mercredi 29 septembre 2010

au cours de dance

Comme mon mari avait decidé de prendre des cours de dance avec moi et que quelques amis voulaient en prendre aussi, j'etait tres contente car cela fesait plusieurs années que je voulais dancer avec lui mais il ne voulait jamais.Alors la surprise fut tres agreable quand il me dit on commence les cours de dance ce dimanche..Nous etions deja aller a cette salle de dance le dimanche précedant et nous voyions des couples dancer et je trouvais cela tellement beau a voir et lui aussi et une de mes amie me dit viens dancer avec moi mais je ne voulais pas car je ne connaissait pas les pas, mais elle me dit pas grave je vais te les montrer et c'est ce qu,elle fit tres bien meme..Mon mari et le mari de mon amie nous trouvais tres cute a voir dancer car nous sommes deux petits bouts de femme de 5 pieds et un pouce mais tres energique..Pendant la soirée je vois mon mari qui s,est approcher du mari de mon amie et ils sont en grande conversation et des que je me rapprochais deux pour venir m'assoir entre deux dance ils parlaient moin fort..je n'en fesait pas de cas car je m'amusait beaucoup a dancer avec mon amie et nous nous levions tres souvent pour aller dancer..Pendant qu'ils etaient partie pour aller fumer une cigarette a l'exterieur mon mari me dit a l'oreille ils sont echangiste comme nous et sa femme te veut tellement qu'elle n'arrete pas d'en parler a son mari et il me dit que lui aussi il aimerait sa nous voir les deux femmes ensemble pendant que les 2 hommes ne feraient que regarder et se masturber...ouffffff moi qui m'attendanit tellement pas a sa, la je commence a etre mal a l'aise car elle vient me chercher tout le temps pour dancer et elle me collait tellement mais entre femme souvent on ne regarde pas sa ,sa passe meme comme normal a la limite mais la en sachant cela je ne voie plus les choses de la meme maniere...avant de partir de la salle de dance pour aller a petit bar qui se trouve pas loin elle me donne son numéro de telephone pour que je lui donne un renseignement concernant un travail...Arriver au bar elle se colle a moi pour me parler a l'oreille car la musique est tellement forte qu'on comprend rien..mais je sens l'insistance et le frollement de ses seins sur moi et elle me prends la taille pour etre plus serrer a moi..ouff la j'ai chaud et je sais qu'elle me veut et je sais maintenant qu'elle sait que nous sommes aussi echangiste mais tellement gener aussi car je ne voulais pas qua sa se sache dans nos amis que je ne sais plus quoi faire.....je decide de ne rien faire....et d'attendre..d'en reparler avec mon mari une fois que nous seront seul et de m,amuser encore comme si de rien n'était..de passer une belle soirée quoi.Arriver a la maison mon mari me reparle du couple et dit qu'ils ne veulent pas non plus que sa se sache entre nos amis commun et c'est la que nous avons su qu'il se passerait quelques chose entre nous 4 mais on ne sait pas quand...En tout cas cette nuit la je fit un reve mouiller et je vous raconte..J'ai rever que nous etions les 4 dans un endroit que je ne sais pas ou mais que nous avions decider de prendre la camionnette de nos amis pour aller je ne sais pas ou... mon mari me dit d'embarquer avec eux qu'il va me suivre avec la voiture et je ne pouvais pas dire non...alors me voila entre les deux assis sur une petite banquette a l,avant de la camionnette.Evidamment la transmition etait manuel et il me frolait tout le temps les cuisses et je devais toujours tourner mes jambes vers mon amie pour eviter qu'il me touche trop avec sa main par precaution de la transmition....Comme elle voyais que je la touchait avec mes jambes elle me pris une cuisse et la tiens contre elle en me disant que c'etait malcommode une transmition manuelle mais que sa la derangeais pas que je la touche avec ma jambe mais je dit en blaguant que j'avais pas le choix de la toucher sinon je bloquait la transmition et qu'ont bougerais pas de la.arriver sur l'autoroute il etait en 5 position et plus besoin de la transmition pour un bout alors se serait moin pire pour moi mais elle decida de garder ma jambe pres d'elle et elle me mit la main sur la cuisse mais a la hauteur de la mi cuisse tres pres de ma chatte. j'ai vue le regard de son mari regarder sa main et il decide de mettre la sienne sur mon autre cuisse a la meme hauteur. je dis a la blague qu'il y a pas de danger que je tombe soutenue comme sa .Il me dit (ton mari m'a dit que vous etiez echangiste et que tu était aussi bie et ma femme te veux)OH la le malaise.Je m'attendais tellement pas a sa...mais l'envie commencait a monter et le desir aussi.et je savais maintenant que c'etait arranger avec mon mari. je lui demandais ou on allait et il me dit, que c'etait une surprise. je me retourne vers mon amie et elle me sourie et elle me tiens la tete et m'embrassait avec la langue tellement pationnement que son mari lui dit attend je bande deja il faut attendre d'etre arriver. je sourie et au meme instant il pris ma main et la mis sur son pantalon pour que je vois l'erection que cela a provoquer. je regardais dans le retroviseur pour voir si mon mari etait toujours en arriere et oui il ne fit signe qu'il etait la...Je leur dit que si mon mari etait d'accord je le suis aussi mais que je preferais attendre qu'il soit la pour que la fete commence a 4 pas a 3 et ils me disent qu'il y a pas de probleme que mon mari leurs a dit de commence a me chauffer un peu avant qu'ont arrive.elle me dit qu'il ne reste que quelques minutes avant d'arriver et je lui demande si nous seront que les 4 car je n'aime pas melanger avec n'importe qui car j'ai tellement peur des maladies que je choisie avec qui etre... et elle me dit de pas m'inquieter que nous seront que les 4 et que nous avons toute la soirée et que nous seront tres tranquille et nous y passont la nuit aussi...arriver au chalet les hommes vont chercher du bois pour faire un feu pour que l'on soit bien a l'interieur et nous les femmes on rafraichie la piece pour etre confortable et on prepare du café pour se faire des bon café bresilien pour commencer une soirée un peu chaude...Mon mari viens me trouver pour me demander comment a été mon aller avec eux?? et je lui dit qu'il est pas mal vicieux d'imaginer des plans comme sa sans m'en avertir... et il m'embrasse et sourie en me disant qu'il m'aime mais qu'il bandait juste a savoir qu'elle me touchait ,,et je lui dit que nous n'avons pas eu de toucher a pars sa main sur ma cuisse et que lui ma juste montrer qu'il bandait deja a savoir ce que nous ferions..que nous n'avons fait qu'echanger un baiser langoureux mais quil sera pas decu de sa soirée car la femme me plais aussi.(je vous raconte la suite une autre fois si vous aimez mon commencement)

