dans tes mains pour la masturber délicatement.

- Retournes-toi, que je te dis doucement à l’oreille. Nous ferons seulement ce que tu accepteras de faire.

- Oh my God!, comme elle est belle et grosse! Marc-André, laisse-moi te branler un peu… mais ne me pénètre pas avec ça, tu vas me défoncer la chatte.

- T’inquiètes pas petite puce, je vais faire en sorte que tu puisses vivre plusieurs beaux orgasmes magnifiques et sans douleur… c’est promis.

Tu es maintenant à moitié assise et je me rapproche alors de toi, te présentant ainsi ma queue toujours aussi bandé. Tu es légèrement inquiète de la tournure des évènements vu la taille de mon engin. Tu hésites un moment puis oses une caresse avec une main puis les deux mains. Je te caresse la nuque et les épaules pendant que petit à petit, tu commence à la lécher sur tous les côtés. Tes mains s’aventurent partout sur ma tige et sur mes couilles. Lentement, tu arrives à faire entrer ma bite un peu plus profondément dans ta bouche en faisant de ton mieux pour me donner le plaisir que j’attendais. Je te demande alors de venir sur moi en position 69. Ainsi je peux manger ta chatte que je compte bien visiter le moment venu. Tu t’appliques à ta fellation pendant que cet homme doux et ferme te mange la chatte. Tu profites de cette énorme chose entre tes mains en la mettant dans ta bouche, sur tes lèvres, sur tes seins, ce qui augmentait encore plus mon excitation. Tu perds le sens des réalités et ne vis que pour cette grosse queue qui devient ton jouet favori du moment. Il fait chaud, très chaud ce qui ajoute à l’excitation commune. Je continue à te fouiller le vagin avec trois doigts tout en te fouettant le clito de ma langue. Tu laisses alors échapper de petits cris de satisfaction.

Je sens monter davantage l’impérieux désir de te faire exploser de plaisir.

- Annie, je crois que tu es prête, je vais te baiser comme tu le désires. Je prendrai le temps qu’il faudra pour que ça soit un événement mémorable.

Je t’installe sur le dos et viens me placer entre tes cuisses déjà ouvertes. Je t’embrasse avec fermeté et douceur et d’une main, je dépose ma queue sur ta chatte toute mouillée, juste pour la taquiner. De ton côté, tu attends le moment où ma queue trouvera son passage et ira au fond de cette chatte brûlante.

Après deux bonnes minutes de va-et-vient sur ton clito et sur tes lèvres, j’entame une pression lente et constante, sans forcer, sur l’entrée de ton vagin. Tu ouvres un peu plus tes cuisses comme preuve de ton abandon. Lentement, tes lèvres mouillées s’écartent pour laisser passer cette queue rigide. En même temps, je commence à te caresser les seins tout en t’embrassant avec passion. Je prends petit à petit place dans ton intimité. Mon gland vient de passer et je pousse davantage jusqu'à te pénétrer de la totalité de ma verge. Tu te sens maintenant bien remplie par mon sexe. Je ne bouge presque pas sauf pour exercer une nouvelle pression pour que ma tige trouve de nouveau son chemin en toi.

Suite à quelques mouvements de reins de ta part, j’entame des va-et-vient très lents et très prononcé. Regardant ma grosse queue entrer à l’intérieur de ta petite chatte augmente mon degré d’excitation. Tu ne perds pas une miette de cette pénétration tellement douce et brutale à la fois. Ton vagin devient de plus en plus aisé. Tu pousses des petits cris à chaque poussée et poses tes pieds autour de mes reins. C’est peut être le signal que j’attendais pour entamer la chevauchée plus rapide. Je pousse donc plus loin mes assauts. Mes mouvements profonds et rapides touchent maintenant le fond de ta chatte, ce qui déclenche chez toi un orgasme explosif et enivrant. Toi, remplie avec cette queue, te sens totalement possédée, ce qui te fait perdre toute notion de retenue ou de pudeur.

Je m’arrête un moment pour éviter de jouir trop vite. Je reprends mes mouvements qui se font maintenant avec aisance et amplitude. Toi, tu respires au rythme de ma queue qui te transperce. Tu vas à sa rencontre pour la sentir encore au plus profond de toi-même. De nouveau, je ralentis la cadence pour mieux déguster ces moments de pur plaisir.

- Annie, comment te sens-tu maintenant?

- Je suis remplie, possédée, baisée et heureuse de l’être. Je voudrais que tu me baises longtemps, me faire jouir encore et encore. Je veux sentir ta belle et grosse queue profondément en moi. J’ai envie de te dire des mots crus, des cochonneries….tu me fais perdre la tête!

- écoute, on se donne liberté de parole pour que l’expérience soit totale.

- Ok, je jouis si intensément depuis que tu es sur moi, je suis toute petite à coté de toi et j’aime cette queue au fond de moi.

- Je suis là pour ton plaisir ma belle.

- Vient chéri, met-moi ta queue au plus profond, enfonce-la plus, baises-moi fort s’il te plait, défonce-moi, je suis à toi toute ouverte.

- Tiens ma belle, tu t’en souviendras très longtemps de cet orage.

Et je me mets à te ramoner avec force et vigueur. Tu poses tes cuisses sur mes épaules et ta chatte toute petite en apparence accepte très bien cette grosse queue.

- Tiens ma petite salope, laisse-toi prendre comme ça, tu aimes ça hein? Allez, dit que tu aimes ça!

- Oh oui Marc-André, je l’aime cette grosse queue qui me laboure la boîte. Je l’adore, je la veux encore plus loin, baise-moi fort … chien, insulte moi!

- Oui ma petite cochonne. Jamais tu n’aurais osé penser te faire défoncer comme ça… et ça te plait maintenant. Ouvre encore tes cuisses petite salope.

- Ouiiiiiii, défonce-moi la chatte, tu me rends folle… ouiiiiiii.

Et ces paroles à peine dites que tu te mets à trembler pour la deuxième fois d’un orgasme violent et continu. Je te ramone toujours à toute vitesse en te tenant les épaules entre mes mains. Je te baise avec toute la puissance disponible, te secouant comme une catin. On croirait une poupée de chiffon dans les mains d’un enfant.

En laissant s’échapper un cri rauque, je gicle en toi une bonne décharge de sperme avec une puissance rare, témoins de l’intensité de l’acte et surtout de mon désir. Tu bouges la tête et le corps dans tous les sens et cries en me perçant les fesses de tes ongles.

- Encore Marc-André, vas y…. rempli-moi, rempli ta petite salope, ta petite pute à toi, baise, baise, baise, b… a….i…s…e …m…o…i……….O…u…i…i…i… encore, ne t’arrête pas... Je suis ta salope, je suis ta salope, je suis ta salope…………… je suis TAAAAAAAAAAA salope.

Je reste un moment dans ta chatte, ne pouvant me séparer de toi aussi rapidement. Deux minutes passent et je me couche à tes côtés. Toujours étendu au sol, tu retrouves tes esprits tout en respirant encore très fort. Je me penche sur toi et te caresse avec une infinie douceur. Je t’embrasse sur les lèvres, les joues, le cou, les seins et sur chaque centimètre de ta peau.

Dix minutes plus tard, je te regarde, allongée et à moitié endormie. Je te couvre avec la serviette au cas où tu aurais froid. Je continus à admirer les lignes de ce magnifique visage, des traits où la fatigue a laissé place à une sérénité transpirant le bonheur. Après quelques minutes, tu ouvres les yeux et cherches à comprendre la situation lorsque tu me vois près de toi. Tu me regardes avec des yeux pleins de reconnaissance et de tendresse et me dit :

- C’était merveilleux Marc-André, nous recommencerons?

Je ne savais pas quoi répondre. Je ne savais pas si ta copine Sophie allait bientôt revenir. Eh puis après…..peut-être qu’elle voudra se joindre à nous. Tous les deux étendus sur le côté, je commence à te caresser de nouveau sur tout ton corps. Je mets du temps à étaler ces caresses qui font gémir tendrement. Tu sens chaque passage sur tes seins, ta chatte et tes fesses. Moi, tout en te caressant, admire le galbe de ton derrière tout invitant. Je te tourne sur le dos et place ma queue dans la raie de tes fesses. J’exerce ensuite des caresses au corps à corps qui ne semblent pas te déplaire, ni vouloir se terminer, quel bonheur. Au bout d’un quart d’heure de caresses diverses, tu ne tiens plus en place et me demande de te prendre, te posséder tout de suite… maintenant. Je te soulève légèrement le bassin en te penchant la tête en avant, appuyée sur tes coudes. Ta croupe est bien tendue vers moi et ma verge est de nouveau toute raide. J’écarte tes cuisses, pose mon gland à l’entrée de ta fente et introduis mon membre tout en douceur. Toi, tes lèvres un peu enflées des assauts précédents, tu sens une légère douleur mais sachant ce qui s’annonce, tu pousses tes hanches vers l’arrière pour rencontrer ma pénétration.

Lorsque je suis entièrement en toi, tu te mets à trembler, à te secouer et à pousser davantage vers moi qui te pénètre à fond. Quand à moi, je suis heureux de voir devant moi cette splendide paire de fesses bien ronde et prête pour recevoir les assauts de ma grande queue. Je te pénètre tout en douceur en te tenant par les hanches. Chaque fois que je me sens entièrement en toi, je te tire vers moi assez vigoureusement pour que tu sentes cette queue puissante au plus profond de ton corps et de ton âme. Les gémissements s’enchaînent et presque au bout de l’épuisement, tu me demandes de te défoncer.

Je te tiens bien par les hanches et reprend des mouvements musclés. Je veux sentir la femelle soumise à cette queue et mes couilles claquer sur ton pubis. Tout cela m’excite au plus haut point. Une petite tape sur la fesse droite, une autre sur la fesse gauche et puis d’autres suivent par après. Tu es folle maintenant et tends encore plus les fesses pour recevoir des claques et des pénétrations. Le rythme s’accélère jusqu'à ce que ni l’un ni l’autre ne maîtrise plus rien. Tu te mets de nouveau à trembler et lances un gémissement haut et fort de jouissance.

- Oui mon grand salaud, oui comme ça, défonce-moi, casse-moi le cul avec ta queue de cheval, baise-moi encore, oui comme ça .….. encoooooooooooore, fait-moi mal, possède-moi, je suis …….remplie de ………ta…..queue!