mardi 28 septembre 2010

Mon écolière

Vendredi, 18h30, comme tous les jours je suis à mon bureau à la maison, je prépare mes devis pour mes clients, réponds à mes mails, bref la vie d'indépendant, ma femme travaille, je suis seul dans mon coin, la routine.La fille de ma femme, Laura, née de son premier mariage, étudie dans sa chambre, elle prépare ses examens pour sa dernière année. Jeune, tout juste 18ans, 1m85 cm, 71 kg, des jambes aussi longues que l'infini, un petit cul bien serré, un ventre plat, une poitrine généreuse, ronde, une peau lisse et un visage aussi doux que la pureté.Oui, je la connais bien, je l'ai déjà observée souvent, sa démarche, son corps, ses allures qui même parfois m'énervent, il m'est déjà souvent arrivé de fantasmer sur elle. Mais bon, je suis marié avec sa mère, c'est ma belle-fille, qu'elle honte.Soudain, j’entends la porte du bureau s'ouvrir, c'est elle, Laura, la belle Laura, elle entre, j'hallucine presque, petites chaussettes blanches, jupe plissée à carreaux noirs et blancs, un top blanc trop serré, une taille trop petit moule son corps, serré sur son petit ventre plat et complètement étiré sur sa poitrine opulente. Je ne l’avais jamais vue habillée comme ça, elle ne porte même pas de soutien-gorge, j’aperçois ses tétons qui pointes en avant, l’encolure de son top où elle n’a pas fermée les boutons, semble à la limite du déchirement tellement il lui serre son petit corps. Et pour finir, deux petites couettes dans ses longs cheveux noirs viennent parfaire ce tableau.Je me rapproche de mon bureau, je ne tiens pas à ce qu’elle aperçoive à travers mon jogging que cette vision me secoue un peu la libido. Elle s’avance près de moi, se penche en avant pour s’accouder sur le bureau, m’offrant ainsi une vue plongeante sur son décolleté et me demande : « Beau-papa, tu pourrais me filer un coup de main en anglais ? Je ne m’en sors pas ».La première pensée qui me traverse l’esprit est : bon-sang, ce n’est pas un coup de main que je te filerai bien, mais je me ressaisis aussi vite et lui réponds « oui, bien sûr ». Je me recule un peu avec ma chaise de bureau et fais tomber la souris maladroitement, je suis trop préoccupé par mes fantasmes qui défilent dans mon esprit à la vitesse de la lumière, à la vue de cette beauté si attirante. Voulant ramasser ma souris tombée devant moi, elle me dit « laisse, je te la ramasse », et se penche en avant, la main tendue entre mes jambes pour ramasser la souris. Son visage vient se poser sur moi, à la hauteur de mon sexe, qui par le biais de mon esprit en fusion, se retrouve déjà durci, elle a un léger sourire. Pendant qu’elle fouille un peu de la main parterre, mon regard parcours son corps, je vois sa petite jupe plissée qui est remontée, de par sa position, me laissant voir tout juste le bord rond d’une de ses fesses.Mon sang est déjà en fusion, je me sens un peu ridicule de me retrouver dans cette position, et surtout d’être excité de la sorte, elle se relève, pose la souris sur le bureau, et me tends son livre d’anglais tout en s’asseyant sur mon genou droit. Je pose le livre sur le bureau, lui pose une main sur la hanche, et l’ouvre à la première page. Sur le dos de la couverture, il y a une photo collée d’un couple nu enlacé. Puis semblant apercevoir un écart plus important entre deux pages de son livre, je l’ouvre à cet endroit précis, pensant trouver la page de son problème d’anglais.Stupéfaction, en ouvrant le livre à cette page, je vois un string blanc, tout fin, tout léger, si transparent que je peux presque lire le texte en dessous. Je suis scotché, incapable d’émettre un son, de dire un mot, troublé par sa tenue si légère et par ce sous-vêtement trouvé là. Elle me dit « il te plaît ? Si tu veux je peux le remettre ? ». Ma main posée sur sa hanche se resserre un peu, comme pour lui dire non, ne bouge pas. Elle se tourne un peu et s’avance pour m’embrasser, je pose une main sur son ventre, l’embrasse tout en la caressant, je mont vers sa poitrine, la frôle légèrement, sentant ses tétons durci et continue en montant lentement jusqu’à lui saisir la nuque pour mieux la saisir tout en l’embrassant.Une de ses mains parcours mon corps, elle m’embrasse toujours, et descend plus bas vers mon sexe ne érection. Elle le touche, le caresse à travers mon jogging, pendant que moi je redescends ma main sur ses seins si fermes, si doux, avec ses tétons tendus en avant comme pour me demander de les embrasser. Je les caresse, lentement, profitant de ce moment si magique, l’embrasse dans le cou, et continue de descendre avec ma main sur une de ses cuisses. Sa peau est si douce, si fraiche, je remonte, passe sous sa jupe pour découvrir que