- Moi aussi, je suis à toi, petite pute …..Je vais te casser …. je vais te planter avec ma bite de cheval comme tu dis et que tu aimes tant ……..oui comme ça …. prend ça….ça!

- Oh oui……………oui……………oui…………..baise-moi ……………..baise…..moi….. Bai….se….moi!

En cet instant, tu choisis de sortir ma queue de ta chatte, te la mettre en bouche pour te faire goûter et sentir l’odeur de ton propre sexe, de lécher les quelques gouttes de ton propre jus. Je te tiens le visage à deux mains, te regarde me sucer, aspirer, lécher ma queue avec un infini bonheur. Je reste admiratif de l’appétit sexuel de cette femme que je viens tout juste de rencontrer.

- Marc-André, tu crois que je serai capable de recevoir ta petite bête dans mon petit cul?

- Je ne sais pas, la nature est bien faite. Il faut essayer.

- J’aimerai tant essayer.

Sur ce, je t’embrasse très longuement, te caressant les seins entre mes mains et redescendant jusqu'à ta chatte que je pénètre avec deux doigts pour exercer des mouvements qui te font réagir aussitôt. Tu te tournes le visage vers moi et me regardes. Je te caresse les fesses et t’introduis un doigt dans ton petit cul. Je procède à des petits gestes de rotation et y introduis un second doigt. Tu n’es surtout pas indifférente à te faire pénétrer des deux côtés à la fois. Tu joues avec ta bouche, tes lèvres, tes seins, tes oreilles comme un enfant devant une confiserie. Cinq minutes plus tard, j’introduis doucement un troisième doigt dans ton petit cul serré. Ta main gauche caresse le galbe de tes jolies fesses. Tu sais maintenant que tu es totalement dominée et possédée par mes mains et bientôt ma queue.

Lorsque je juge que tu es prête à aborder la partie délicate, je m’étire et prend dans mon sac un tube de KY. Je te positionne au sol à plat ventre et te demande de te laisser faire. J’introduis à nouveau mes doigts pour vérifier que le passage reste souple. Tu demeure excitée et espère que je réussirai à te sodomiser sans te faire trop mal. Je pose maintenant ma langue sur ton anus, le pénètre avec celle-ci. Je te soulève maintenant le bassin et glisse ma queue dans la raie de tes fesses pour y appliquer des allers-retours doux et puissants. Tu remues les hanches en signe que c’est peut être le moment. Je présente ma queue en face de cet anus bien lubrifié, détendu et offert et j’applique une pression moyenne mais continue. Tu grimaces un peu mais ne réagis pas. J’appuie encore et après quelques efforts, mon gland passe. Je ne bouge plus. Tu prends en main la conduite des opérations et diriges la pénétration avec un dosage très mesuré en poussant ton postérieur vers moi par petites avancées. Pour dédramatiser la situation, je me mets à te parler de façon plus crue :

- Dit petite pute, qu’est ce que je te fais en ce moment d’après toi ?

- Tu es en train de me pénétrer avec ta tige, elle est grosse, elle est énorme…. tu m’encules.

- Et t’enculer quoi?

- Tu m’encules mon petit cul de salope….. TA salope toute à toi.

- Oui, j’aimerai faire de toi une reine de la baise au cul, rien que pour ton bonheur.

- Je suis ta reine et tu es mon salaud de roi qui me déchire le cul….j’aime quand tu me fais ça.

- Oui petite salope qui se fait enculer par une grosse matraque hein, tu n’as pas peur de rien?

- Non, avec toi, je n’ai pas peur. Vas y, encules-moi chérie mais doucement, laisse-moi le temps s’il te plait d’accueillir toute ta queue en moi, fait de moi une vraie cochonne et contente de l’être.

Je continue à te baiser. Mon sexe est très à l’étroit. Je me sens enveloppé, tout chaud. Tu entames des petits mouvements lents de va-et-vient et je me tiens la queue avec une main afin contrôler tout dérapage. J’apprécie en ce moment ce magnifique spectacle de pénétration anale. Tu es entre la jouissance et la douleur. Tu fais progresser la pénétration à ton rythme et arrête lorsque mes couilles se posèrent sur tes fesses. Tu comprends alors que j’avais envahie tout ton petit cul. Je reste fiché en toi, sans bouger. Je t’embrasse sur la nuque et sur les épaules et je sens un frémissement qui parcoure ton corps

- J’ai mal, laisse-moi le temps de m’habituer à toi en moi. Je suis contente de te sentir tout en moi, tu me dis avec tendresse.

Tu entames de ta propre initiative des mouvements lents de va-et-vient et te retournes la tête pour voir ce spectacle si excitant d’une grosse queue plantée dans son petit cul. Lorsque les mouvements se font plus fluides, l’ensemble de ton corps se met à trembler encore plus fort. Tes gémissements, tout comme ta respiration, s’accélèrent. En mettant une main sur ta chatte, tu t’insères deux doigts dans ton vagin trempé et commences à te pénétrer toi-même en même temps que je te défonce le cul. J’accélère alors le mouvement, à genoux, au-dessus de toi. Voyant ce petit trou avaler la totalité de ma queue, je te caresse le galbe de tes fesses en te traitant de belle petite salope enculée.

- Oui je suis ta belle salope et tu es mon maître enculeur, possède-moi, prend-le ce petit trou, vas y chéri, depuis le temps que je souhaite ce moment.

- Je voudrais que cela dure une éternité tellement c’est bon de t’enculer.

- Si tu veux que je revienne te voir, promets-moi de m’enculer à chaque fois que je te le demanderai.

- Pas besoin de te le promettre ni que tu me le demandes tellement je voudrais t’enculer chaque jour, chaque instant. Tiens, prend-la au fond de ta boîte. Ce voyage au fond de toi est un voyage qui laissera des souvenirs impérissables dans ton esprit. J’aime ton anus qui me serre si fort la tige.

- Oui je te la serre, j’aime tes couilles qui tapent sur mon cul, vas y encore ………….haaaaaaaaaaa oui ……… oui …………. oui ………. oui………je viens, je viens oui oui oui oui …O…………U…………I………iiiiiiiiiiii !!!!

Ces cris témoignent d’un orgasme tellement puissant que tu ne peux plus t’empêcher de trembler de tout ton corps d’un plaisir incontrôlé et inhabituel chez toi. Tu crois t’évanouir. Moi, au même moment, je t’envoie plusieurs giclées de sperme au fond de ton cul. Ma jouissance est tellement forte que je perds tout contrôle et fini par m’effondrer à côté de toi. Je reste planté dans ton trou, te serrant contre moi, t’embrassant là où j’ai accès en guise de remerciements pour le bonheur que tu me procures. Nous nous reposons l’un près de l’autre, épuisés. Toi dans le creux de mes bras et moi, la queue entre tes cuisses.

Peu de temps après s’être rhabillé, Sophie ouvre la porte de la grange pour te dire que des amis viendront vous chercher. Elle s’excuse d’avoir pris du temps mais puisque les propriétaires de la ferme étaient absents, il a fallu qu’elle marche 20 minutes avant de trouver un téléphone. Tu te lèves et en quittant, tu me regardes et me remercies de la bonne conversation que nous avons échangée. Tu sors en souriant.

lundi 13 décembre 2010

Dans la voiture

La journée est presque terminée, je recois un appel au bureau, et c'est mon amant préféré, il est beau comme un coeur, et tres sexy, avec ses belles cuisses, ses belles fesses, et surtout pour son beau sexe. Je réponds, il constate dans ma voix que je suis un peu triste, je lui réponds il y a des journées comme ca. alors sans plus tarder, il m"invite à le rejoindre dans sa voiture à notre emplacement après mon travail. Tout à coup, mon moral se met en mode joyeuse, je lui réponds ok mais je finis à cinq heures, il me dit je vais t'attendre, car je te veux et je suis très excitée juste à l'idée de te revoir et j'ai le goût de....avant de partir je décide je vais enlever mon soutien-gorge, ceci l'excite surtout qu'il adore mes gros seins.

alors viens 5:00pm il fait noir, je m'empresse d'aller le rejoindre avec ma voiture, je l'apercois il est au poste, mon coeur se met à battre d'excitation. J'ouvre la porte de sa voiture au siège arrière, je me jette dans ses bras, il me sert très fort, et me regarde et commence à m'embrasser sur la bouche, passe ses mains sous ma blouse et il constate que je n'ai pas de soutien gorge, il se met à rire, et moi, je gémit d'excitation, il me chatouille le dos et j'ai des frissons partout, il déboutonne ma blouse tout doucement, regarder mes seins, et il me mange les mamelons, ils deviennent dures et encore plus excitées, il s'empresse de me remonter ma jupe, il me dit étend toi sur la banquette, il soulève mes fesses et retire mes collants et ma petite culotte, il me regarde et me dit, comme tu es belle, et excitante, il constate que je suis mouillée, il se penche et se met à me lécher la chatte, comme c'est bon comme je lui dit, il me regarde avec son sourire qui me fait craquer, il me dit détends toi, et penses seulement à toi, laisse toi aller, il se penche la tête à nouveau, et continue à explorer et passer sa langue si chaude, il me dit comme c'est bon, esti que c'est bon, je me caresse les seins en même temps, en me pincant les mamelons, ils deviennent touts durs, je lui dis c'est ca, j'aime ce que tu fais, il va de plus en plus vite, ma jouissance commence à monter, et à monter, et tout à coup, ca vient je lui dis ca vient chéri continue continue,.......et oui......oui......et encore oui........je lui dis d'arrêter....ca chatouille......il vient m'embrasser, je lèche ses lèvres car il est tout imprégner de liquide de ma chatte et j'adore cette odeur et ce goût......

Je reprends mon souffle, je lui dis c'est à ton tour mon chéri, je lui défais son pantalon, il le retire afin qu'il soit plus confortable, il est tout excité, sa queue est tout raide comme je l'aime,,,je me penche vers lui, je me remonte les fesses sur le côté, il prend sa main et me caresse les fesses et mets son doigt sur mon clito, il me frotte et moi je le suce comme un bonbon, comme j'adore lécher une belle queue, c'est si bon, je passe ma langue tout autour comme il aime, je l'entends gémir, ma main sur sa queue, je lèche et je lèche sans arrêt, et pendant ce temps il continue à me caresser le clito, je crois que je vais jouir à nouveau, je fais le mouvement de va et vient sur sa queue avec ma langue, je le bouffe tout entier, il aime ce que je lui fait, il me dit que viens.....sans plus tarder je me retire, car j'aime le regarder jouir, j'aime son expression sur son visage quand il vient, il me retire ma main afin qu'il puisse le faire lui même et tout à coup, je vois son sperme éjaculé comme un jet, c'est si fort, je le regarde il m'embrasse et moi je lui dis continue a me masturber je viens à mon tour.....et oh chéri cccc'est bon..........mmmmm...........

après tout ces ébats, nous nous rhabillons, on se met à jaser....et ensuite on se dit il faut partir maintenant....jusqu'à la prochaine fois......et je sais qu'il aura une prochaine fois.....

samedi 6 novembre 2010

Une soirée inoubliable

Nous avions décidés de passer une bonne soirée.Donc je
m‘habillais en conséquence,sous vêtements blancs et
transparents,bas couleur chair,jupe et corsage blanc
transparent.Lors du diner au restaurant je sentais déjà
sur moi les regards,surtout ceux des messieurs et ceux
plus envieux et plus critiques des femmes,tu me sourirais.
Nous étions face à face. Je passais délicatement ma langue
sur mes lèvres sèches, comme une invite au plaisir à venir.
Mes yeux étaient plongés dans les tiens.Tu me pris la main
et déposa un baiser tendre sur mes doigts et tu me dis" ce
soir c’est ta soirée, je veux qu’elle soit inoubliable
pour toi".Un sourire éclaira mon visage.Le diner se prolongea dans une douce ambiance feutrée.

La flamme des bougies dansait dans tes yeux ou était ce le plaisir.Parfois sous la table ton pied frôlait le mien, invitation muette à de tendres moments de complicité.


Puis vint le moment où tu réglas l’addition,je pris mon
manteau et tu nous entrainas dehors.Tu me fis monter dans
la voiture.Après avoir démarré tes mains doucement effleurèrent mes genoux puis glissèrent sous le tissu de ma jupe dévoilant mes cuisses gainées des bas.J’entrouvris mes cuisses,et ta main glissa sur mon string.Tu souriais sentant déjà la moiteur de ma culotte.J’espérais une caresse plus prolongée mais tu retiras ta main et vint humer tes doigts, ils avaient mon odeur d’amour,d’envie.


Tu te garas devant une maison éloignée de tout.Tu me fis
descendre et sonnas.Une femme nous fit entrer.Elle portait
une tenue très sexy, une robe qui lui collait au corps, elle nous fit entrer dans une pièce remplie d’hommes et de femmes.Une musique se diffusait en arrière fond.Tu me pris par le bras et te dirigeas vers le bar ou un homme nous offrit un verre.Je pris une eau gazeuse.Tu murmuras quelque chose à l’oreille du barman et tu me pris le bras reposas mon verre et m’entrainas sur la piste de danse ou soudain la musique se fit plus forte. J’étais gênée les regards étaient tous braqué sur nous.


Tu collas ton corps contre le mien dans un tendre slow.Tu
plaquas une main sur mes fesses et tout en dansant lentement tu remontas ma jupe,je me tortillais de façon à t’empêcher de le faire surtout sous le regard des autres. Mais tu insistas et posas ta bouche sur la mienne dans un baiser langoureux.Ta langue chaude entrait en contact avec la mienne,malgré la gène de la situation je commençais à y prendre du plaisir surtout que je sentais la bosse bien dure sous ton pantalon.Je vis soudain d’autres couples se caresser autour de nous ce qui me rassura,tu enlevas entièrement ma jupe tout en continuant de danser.De dos on pouvait voir mes fesses laiteuses.Tu ouvris mon chemisier et me l’enleva si bien que je me retrouvais en sous vêtements devant tout le monde.Puis tu me tins à bout de bras,me fixas et dis tout fort"elle est à vous,amusez-vous avec elle,comblez tos vos désirs elle adorera".Et tu me lâchas et parti à l’autre bout de la salle me laissant seule presque nue devant tous.


Des hommes et des femmes s’approchèrent de moi.Ils se mirentà me tâter.Des mains glissaient partout,défaisant mon
soutien-gorge,arrachant mon string.Des doigts caressaient,
s’infiltraient entre mes cuisses.Une femme me lécha les
seins,pinçant auparavant mes tétons pour les faire bien
pointer et enroulant ensuite sa langue dessus.Je sentis
une langue sur mes fesses.Une autre sur mon pubis,on m’écarta les jambes,des doigts prirent possession de ma chatte,d’autre sur mon clito,la langue plus audacieuse s’insinua dans mon petit trou.Mon souffle devint court je ne savais plus ou donner de la tête.


Puis quelqu’un étala un matelas par terre on m’allongea
dessus.Un homme me présenta son sexe droit comme un I et
me le mit dans la bouche.J’entrepris de lécher son gland
bien chaud.Puis une deuxième queue se présenta à moi,je
pris les deux entre mes doigts et alterna ma langue de l’aune à l’autre,entrant parfois ces sexes dans le profond de ma bouche.Je sentais contre ma joue une troisième queue
qui perlait doucement.Soudain une femme cria"laissez
la moi" c’était la maîtresse de maison,on lui fit place
et ils se mirent autour de moi.Elle glissa sa main le long
de mon corps.Accentuant la pression sur mes seins.Sa paume
se posa sur ma vulve ce qui m’arracha un gémissement,puis
ses doigts doucement écartèrent mes lèvres et caressèrent
mon clito,je coulais déjà,m’attendant si peu à éprouver
du plaisir avec une femme.Sa bouche se colla sur mon sexe.
Cela me coupa le souffle d’envie.Sa langue était habile
jouant avec mon clito,les lèvres tirant parfois mes lèvres
intimes,sa langue glissait quelquefois à l’entrée de
mon vagin.J’ondulais sous sa douce torture.Puis ses doigts
entrèrent en renfort dans ma chatte.Je criais,je voyais
certains des hommes excités par se spectacle se branler
doucement autour de moi.Je m’offrais impudique sous ses
regards,sous le plaisir que m’offrait cette femme,mon
ventre se contracta soudain et je jouis dans sa bouche dans
un grand râle.


La femme bu toute ma mouille,puis se redressa un sourire
aux lèvres elle écarta son string et posa sa chatte sur ma
bouche en me demandant maintenant de lui rendre l’appareil.
Je sentis cette douce odeur un peu âcre de sa chatte avant
même qu’elle la pose sur ma bouche.Son sexe était plus brun
que le mien,mais épilé aussi.Sa peau était fine etdouce.

Je sentais sous ma langue son petit clito dressé et je m’amusais du bout de ma langue à l’exciter.Elle prenait un tel plaisir que sa chatte m’étouffait presque.Elle se branlait littéralement sur ma bouche.Ma langue s’activait de plus en plus vite et je sentis soudain son jus couler sur mes lèvres,je m’appliquais à tout prendre.Puis elle se leva,mais on ne me laissa pas pour autant.


Les hommes excités revinrent.Des bouches se trouvaient
sur mon corps.On me releva une jambe et une bouche se posa
sur ma chatte et une autre sur mon anus.J’étais déjà très
humide du plaisir reçu auparavant.Un autre me mordillait
un mamelon.Puis une queue revint dans ma bouche.L’homme
pris ma tête et s’activa rapidement au fond de ma bouche,
prenant celle ci comme un sexe.Il déchargea rapidement
m’obligeant à tout avaler.Voyant ma peur,la maitresse
de maison me rassura en me certifiant qu’ils avaient tous
un certificat attestant qu’ils n’avaient aucunes mts.
Je sentis un autre inonder ma poitrine de sperme pendant
qu’une femme venait lécher son sperme sur mes seins.Tout
cela était hyper excitant.Puis un autre pris la place dans
ma bouche.


On me retourna et me fit allonger et m’empaler sur un sexe
dressé.Je sentis la chair coulisser dans mon vagin.L’homme
était bien monté et je sentais bien son sexe me prendre.

Un autre après avoir préparé mon anus vint prendre ce trou
étroit,je ne pus pousser un cri car tout de suite un sexe
vint dans ma bouche.J’étais prise de partout et j’adorais
cela.Lhomme derrière moi poussait fort et vite,empalant
encore plus profondément celui qui était dans ma chatte
me faisant couler encore plus fort.Je ressentis les soubresauts de celui qui était derrière moi,mais vite remplacé par un autre.Celui dans ma bouche déchargea aussi m’envoyantdu sperme plein le visage et les cheveux.Une femme vint lécher le sperme sur mon visage et m’embrassa tout en glissant une main entre mon ventre et celui de l’homme sous moi et caressa mon clito.Les jouissances se succédaient.Jamais je n’avais ressentis autant de plaisir. Je coulais, gémissait,criais,avalais.


L’homme sous moi déchargea dans ma chatte et il fut remplacé par un autre.L’homme derrière moi se retira de mon cul et entra son sexe avec l’autre dans ma chatte.Je subissais une double pénétration vaginale.C’était le pied, l’euphorie,je ne sais plus ou j’étais,tout n’étais que jouissance,plaisir,frissons,Puis ils sortirent tous les deux et voulurent me prendre aussi à deux dans mon anus, mais ils n’y arrivèrent pas car celui-ci était trop étroit donc un seul se contenta d’entrer dans mes entrailles et l’autre se replaça dans ma chatte.Celui dans ma bouche déchargeaencore et me dit" boit tout ma petite salope". Ce que je fis sans me faire prier.


Puis on me fit assoir sur un sexe dos contre son ventre.On
m’écarta les cuisses, on sexe entra dans mon anus.Puis
plusieurs hommes m’écartèrent la chatte bien béante,que c’était bon de les voir me mater ainsi mais ce n’était
pas forcément leur but un homme plaça ses doigts dans ma
chatte,puis sa main entière,il me fista,j’hurlais de
plaisir,je ne savais plus si je jouissais ou urinais tellement j’éprouvais de plaisir.Puis l’homme retira sa main je cru en avoir terminé mais un autre s’approcha pris son sexe dans sa main et entra dans ma chatte ainsi son sexe dans la main et il se branla dans ma chatte sa main entièrement engloutie par ma chatte,je n’en revenais pas. J’étais écartelée au maximum,jamais je n’avais ressentis ce genre de plaisir mélange de douleur et de plaisir, comme un accouchement en fait.Je sentais ma cyprine couler sur mes cuisses,certains la léchait,puis l’homme éjacula retira son sexe et sa main toute poisseuse de cyprine et de sperme et me le donna à lécher,ce que je fis avec plaisir.