réellement elle ne porte pas de culotte, je sens la chaleur de sa petite chatte avant même de la toucher.Je deviens comme fou, je n’y crois pas, je la prends par la main, l’invite à se lever. Une fois debout, devant moi, je saisis ses hanches, l’attire vers moi pour lui donner quelques baiser sur son ventre, je relève un peu son top et découvre son nombril, ma langue vient s’y caler, jouant un peu tout autour, elle enlève son top pendant que je m’amuse de la sorte puis, saisissant ma tête elle m’invite sur sa poitrine. Un délice, une excitation indescriptible m’envahi encore, et encore, je m’empresse de les caresser, de jouer sur ses deux pointes érigées à mon intention du bout de la langue, je les suce un peu, pendant que son corps semble commencer à danser la valse nuptiale.Soudain, elle me dit « bouffe moi la chatte, on ne me l’a jamais fait, j’en ai trop envie ». Comment lui refuser une telle demande ? Je l’assois sur le bord du bureau, me positionne ne face d’elle sur ma chaise, lui écarte délicatement les jambes, ce qui m’offre la vue de son fruit défendu, sa petite chatte ferme et tendre, plus je lui écarte les jambes, plus sa petit chatte suit le mouvement et s’entrouvre doucement, je vois sur les bords de ses lèvres une comme l’impression d’une larme, elle est mouillée, que dis-je ? Trempée de désir, sa chatte coule littéralement. J’embrasse ses cuisses tout en lui saisissant les fesses pour la ramener vers moi, instinctivement elle pose ses pieds sur mes épaules, comme pour être sûre d’ouvrir suffisamment le chemin qui mène à son petit fruit. Je continue à lui embrasser l’intérieur des cuisses, frôlant son petit minou pour passer d’une à l’autre, chaque passage par-dessus sa petite chatte me fait sentir son désir lorsque, ne pouvant plus se contenir, elle m’attrape par les cheveux et me dirige tout droit vers son petit minou tout écartelé, ma langue ne se fait pas priée, je commence lentement à lécher ses grandes lèvres, puis délicatement avance pour fouiller son fruit, sous la pression de ma langue elle s’écarte complètement, je goute enfin son jus, celui de l’excitation dans laquelle elle se trouve, je fais pénétrer ma langue dans sa chatte, puis remontant un peu, délicatement, je commence à tourner tout autour de son clito en érection.Elle lâche de petits soupir de contentement, son bassin se remue, ma langue titille son clito sans arrêt, ses mains m’attire encore plus fort sur son petit fruit, son basin devient frénétique, bouge de plus en plus, c’est quasiment elle maintenant qui frotte son clito sur ma langue, une de ses mains vient ouvrir encore plus sa petite chatte, son clito est totalement dehors, tendu à fond vers mes caresses, quand soudain, se penchant vers l’arrière, elle lâche un râle de plaisir, son bassin est devenu incontrôlable, ses mouvements sont saccadés, sursautant à chaque passage de ma langue sur ce petit bouton rougit à vif. Quel pied, elle jouit, c’est si bon de la voir se tortiller de plaisir, puis n’en pouvant plus, elle me repousse en arrière comme pour stopper ce feu qui la consume.Dans le fond de mon fauteuil de bureau, je contemple son corps, satisfait de ce plaisir que je viens de lui offrir, elle reste un moment allonger sur le bureau, appréciant à sa valeur la redescente des nuages.Tout en la regardant, je descends mon froc et profite de cet instant pour me caresser la queue, durcie par cet instant magique, j’hésite, que dois je faire ? Dois-je l’entreprendre ? Où tout simplement attendre qu’elle se remette de ses esprits ? Pas besoin de question car d’un bond, elle se relève du bureau, et me chevauche d’une enjambée tel un cowboy qui enfourche son cheval, elle se serre contre moi, mon sexe est tendu vers les cieux tel un pylône n’attendant que la foudre du plaisir, d’un mouvement assuré elle se laisse glisser sur ma queue, et, « aïe » fait-elle, je la regarde ébahi en lui demandant « pardon, je t’ai fait mal ? », « non, mais tu viens de faire de moi une femme » me répondit elle.Je ne peux y croire, elle vient de m’offrir sa virginité, comme un cadeau venu du ciel, et pendant qu’elle entame sa chevauchée, mon esprit est tout enivré de ce présent, mon excitation est telle qu’il ne lui faut pas 5 min pour me faire jouir, que je sens au moment de mon plaisir mon sperme s’envoler au fond de sa chatte si douce, ferme, et délicieuse pendant qu’elle me dit « oui, c’est bon, je sens ton plaisir en moi, je sens ton plaisir s’écouler dans ma chatte, je te sens vivre en moi ».Satisfait, troublé, je ne peux plus réagir, et tout naturellement elle se relève, comme envoutée, aux anges, pour quitter mon bureau en me laissant au passage un petit clin d’œil coquin.