Je n’en pouvais plus mon corps était meurtrit par le plaisir,mon sexe était en feu,les hommes se retirèrent et se branlèrent tous sur mon corps fatigué et allongé, j’entendais et voyais des flaches de partout.J’avais l’impression d’avoir une chatte béante et un anus guerre mieux loti.Tous les hommes se vidèrent sur moi.C’était comme si je prenais une douche de sperme,visage,sein, ventre chatte,cuisses,tout prenait.Puis des femmes virent et léchèrent le tout,même le sperme coulant de mon anus. Ce qui m’entraina encore une dernière jouissance.On me laissa et des couples se formèrent faisant l’amour à droite et à gauche.

Tu m’emmenas vers une pièce qui se trouvait être une salle de bain je n’avais plus de force et tu me lavas doucement. J’étais épuisée mais heureuse,jamais je n’avais ressentis autant de jouissance.Tu m’appris plus tard qu’en fait qu’ils ont été 11 hommes à me prendre les uns après les autres.

jeudi 28 octobre 2010

Une Femme violée et torturée par son agresseur...

Une femme qui rêve de viol et de torture, m'a demandée de lui écrire un scénario pour son plaisir et le vôtre en voici une partie, pour vous donner envie de lire la suite.

Un homme de 47 ans, en cavale recherché par la Police cherche une maison isolée pour se cacher et passer la nuit, il est 22h30, il se dirige dans la nuit et voit de la lumiére chez toi, discrétement il observe par une fenêtre pour voir si tu es seule, à l'extérieur tout est calme et sombre, il voit une baie légérement ouverte, il fait chaud! c'est l'été et le volet de ta chambre n'est pas encore fermé, aprés avoir vérifié que tu es seule assise devant la télé, il se glisse à l'intérieur sans faire de bruit, avec le son de la télévision qui couvre les bruits de ses pas, il se cache derriére une porte, et quand tu te léve pour aller dans la salle de bain, il se jette sur toi par derriére, te prend dans ses bras virils, et pose une main sur ta bouche brutallement...
-Si tu crie je te tue, t'a bien compris!! tu vas faire tout ce que je vais te dire salope, écoute bien je ne te le dirait pas deux fois. (habillée en jeans avec un chemisier clair avec un foulard)
-Répond moi avec la tête Ok! tu attends du monde ce soir?
-Non! en faisant un signe de la tête
-Tu vis seule ici?
-Oui, en te débattant un peut pour fuir vers la salle de bain. -Je t'ai dit de ne pas bouger salope, avec une violante giffle sur le visage, tu tombe par terre et te donne un coup de pied dans les fesses, et si tu gueule je te tue avec mon couteau comme une chienne, en arrachant le fil de téléphone dans l'entrée, passe le fil autour du coup et sur les poignées dans le dos, en te tirant par les cheuveux jusqu'au lit dans ta chambre, prend un mouchoir et te force à ouvrir la bouche et te bayonne avec le foulard, allongée sur le lit tu n'ose plus bouger...
-Voilà c'est mieux tu ne bouge pas Ok! j'ai beusoin d'une voiture tu en a une?
-Un signe de tête pour dire oui.
-Je vais manger et dormir ici, je partirai demain avec du fric, tu as du fric chez toi?
-Un signe de tête pour dire non.
-Il me faut du fric, ta une carte?
-Un signe de tête pour dire non.
-Je vais enlever le bayon, et tu vas parler, si tu gueule je te coupe une main t'a compris?
-Oui Monsieur, mais ne me faite pas de mal s'il vous plais... -Vas y parle salope! ou est ta carte bleue, assis sur ton ventre.. -J'en ai pas! Monsieur.
-Menteuse! je suis sur que t'a du fric caché quelque par...
-Je n'ai rien, c'est vrais!! peut être 10 euro dans mon sac, je vous en prie!! partez et je ne dirais rien je vous promet. -Aaah! c'est comme ça, il se reléve et se jette sur ton jeans en arrachant les boutons, et le retir avec le petit string jusqu'au chevilles et le jette par terre, et avec le reste du fil de téléphone, il ligature tes chevilles de chaques côté du lit, allongé sur toi, il détache tes poignées déjà rouge, pour les fixer solidement à la tête du lit, attachée en croix sur le dos les cuisses ouvertes, sans pouvoir crier par la peur, il te bayonne quand même avec le foulard, en disant tu peux gueuler maintenant et quand j'en aurai fini avec toi tu vas parler tu vas voir... assis sur ton ventre, il pose ses mains sur tes seins et ouvre ton chemisier en arrachant tous les boutons, passe son couteau entre tes seins et coupe d'un coup sec ton soutien gorges, passe encore sa lame froide sur les pointes, qui se dresse aussitôt, pose le couteau sur le lit et commence à maltraiter les bouts avec ses doigts, en tirant fort dessus, un cris de douleur dissimulé avec le bayon sort de ta bouche, une autre giffle sur la joue.
-Je t'ai dit de fermer ta gueule salope, tu sais ça fait deux mois que je n'ai pas baisait une pute, dit il en tirant sur tes mamelons bien irrités...
Meummmeuemmmeummm!!! -On dirait que tu commence à aimer ça! hein! tu m'excite de trop je vais te baiser, en sortant sa queue épaisse et déjà bien raide, regarde ma queue! tu vas voir, tu vas aimer ça. en retirant son pantalon, il enléve aussi sa cienture en cuir, pliée en double dans sa main droite et commence à frapper tes seins, et aussi sur le ventre plusieur coups assez violant, et surtout cinq coups sur ta chatte bien ouverte, en laissant des marques entre les cuisses et autour du clitoris bien dilaté par les coups, et devient trés sensible au toucher, d'un seul coup de rein son pieux pénétre tes petites lévres qui s'ouvre difficilement, mais avec ses mains autour de ton coup, il force sur ses bras et donne un deuxiéme coup de rein et rentre violament jusqu'au fond.
-Ahhh! Ahhh! c'est bon de baiser une salope étroite qui mouille, Ahhh!!! ça faisait longtemps, aprés quelques va et viens trés fort ...Ohh! je vaiiis jouuiiiiir ...Ohh! putain c'est bon!
-Tu sais ce que j'aime aussi quand j'ai joui avec une pute, c'est une petite clope! Humm! si tu ne gueule pas comme une truie, je te retir ton truc.
-Oh! Ahhh! merci je ne peux pas respirer avec ça.. d'une petite voix, et avec le bout rouge de la cigarette à quelques milimêtres du visage et qui descend le long du coup.
-C'était bon hein! ça t'a plus quand j'ai joui dans ta chatte. -Heuuu! Heuuu!
-Bon maintenant tu vas me dire ou est le poignon ma belle, avec sa grosse queue encore dans le fond de ta chatte, et avec la cendre rouge il passe au dessus des seins en faisant le tour de la pointe, et appui doucement sur la pointe qui noircis avec la cendre...
-Ahhhh! Ahhhh! Ohhh! Aie! Ahhhhhhhhh! Oh! Ouiiiiiiiiiiii! Humm! ; la pore de la chambre s'ouvre un homme en costume entre dans la piéce....
-Alors Chérie tu as joui? il est super Franck pour les scénarios -Ouiii Mon Amour j'ai joui trés fort, mais il a oublier de m'enculer et tu sais comment j'aime ça..
-Ce n'est pas grave je vais m'en occuper de ton cul, tu m'a excité avec tes cris tu sais Chérie..
-Oh! Oui! tous les deux en même temps...
-Alors Franck, c'était une bonne idée le coup du téléphone, mais maintenant il faut que tu me répare ça rappidement, tu reste dormir ici et on verra ça demain ensemble, oui Franck c'est notre contact au bureau de france Télécom, et j'ai voulu te faire plaisir en te faisant une surprise, toi qui rêve de te faire violer et torturer avec un homme brutal....

Premiére partie JP

mardi 26 octobre 2010

Chantage ou complicité?

Je t’ai donné rendez-vous au cinéma, pendant un instant tu as espérée qu’il s’agisse d’un cinéma avec beaucoup de monde, un lieu où rien ne pourrais arriver. Mais évidemment, il s’agit d’un petit cinéma près des jardins du Luxembourg.
Tu as reçu le titre du film et tu es censée aller t’installer au dernier rang. Les autres instructions ne laissent aucun doute sur mes intentions. Une jupe courte, pas de culotte, une chemise et juste un petit gilet si vraiment il fait froid.
Arrivée au cinéma un peu avant la séance, tu entre dans ce lieu inconnu. Il y a encore une petite file d’attente qui mène à la cabine de la caissière, une petite femme âgée qui semble aigrie alors qu’elle explique au couple devant elle d’une voix ferme et énervée que non, elle ne prend pas les chèques.
Je ne suis pas là. Ou en tout cas, tu ne me vois pas. Peux être que je ne viendrais pas, que je te laisserais là, tu espères tant que je te laisserais tranquille. Tu veux y croire même si tu sais que ça ne sera pas le cas. Tu sais à quel point j’aime profiter de toi, faire de toi ma chose. Tu n’oses imaginer à quel point l’obscurité et le risque de se faire surprendre va m’exciter.
La caissière te ramène sur terre alors qu’elle te demande quel film tu viens voir. Tu prends ton ticket et au regard qu’elle te jette tu es convaincue qu’elle sait pourquoi tu es là, que pour cela tu la dégoutte. Tu baisses les yeux et tu montes rapidement vers la salle.
Celle-ci est basse de plafond, courte en profondeur. Les rangées de fauteuils étroites. Il y a déjà quelques personnes en train de s’installer. Cela te rassure un peu, peut-être qu’il y aura malgré tout trop de monde. Mais alors que tu avances pour t’asseoir, tu remarques un recoin de la salle non visible depuis l’entré dans lequel il y a encore quelques sièges. Voir l’écran depuis cet endroit ne dois pas être des plus confortable, personne n’ira s’y mettre sans y être obligé, personne ne viendra te sauver là-bas.
Les lumières baissent légèrement alors que les publicités démarrent, il n’y a plus de mouvement dans la salle, juste quelques couples qui chuchotent encore. C’est alors qu’une ombre passe devant, tu me reconnais et tu frémis quand que je pose mon regard sur toi. Ce tendre sourire que je t’adresse te ferait presque oublier ce que je te fais subir à chacune de nos rencontres. Tu esquisse un début de sourire en réponse car tu sais que je n’aime pas quand tu fais la tête. Tu réponds également à mon baiser alors que sans avoir même enlevé mon manteau ma main saisie ton sein gauche.
« Hum, pas de soutien-gorge, ça n’était pas demandé ça, j’apprécie l’attention ».
Je m’installe en faisant la conversation, est-ce que tu as trouvé la salle facilement ? Comment était ta journée ? Pas trop fatiguée ? Et sur le même ton de conversation « Relève donc ta jupe que je puisse vérifier que tu n’as pas mis de culotte non plus ». Tu m’adresse un regard suppliant alors que tu remontes doucement ta jupe. La douceur du fauteuil sur tes fesses te donne une étrange sensation. Mon regard s’attarde quelques instants sur ton sexe, je souris et continue ma discussion. Tu as déjà entendu parler de ce film ? La critique n’est pas mauvaise. Je continue comme ça jusqu’à l’extinction des lumières.
Le film commence, ton stress diminue au fur et à mesure que l’histoire commence et que je ne te fais rien, je semble apprécier le film. Tu te laisses alors aller et tu commences à entrer dans l’histoire. Mais alors que tu allais oublier ma présence, une main absolument glacée se pose sur ton sexe, tu as faillis crier sous la surprise.
Je t’avertis « Attention, tu vas réveiller toute la salle »
« Mais ! Ta main est gelée » me réponds-tu d’une petite voix.
« Je n’ai pas le choix alors, je dois t’empêcher de faire trop de bruit » C’est ma justification pour plaquer alors ma bouche sur la tienne. Ma langue caresse doucement la tienne au rythme de ma main qui te caresse. Tu serres un peu les cuisses, espérant ainsi réchauffer un peu ma main. Mon index titille lentement ton clitoris pendant que mon majeur joue avec tes lèvres. Alors que ma main se réchauffe, tu te laisses lentement aller à ces stimulis. Tu es d’autant plus étonnée quand je relève subitement ma tête et que tu devines mon regard surpris dans l’obscurité.
« Est-ce que l’on serais en train d’apprécier la situation ? » C’est à cette question que tu remarques enfin ta main en train de caresser mon sexe. Réalisant ce que tu fais, tu replis rapidement les bras. « Mais continus donc ce que tu faisais, tiens je vais t’aider un peu » dis-je en libérant mon sexe. Encore sous le choc de ce que tu t’es laissé faire, tu te mets alors à me branler doucement.
Pour ma part après avoir ouvert ta chemise je mets quelques doigts dans ta bouche pour que tu puisses les mouiller, une fois cela fait, je peux alors commencer à rentrer lentement un doigt dans ton sexe, l’humidité déjà présente me fait rapidement entrer un deuxième doigt et je commence alors de doux va et vient tout en léchant ta poitrine.
Au moment où tu recommences à gémir, ma bouche revient une nouvelle fois étouffer les bruits à la source. Mais cette fois ma langue se fait plus énergique, plus vivante, tu y réponds avec autant d’entrain alors que ta main se fait également plus vive. La pression se fait de plus en plus forte et tu tentes de retenir tes cris alors que tu te mets à jouir.
« Sais-tu à quel point tu es belle quand tu jouis ? » Tu ne sais que répondre alors que tu es surtout à regarder autour voir si quelqu’un à réagis à tes gémissements. « Je veux te gouter » je me penche alors et commence à lécher ton sexe complétement trempée, j’aspire ton jus, ma langue s’enfonce autant qu’elle le peut entre tes lèvres. Je fais des allers retours entre elles et ton clitoris. Très rapidement tu relèves ton bassin afin de me faciliter la tâche, tu ne demandes que ça, tu te laisses totalement aller, la seule chose sur laquelle tu cherches à garder un minimum de contrôle, ce sont tes grognements de plaisirs.
Une de mes mains commence à te caresser les seins, alors que l’autre profite de ta nouvelle position pour s’amuser avec ta petite rondelle. Tu n’aimes pas, mais tu es trop partie déjà pour oser me demander d’arrêter. Tu ne résiste pourtant pas très longtemps à ce traitement et à nouveau tu jouis, mais sans mes lèvres pour étouffer tes cris je suis obligé de mettre ma main devant ta bouche.
Je me redresse et alors même que tu cherches encore à reprendre ton souffle, je te prend par le cou et t’amène violemment sur mon sexe parfaitement rigide d’excitation. Tu commences alors une profonde fellation que j’accentue au grès de mes pressions sur ta tête. A l’occasion je te laisse respirer pour mieux te faire me lécher les couilles pendant que tu continues à me masturber. Il te faudra ce qui te semble être une éternité pour parvenir à me faire venir. « Tu ne laisses pas une seule goutte t’échapper tu m’entends ? » sont les derniers sons qui sortent de ma bouche avant que de longs flots de sperme soient projetés au fond de ta gorge.
Tu continues tout du long à me sucer, même après mon éjaculation, tu sens que mon sexe est atrocement sensible et que je cherche à m’échapper de ta bouche, mais tu me maintiens ainsi encore quelques minutes. Lorsque finalement tu te redresses, je remonte aussitôt mon pantalon, pourtant lorsque de ton côté tu cherches à rabaisser ta jupe je t’arrête rapidement. Sans un mot nous finissons de regarder le film avec une main qui caresse doucement tes cuisses.
Alors que les lumières se rallument, je t’embrasse tendrement. « Tu étais parfaite mon ange ».

vendredi 22 octobre 2010

Un petit jeu bandant ..

L'été passée une amie que je connais depuis peu m'a
invitée à passer le week-end au chalet d'un de ses amis.
C'est un endroit tranquille,au bord d'un lac perdu dans les bois loin de tout.Nous sommes six.Ma nouvelle
amie et quatre de ses copains.


Arrivé tôt le matin nous profitons pleinement de cette chaude journée.Le soir nous faisons la fête dehors près d'un feu de camp et l'alcool aidant nous faisons un peu les idiots.Un des gars propose un jeu.Une personne se fait bander les yeux et doit se laisser guider par les autres et faire tout ce qu'ils disent.


Je suis la première victime.On rigole bien car ils me font
faire des idioties pas possible.Je dois maintenant
m'assoire en califourchon sur un banc.Je me demande bien ce qu'ils vont encore inventé quand un des gars s'assoit derrière moi et me dit que je ne dois pas bouger.Il commence à me caresser.J'essaye de me relever mais il me retient et me rappelle que c'est le jeu et que je
dois le jouer jusqu'au bout.Je panique un peu mais je constate que je n'ai pas le choix lorsque je sens des mains sur mes cuisses.



Celui derrière moi me caresse,ses mains fouineuse sous
mon chandail ne se gêne pas pour explorer mes rondeurs.Il m'enlève mon chandail et descend mon soutien-gorge sous mes seins.Collé contre mon dos,je sens son érection à travers son short et son souffle d'excitation dans mon cou.



Pendant ce temps,les mains contre mes cuisses ont relevé
ma petite jupe et,m'écartant les jambes pour aller explorer.Écartant ma petite culotte,une langue y commence
une exploration plus appronfondie.



La situation,à ma grande surprise,m'excite.De petits
gémissements de plaisir m'échappent,ce qui attise la flamme d'excitation de mes bourreaux.Je me retrouve vite couché sur le banc,pratiquement nue exposé aux regards
de ces cinq pairs de yeux.



Je sens sûr moi des mains qui me caresse,me pelotte les seins faisant durcir mes mamelons.Des membres durcit par l'excitation se promenant sur moi pendant qu'un autre toute aussi dur se frait un passage entre mes lèvres pour s'enfoncer dans ma bouche.Ces caresses multiples m'excitent
comme jamais et je prends plaisir à déguster la bite énorme
que j'ai dans la bouche.



Je sens soudain contre ma chatte humide d'excitation un sein.Je me rends soudain compte que c'est ma copine qui me dégustais l'entre-jambe.Surprise j'arrête la délicieuse fellation que je suis en train de faire.On me rappelle à l'ordre en me l'enfoncant un peu plus profondément dans la bouche.



La surprise passée la situation m'excite encore plus et je reprend de plus belle cette délicieuse fellation.Je les entends changer de place,une nouvelle bouche se retrouve entre mes cuisses,suçant et mordillant mon clitoris en m'enfoncant les doigts dans la chatte on m'excite à fond.



On enlève mon bandeau,je vois ma copine nue au dessus de
moi en califourchon.Elle me dit de lui manger la chatte.
Je regarde un peu autour de moi.Je vois la tête du gars entre mes cuisses qui me regarde,il y a deux gars de chaque côté ,nus.Ils nous caressent ma copine et moi.

Ma copine au-dessus de moi se penche vers l'avant et commence à suçer le dernier en me redisant de lui bouffer la chatte.



Cette vision est hyper excitante.Je lui fait plaisir et
commence à m'occuper de sa petite chatte.M'écartant un peu plus les jambes,le gars à l'autre bout me pénètre en douceur,enfonçant entièrement son membre gonflé à bloc.

Il commence un va et viens des plus exquis,accélérant
l'allure rapidement,me pénétrant de plus en plus fort se qui m'excite au max.Je lèche ma copine avec ardeur, jouant avec son clitoris et la masturbant pour l'amener au bord de la jouissance.



Les gars sont aussi au comble de l'excitation,ils jouissent pratiquement en même temps.Un m'inonde la chatte de sa semence,les deux autres m'aspergent le ventre et les seins de leur sperme chaud et le dernier jouit dans la bouche de ma copine.Ce flot de jouissance m'achève et je jouis à mon tour.



Je n'avais jamais éprouvé une telle jouissance et une telle excitation.Je n'ai jamais regretté ce week-end
rempli de nouvelles expérience plus délicieuse les unes
que les autres. avons remis ça tout au long du week-end,
ce fût hummm..... délicieux.

jeudi 21 octobre 2010

1ere experience bi

Après avoir déposé mes bagages dans la chambre et pris une bonne douche, je me decidai de faire une petite ballade en ville. Après une demi heure, la chaleur faisant, je m'assis à la terrasse d'un café pour siroter une bonne bière. A la table d'à côté, se trouvait un couple, la 50ène, occupé à discuter. Après un certain temps, je m'aperçus que ces personnes étaient du coin. Dès lors, je les abordai, en leur précisant que j'étais de passage et que j'aimerais qu'ils me fassent visiter la ville, s'en abuser de leur temps. Ils acceptèrent et nous voilà, tous les trois en train de faire du tourisme.
En fin d'après-midi, je demandais a Isabelle et Marc s'il connaissait un bon restaurant pour le soir. Marc me proposa alors de venir diner chez eux car sa femme était une fine cuisinière et que je me régalerais beaucoup mieux qu'au restaurant. Marc, voyant mon hésitation, me dit que je ne dérangeais absolument pas et que ça leur feraient un immense plaisir de me recevoir. Je retournai donc à l'hôtel pour me changer, avec en poche leur adresse.

Vers 20hOO, j'arrive chez eux, avec en main, un bouquet de fleurs et fut reçu par Isabelle, habillée d'une robe arrivant à hauteur des genoux, bas noirs et talons hauts. Elle me fit entrer dans le salon et me dit de me mettre à l'aise, que Marc finissait de se préparer, et qu'elle retournait dans sa cuisine pour surveiller la cuisson.

L'apéro se déroula normalement ainsi que le repas, succulent d'ailleurs. Marc me proposa d'aller de nouveau au salon pour prendre le digestif tandis qu'Isabelle mit une musique douce. L'alcool aidant, je me sentais de plus en plus a mon aise, c'est alors qu'Isabelle m'invita en danser un slow.

Pendant que l'on dansait, Isabelle se colla à moi et je sentis ces hanches se frotter contre les miennes. Cela me fit avoir une érection et bien sur, Marc, assis dans le fauteuil, ne manqua pas de le remarquer.

Le slow terminer, Isabelle m'invita à m'asseoir à côté d'elle, dans le divan. Elle commença alors à me caresser le haut de la cuisse et mis sa main sur mon sexe en érection.

Sentant une gêne de ma part, Marc me dit qu'il aimait voir sa femme faire l'amour avec un autre homme et que cela l'excitait.

Isabelle entreprit de me déshabiller totalement et se mit à me pomper le gland tout en me massant les boules et en me titillant la rondelle. chosse que j'apprécie fortement quand une femme me fait une fellation.

De mon coté, je me mis à déboutonner la robe et découvris qu'Isabelle ne partait sous sa robe qu'un porte-jarretelle. Elle avait des seins fermes et son entre-jambes était dépourvu de poil. Mes mains commencèrent à descendre sur sa poitrine, où les tétons se dressaient fièrement, et continuèrent l'exploration jusqu'à son sexe épilé. J'y decouvris un clitoris tout en érection et surtout qu'elle mouillait énormément. Marc, pendant ce temps, s'était dévétu et se carressait le sexe tout en nous regardant.

Isabelle m'invita alors, après s'être couchée sur le divan à l'honorer avec ma langue. Je commencai donc par lui lécher le clitoris qui se dressait devant ma bouche puis me mis à lui passer la langue dans sa vulve toute mouillée.

Aprés quelques minutes, Isabelle me prit par les épaules et me fit remonter vers elle pour me permettre de la pénétrer, chose qui fut facile tant elle était dans un état d'excitation. Elle m'entoura les hanches avec ses jambes pour me donner la cadence du va et vient car elle ne voulait pas jouir trop vite et profiter de ma queue au maximum.

C'est alors que je sentis deux mains commencer à me carresser les fesses et des doigts me toucher les testicules et la rondelle. Marc me demanda si cela me dérangeait car il avait remarquer que j'appreciais quand sa femme me le faisait. Je lui répondis que je n'avais jamais eu d'expérience de ce type et que cela m'excitais de me faire caresser pendant que je pénètre son épouse.

Isabelle, pendant ce temps, me donnait toujours le tempo du va et vient.

Marc continuait à me titiller la rondelle et commença à introduire un puis deux doigts dans mon anus. Je sentais une excitation nouvelle monté en moi et invitais Marc à continuer ce qu'il était en train de faire. Après m'avoir bien dilater la rondelle, Marc se mit derrière moi et commença à me pénétrer avec son sexe. Je voulu me relever mais Isabelle m'en empécha avec ses jambes et en profita pour m'embrasser. De part cela, je n'avais plus qu'à accepter cette situation.

Marc commença son va et vient et m'obligeait à aller au plus profond du sexe d'Isabelle. Je sentais une chaleur prendre possession de mon corps et je savais que je n'allais pas attendre longtemps avant de jouir. Isabelle l'avait remarquer et m'invita à jouir en même temps qu'elle. Isabelle se mit à crier et à se trémousser. Elle jouissait ce qui me fit partir au septième ciel et j'envoyai ma semence dans le corps de ma partenaire. Je n'avais jamais connu une telle extase.

Marc se retira de moi et vint mettre son sexe devant nos deux bouches. Isabelle me demanda de le sucer en même temps qu'elle. Elle me montra comment faire car je n'y connaissais rien de la fellation. on se mit à passer nos langues sur le gland de Marc et à mettre son sexe à tour de role dans nos bouches. Je voyais Marc commencer à ahaner de plus en plus et je savais qu'il n'allait pas tarder à jouir. Par contre, je ne m'attendais pas à ce qu'il décharge sa semence au moment que c'était mon tour de le gober. Je sentis un jet chaud m'arriver dans le fond de la bouche.

Isabelle me demanda de ne pas avaler car elle voulait profiter aussi du jus de son mari. Je l'embrassai avec passion et nous nous sommes partagés celui-ci.

Après m'être remis de mes émotions, j'expliquais à mes hôtes que c'était ma première expériences bi et que j'avais apprécié cela. Isabelle en fut contente et recommença à me caresser.

Bip.bip.bip.bip

et merde, il est temps de se lever pour aller travailler et je m'aperçus que j'étais dans un état d'excitation extrême. Dommage que ce n'était qu'un reve et qu'il serait agréable de vivre cette expérience en réalité.

dimanche 10 octobre 2010

une assurance bien placée!

Lundi dernier, ma femme etait partie pour la journée avec une amie. Elle avait a peine fermé la porte que je me suis précipité pour enfiler mon porte jarretelles favoris, le noir et rose, et le string et soutien gorge assortis, le tout recouvert d'une petite robe bleue ciel agrementée d'escarpins a talon.


vêtu de la sorte, je surfait sur jalf, cherchant les videos, les histoires et tout ce qui pouvait augmenter mon excitation deja grande!


Vers 11h30 l'interphone sonne, c'etait un agent d'assurance avec qui j'avais rdv et que j'avais completement oublié.


je lui ouvre et le temps qu'il prenne l'ascenceur jusqu'au 5ieme etage je cours dans ma salle de bain, enleve les escarpins, la robe et enfile un grand peignoir de bain, juste a temps pour lui ouvrir la porte.


je m'excuse de le recevoir dans cette tenue et le précède dans mon bureau en priant pour qu'il ne remarque pas mes jambes gainées de bas noirs , ou qu'il pense que se sont des chaussettes fines.
Mais j'ai oublié mon ordinateur!!!JALF en grand écran.!!
Il s'approche de l'ecran en me disant:"avant de parler assurance, faisons plus ample connaissance".Nous voila cote a cote a regarder l'ecran.
De la main droite il prend la souris et met ce que j'etais entrain de regarder avant son arrivée: ma video favorite ou l'on voit un europeen se faire enculer par un beau braquemart noir.
Je suis tout géner et en même temps exciter, je sens alors sa main gauche qui ecarte les pans de mon peignoir et caresse ma cuisse dans son bas noir. Il remonte tout doucement jusqu'a la ja rretelle a l'endroit ou la peau est nu, s'arrete tout en continuant a caresser, puis reprend sa progression vers le haut.

Ma queue est raide, la gêne est maintenant partie seul reste l'envie de cet homme, pas tres grand mais bien bati.
Il se tourne vers moi me prend dans les bras et me roule une pelle profonde, humide et longue, sa grosse langue fouillant ma bouche. Il me repousse vers le sofa sur lequel je m'assoie, enleve sa veste et chemise, pendant que je defait sa ceinture baisse son pantalon et caleçon, caresse sa bite pas tres longue mais large. je le branle delicatement, il m'attrape par les cheveux et me la fourre dans la bouche."Suces, je suis sur que tu aimes ça, hein ma salope, parceque tu es une salope, n'est-ce? une poufiasse qui aime se faire baiser. fais moi bien raide et ton cul n'en reviendra pas tellement je peux tenir longtemps" me dit-il. Je suce sa bite, la bouche grande ouverte tellement elle est grosse, c'est un delice. Deja je la ressort pour lui confirmer combien j'aime ça. "T'arrêtes pas dit-il en me l'enfornant de nouveau et me giflant pour m'être interrompu. C'est pas le premiére hein? je fais non de la tête.
Il me malaxe les seins a travers le petit soutien gorge.
"Viens je vais t'enculer comme une belle vicieuse que tu es".
je sors du gel d'un tiroir et remet sur ses ordres mes escarpins, il me fait mettre a 4 pattes sur le sofa, me dit d'ecarter les fesses avec mes mains pour bien degager mon petit trou, enfonce 1,2 ou 3 doigts plein de gel, a ce stade je ne sais plus, je suis tellement demandant, je le dis , le pleure, le quemande, puis il m'enfonce son pieux dans le cul. Il est tellement large que j'ai mal, mais bien vite la douleur fait place au plaisir. Il me prend par les hanches et pompe mon cul, je cri de plaisir, lui dit combien c'est bon.
Lui continue ses va et vient,me traite de femelle en chaleur,de pute, de sale pd. Puis se retire. me fait allonger sur le dos sur le tapis du sol. Sur ses instructions, je releve les jambes, écartes largement les cuisses en tirant. Il me baise a nouveau cette fois-ci en rentrant d'un seul coup.
je tiens mes cuisses avec mes mains pour les garder bien ecarteés. Il me baise tres fort, et en mêmme temps a attrapé ma bite, la serre tres fort en la branlant.


Je ne sais plus ou je suis, je geins , râle, cri, je sens sa grosse queue me faire tant de bien et sa main aussi. Son ventre claque sur mes fesses.
"C'est comme ça qu'on doit baiser les femelles de ton espéce", je sens que je vais jouir, je le dis. "Vas y gicle toi dessus, ce que je fais. Rapidement il se retire,
se branle et m'envoie toute sa purée sur le visage.
Il me leche le visage, m'embrasse, on met un certain temps a revenir sur terre.


Puis il se rhabille, je le raccompagne, on s'embrasse a nouveau et je lui dis que pour les assurances, je n'ai pas tout compris!!! qu'il va falloir qu'il revienne. Depuis j'attends son coup de fil qui devrait venir lundi prochain m'a -t-il dit!!!

mercredi 6 octobre 2010

Hôtel de la plage

Le déjeuner fut excellent. Nous nous regardions dans les yeux, oublieux du reste du monde.Un couple élégant d’une quarantaine d’années déjeunait lui aussi à deux tables de nous. Je les observais du coin de l’oeil. Ils jetaient de fréquents regards vers notre table et chuchotaient en riant. Ils avaient l’air sympathique et ouvert. D’un coup, une bouteille de vin apparut sur notre table. La serveuse nous dit : « Ces messieurs/dames de la table à côté ».Nous remplîmes nos verres et nous tournâmes vers eux pour les saluer. « Vous êtes français ? » « Oui, mais venez donc à notre table et merci pour le vin ».Elle s’appelait Danièle, était petite rousse et pulpeuse. Lui Georges, les cheveux déjà légèrement argentés, d’allure sportive et décontractée. Ils étaient ici en vacances. Nous bûmes la bouteille puis une autre, puis des cafés. Ils habitaient l’hôtel de la plage depuis quelques jours. Georges nous avoua que depuis le balcon de leur chambre il nous avait vu dans l’eau avec ses jumelles, tout la bas à la fin des bouées. Ce qu’il avait vu lui avait bien plu (rires). Je regardai Franceska qui rosit. Nous étions maintenant à la fin de l’après midi. La plage, un désert. Plus de client dans la taverne. « On fait quoi ? » Demanda Georges. « Venez boire un verre dans notre chambre. Il y a une si belle vue du balcon ». Clin d’œil ? Je consultai ma femme du regard. Un battement de paupière. C’était oui.La vue de la terrasse était vraiment belle. Rien que la mer et dans le lointain cotonneux, l’île d’Aegina.La chambre était vaste, occupée par un lit géant. Georges saisit le téléphone intérieur et commanda une bouteille de champagne et des amuse-gueule. Il avait un Ipod qu’il branchât sur les baffles de la télé. Il avait bon goût en matière de musique. Le jour tombait lentement mais il n’alluma pas la lumière. La pénombre se fit plus épaisse. Danièle disparut un long moment dans la salle de bain. Elle revint enfin vêtue d’un déshabillé élégant, vaporeux, vaguement transparent. Elle s’allongea sur le lit, une jambe repliée sous elle. Georges alluma la lampe de chevet. Une douce lumière chaude et tamisée envahit la chambre.A part un pouf et une chaise, pas d’autres endroit pour s’asseoir. Franceska était assise sur le bord du lit, j’étais sur le pouf. Georges, le verre à la main, s’allongea à moitié sur le lit. Il avait enlevé ses chaussures. La conversation avait légèrement dérapée, plus que légèrement. Nous parlions maintenant de libération sexuelle. Enfin, Georges en parlait avec une certaine véhémence. Franceska me regardait, un léger sourire sur les lèvres. Je vis la main de Georges se posait d’abord sur le genoux de Danièle puis remonter lentement vers le haut de sa cuisse à demi dénudée. Danièle nous observait, les yeux mi-clos, les deux mains sur ses seins qu’elle semblait caresser.L’atmosphère se chargea lentement d’électricité. La tension érotique se fit palpable au fur et à mesure du temps écoulé et de la conversation de plus en plus chaude. La cuisse de Danièle était maintenant nue jusqu’à l’aine et quelques poils roux et bouclés dépassaient la bordure de son déshabillé. Sa main droite avait disparu à l’intérieur du vêtement et il était visible qu’elle se massait le sein et en pinçait le bout. Je vis le regard de Franceska se river sur ce spectacle. Elle passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres sèches. Je vins m’asseoir à son côté sur le lit.Georges saisit de ses doigts le bord du déshabillé et l’écarta entièrement dévoilant ainsi la nudité de Danièle qui écarta les jambes. Sa vulve nichée dans sa toison rousse nous apparut. Fascinés par cette image nous n’avions pas remarqué que Georges, profitant de notre émotion, avait débouclé sa ceinture et descendu la fermeture éclair de son pantalon de toile exposant ainsi son slip d’où débordait le bout enflammé de son gland. Je posai ma main sur le genoux de ma femme et le senti trembler sous mes doigts.Georges était maintenant positionné, à genoux, à la tête du lit. Sa verge dénudée frôlait la bouche de Danièle, une belle verge au gland violacé en forme de champignon. Danièle ouvrit la bouche et, très lentement la queue bandée s’y introduisit jusqu’à la racine. Des doigts de sa main droite, Danièle écarta les grandes lèvres sur l’univers nacré et rose de son con.C’en fut trop pour moi. Je me dressai et en deux secondes ma verge douloureuse et raide fut dehors. Franceska, les yeux fixés sur le spectacle, se laissa déshabiller entièrement. Sa respiration était rapide. Elle se mit à ramper sur le lit et bientôt son visage se trouva joue à joue avec Danièle, à quelques centimètres de la queue qui allait et venait dans sa bouche. Elle ne résista pas longtemps, sa main se saisit du membre et l’engouffra entre ses lèvres. Ma femme était couchée sur le côté contre Danièle sur le dos, les jambes écartées. Je me penchais d’abord sur la vulve grande ouverte de Danièle et me mis à la sucer. Dans le même temps, je plongeai deux doigts dans le vagin trempé de Franceska qui continuait à pomper la queue de Georges en alternance avec Danièle.Franceska souleva une cuisse m’invitant ainsi à la pénétrer ce que je fis, à genoux entre ses cuisses. Je vis la main de ma femme remplacer ma bouche sur le clitoris de Danièle, se mettre à le caresser, à le masser. Puis elle enfonça deux doigts en crochet dans le vagin béant, puis un troisième. Elle se mit à les faire aller et venir rapidement. Je pouvais entendre le bruit mouillé que cela produisait. Le quatrième doigt rejoignit les autres et enfin le pouce. Franceska avait désormais sa main enfoncée dans le vagin dilaté, il s'en fallait de peu pour qu'elle y disparût entièrement. Franceska faisait maintenant des mouvements de rotation, poussant lentement, cherchant à aller encore plus loin Je voyais ses jointures disparaître puis réapparaître gluants. Danièle se tordait de plaisir, elle n'allait pas tarder à exploser… Mais non, car Franceska retira sa main lentement, sa main trempée qu'elle tendit à ma bouche pour que je les nettoie, ce que je fis avec avidité.C'est alors que Georges intervint. Il fit mettre Danièle à quatre pattes, en 69 avec Franceska, et lui lécha longuement l'anus. Danièle avait la tête entre les cuisses de ma femme. Elle regardait ma queue allait et venir lentement dans son vagin. De ses deux mains, elle écarta les grandes lèvres pour exposer totalement le clitoris. Elle poussa un long râle quand elle senti la queue de Georges pénétrer son anus puis elle se pencha et posa sa bouche sur le clitoris durci. J'imaginais ma femme caressant les testicules de Georges et alternativement caressant le clitoris de Danièle, introduisant de nouveau ses doigts dans le vagin brûlant, sentant la queue de Georges à travers la fine membrane du périnée.Ah, que le spectacle de nous quatre était excitant à voir! Je sortais parfois ma verge et la plongeais, humide, vernissée, dans la bouche de Danièle. Enfin, je me penchais, et réunissant le maximum de salive la déposais sur l'anus de ma femme. Je soulevais son bassin et disposais un coussin sous ses reins puis je pris ses jambes et les levai bien écartées. Je vis le visage de Danièle envahir la vulve qu'elle se mit à laper. Ma queue pénétra lentement l'anus. Je restai un long moment immobile au fond de ce rectum dont je sentais les contractions spasmodiques.Brusquement je vis frémir les épaules de Danièle. Tout son corps se mit à trembler. Un son étouffé sorti de sa bouche toujours collée à la vulve de FranceskaDans le même temps, je vis un long jet de sperme atterrir sur son dos, puis un deuxième. Cela porta mon excitation au paroxysme. Je fis quelques aller retours rapides et éjaculai sur le visage de Danièle. Mon sperme s'écoula sur la vulve de ma femme et Danièle s'empressa de le lécher. Restait Franceska qui s'était emparée de la verge de Georges, libérée, encore dur, et la tétait gloutonnement Nous la caressâmes tous les trois jusqu'à ce qu'enfin, elle aussi soit submergé par un long orgasme…

dimanche 3 octobre 2010

Veuve de hockey ? Nous avons la solutions mesdames...

Mon époux est un grand admirateur de Hockey et bien sûr à chaque partie que l'équipe locale joue, je deviens une veuve de hockey, dans le sens que plus rien de compte pour lui que de regarder la partie qui est toujours télédiffusée. Généralement, mon époux invite son bon ami Luc à venir écouter la partie sur notre écart géant dans le sous-sol et la conjointe de Luc, Lucie, demeure seule à son domicile, elle aussi victime du hockey.Cette semaine, j'ai décidé d'inviter Lucie à venir faire les boutiques avec moi. Nous nous sommes rendus dans une boutique du centre commercial local. Cette boutique à la particularité d'avoir de grandes salles d'essayage. Comme nous désirions nous donner mutuellement nos opinions sur les vêtements que l'on voulait acheter, nous avons pris la même cabine pour essayer le linge. Quant j'ai vu Lucie avec uniquement sa petite culotte et son soutient gorge, je l'ai trouvé très jolie. C'est vraiment une très belle femme et une drôle de sensation m'a passé dans le corps. Ainsi quand elle m'a demandé de l'aider à ajuster la robe qu'elle essayait, j'ai accepté immédiatement. J'aimai quant dans mes mouvements, mes seins se frottaient sur son corps ou quant en lui mesurant la taille, me lèvres ont passé dans son coup. Son parfum remplissait la pièce et j'aimais cela. Je ne pus me retenir de lui dire qu'elle était très belle et je crois qu'elle a beaucoup apprécié. Car quand elle a enlevé sa robe, j'ai remarqué que ses petites culottes étaient mouillées au centre en avant. Par la suite, nous sommes retournés chacune dans nos maisons.La semaine suivante, une autre soirée où nous étions veuves de hockey, nous avons convenu de nous rendre chez l'esthéticienne ensemble pour une séance d'épilation du bikini. Nous discutions de différents sujets, en attentes pour le traitement. Nous étions en petites culottes et Lucie me disait qu'elle hésitait à faire faire faire la zone du vagin. Je lui dis que ça valait la peine, car je l'avais déjà fait faire. Elle m'a demandé si elle pouvait regarde, bien sûr que je lui dis et j'ai baissé ma petite culotte. Elle trouvait cela beau et m'a demandé si elle pouvait toucher pour voir la douceur que ça donne. Pour toute réponse, je lui ai pris la main et lui est mis sur ma vulve. Elle toucha et apprécia . Toutefois, moi ça m'excitait et j'ai lubrifié durant ce temps. Bien sûr, elle c'en est aperçu , mais elle continua à passer sa main tout en s'arrêtant sur mon clitoris. C'est là que j'ai compris que je la désirais et qu’elle aussi me désirait ( même si nous n'avions jamais vécu d'expérience lesbienne ). Sur l'entretemps, l'esthéticienne arriva et cela mit une fin rapide à nos fantasmes. À la sortie du salon, je lui ai murmuré avant de la quitter qu’à la prochaine partie de hockey, j'aimerai l'invité à un endroit spécial et elle accepta.Donc à fin de semaine suivant, quand les gars se sont installés devant l'écran pour écouter la partie, moi et Lucie sommes partis ensemble. Je lui dis que j'aimerai une petite séance de massage. Elle a accepté et je l'ai amené à un spa santé proche de mon domicile. Les massages furent excellents et par la suite nous avions comme une petite chambre juste pour nous pour relaxer. Nous étions nus en dessous de notre robe de chambre et Lucie entrepris de me montrer l'épilation qu'elle c'était faire depuis notre dernière rencontre dans la zone pubienne. Elle se coucha sur le lit et ouvras sa robe de chambre. Tranquillement, j'ai touché à sa peau fraichement épilée avec ma main, et par la suite, je me suis mis à masser son clitoris. Elle s’est mise à lubrifier abondamment et maintenant j'avais la conviction qu'elle désirait aller plus loin dans notre aventure. Donc je me suis approché de ses lèvres et j'ai commencé à l'embrasser comme mon amoureuse. Par la suite, nous nous sommes mutuellement mangé les seins et surtout les mamelons avec une tendresse que jamais nos hommes ne pourraient nous donner. Graduellement, je suis descendu jusqu'à son vagin et j'ai entrepris de la manger. Quel délice que de gouter ce délicieux nectar naturel que dégage notre corps avec l'excitation. Ma langue a entrepris de jouer avec son clitoris et ça ne fut pas très long avec l'excitation qu'elle ait joui tout en faisant attention à ne pas crier trop fort, car nos voisins n'étaient pas loin. Par la suite ce fut à mon tour de gouter à ce plaisir de se faire manger par une femme et j'ai adoré. Nous sommes demeuré de longue minute enlacée en amoureuse, mais comme toute bonne chose à une fin , nous dure retourner à nos maisons avec la promesse de recommencer.Ainsi à chaque partie nous nous retrouvions dans un hôtel, motel ou autre. Même qu’a quelques reprises nous nous rendions dans le cartier gai pour marcher main dans la main comme des amoureuses que nous étions devenus et montrer au monde notre amour en s'embrassant en public. Nous étions bisexuel, ainsi le sexe pur et dur avec nos hommes et la tendresse entre nous. Toutefois, cela devrait rester secret.

mercredi 29 septembre 2010

au cours de dance

Comme mon mari avait decidé de prendre des cours de dance avec moi et que quelques amis voulaient en prendre aussi, j'etait tres contente car cela fesait plusieurs années que je voulais dancer avec lui mais il ne voulait jamais.Alors la surprise fut tres agreable quand il me dit on commence les cours de dance ce dimanche..Nous etions deja aller a cette salle de dance le dimanche précedant et nous voyions des couples dancer et je trouvais cela tellement beau a voir et lui aussi et une de mes amie me dit viens dancer avec moi mais je ne voulais pas car je ne connaissait pas les pas, mais elle me dit pas grave je vais te les montrer et c'est ce qu,elle fit tres bien meme..Mon mari et le mari de mon amie nous trouvais tres cute a voir dancer car nous sommes deux petits bouts de femme de 5 pieds et un pouce mais tres energique..Pendant la soirée je vois mon mari qui s,est approcher du mari de mon amie et ils sont en grande conversation et des que je me rapprochais deux pour venir m'assoir entre deux dance ils parlaient moin fort..je n'en fesait pas de cas car je m'amusait beaucoup a dancer avec mon amie et nous nous levions tres souvent pour aller dancer..Pendant qu'ils etaient partie pour aller fumer une cigarette a l'exterieur mon mari me dit a l'oreille ils sont echangiste comme nous et sa femme te veut tellement qu'elle n'arrete pas d'en parler a son mari et il me dit que lui aussi il aimerait sa nous voir les deux femmes ensemble pendant que les 2 hommes ne feraient que regarder et se masturber...ouffffff moi qui m'attendanit tellement pas a sa, la je commence a etre mal a l'aise car elle vient me chercher tout le temps pour dancer et elle me collait tellement mais entre femme souvent on ne regarde pas sa ,sa passe meme comme normal a la limite mais la en sachant cela je ne voie plus les choses de la meme maniere...avant de partir de la salle de dance pour aller a petit bar qui se trouve pas loin elle me donne son numéro de telephone pour que je lui donne un renseignement concernant un travail...Arriver au bar elle se colle a moi pour me parler a l'oreille car la musique est tellement forte qu'on comprend rien..mais je sens l'insistance et le frollement de ses seins sur moi et elle me prends la taille pour etre plus serrer a moi..ouff la j'ai chaud et je sais qu'elle me veut et je sais maintenant qu'elle sait que nous sommes aussi echangiste mais tellement gener aussi car je ne voulais pas qua sa se sache dans nos amis que je ne sais plus quoi faire.....je decide de ne rien faire....et d'attendre..d'en reparler avec mon mari une fois que nous seront seul et de m,amuser encore comme si de rien n'était..de passer une belle soirée quoi.Arriver a la maison mon mari me reparle du couple et dit qu'ils ne veulent pas non plus que sa se sache entre nos amis commun et c'est la que nous avons su qu'il se passerait quelques chose entre nous 4 mais on ne sait pas quand...En tout cas cette nuit la je fit un reve mouiller et je vous raconte..J'ai rever que nous etions les 4 dans un endroit que je ne sais pas ou mais que nous avions decider de prendre la camionnette de nos amis pour aller je ne sais pas ou... mon mari me dit d'embarquer avec eux qu'il va me suivre avec la voiture et je ne pouvais pas dire non...alors me voila entre les deux assis sur une petite banquette a l,avant de la camionnette.Evidamment la transmition etait manuel et il me frolait tout le temps les cuisses et je devais toujours tourner mes jambes vers mon amie pour eviter qu'il me touche trop avec sa main par precaution de la transmition....Comme elle voyais que je la touchait avec mes jambes elle me pris une cuisse et la tiens contre elle en me disant que c'etait malcommode une transmition manuelle mais que sa la derangeais pas que je la touche avec ma jambe mais je dit en blaguant que j'avais pas le choix de la toucher sinon je bloquait la transmition et qu'ont bougerais pas de la.arriver sur l'autoroute il etait en 5 position et plus besoin de la transmition pour un bout alors se serait moin pire pour moi mais elle decida de garder ma jambe pres d'elle et elle me mit la main sur la cuisse mais a la hauteur de la mi cuisse tres pres de ma chatte. j'ai vue le regard de son mari regarder sa main et il decide de mettre la sienne sur mon autre cuisse a la meme hauteur. je dis a la blague qu'il y a pas de danger que je tombe soutenue comme sa .Il me dit (ton mari m'a dit que vous etiez echangiste et que tu était aussi bie et ma femme te veux)OH la le malaise.Je m'attendais tellement pas a sa...mais l'envie commencait a monter et le desir aussi.et je savais maintenant que c'etait arranger avec mon mari. je lui demandais ou on allait et il me dit, que c'etait une surprise. je me retourne vers mon amie et elle me sourie et elle me tiens la tete et m'embrassait avec la langue tellement pationnement que son mari lui dit attend je bande deja il faut attendre d'etre arriver. je sourie et au meme instant il pris ma main et la mis sur son pantalon pour que je vois l'erection que cela a provoquer. je regardais dans le retroviseur pour voir si mon mari etait toujours en arriere et oui il ne fit signe qu'il etait la...Je leur dit que si mon mari etait d'accord je le suis aussi mais que je preferais attendre qu'il soit la pour que la fete commence a 4 pas a 3 et ils me disent qu'il y a pas de probleme que mon mari leurs a dit de commence a me chauffer un peu avant qu'ont arrive.elle me dit qu'il ne reste que quelques minutes avant d'arriver et je lui demande si nous seront que les 4 car je n'aime pas melanger avec n'importe qui car j'ai tellement peur des maladies que je choisie avec qui etre... et elle me dit de pas m'inquieter que nous seront que les 4 et que nous avons toute la soirée et que nous seront tres tranquille et nous y passont la nuit aussi...arriver au chalet les hommes vont chercher du bois pour faire un feu pour que l'on soit bien a l'interieur et nous les femmes on rafraichie la piece pour etre confortable et on prepare du café pour se faire des bon café bresilien pour commencer une soirée un peu chaude...Mon mari viens me trouver pour me demander comment a été mon aller avec eux?? et je lui dit qu'il est pas mal vicieux d'imaginer des plans comme sa sans m'en avertir... et il m'embrasse et sourie en me disant qu'il m'aime mais qu'il bandait juste a savoir qu'elle me touchait ,,et je lui dit que nous n'avons pas eu de toucher a pars sa main sur ma cuisse et que lui ma juste montrer qu'il bandait deja a savoir ce que nous ferions..que nous n'avons fait qu'echanger un baiser langoureux mais quil sera pas decu de sa soirée car la femme me plais aussi.(je vous raconte la suite une autre fois si vous aimez mon commencement)