lundi 27 septembre 2010

Toujour dire la vériter à son épouse

À la fin d'une belle soirée romantique, j'étais avec mon épouse dans notre lit conjugal et j'entamai les préliminaires pour une relation sexuelle comme c'est à notre habitude.Je commençais à la flatter tout en la déshabillant tranquillement. Avant que je n'entame mes caresses buccales, mon épouse me demanda de changer notre routine ce soir. Elle voulait que durant que je la caresse ou que je la mange, je lui conte une histoire érotique pour l'exciter encore plus. Je trouvais l'idée excitante et je m'interrogeais sur quoi je pourrais bien élaborer une histoire. Après mure réflexion , je me suis dit qu'il serait temps de lui compter comme une histoire fictive une relation bisexuelle que j'avais eue il y a quelques mois avec un copain de travail ( sachant qu'elle était quant même ouverte d'esprits ). Je n'avais jamais trompé mon épouse depuis notre mariage, sauf cette foi et je tenais à en préserver le secret , surtout que c'était avec un homme (moi même je découvrais mon côté bi ). Mais la compter comme histoire fictive pourrait être une belle façon de lui dire sans grand risque.- Tu sais ma chérie, je vais te conter une histoire hors standard. Aimerais-tu t'imaginer ton époux avec un autre homme ?- Hummm oui qu'elle me réponditJ'entamais donc mon histoire ...J'étais au bureau dans la salle de photocopie avec un copain de travail. Nous étions seuls et fraternisions, les bureaux étaient vides, car tout était fermé et nous faissions du temps supplémentaire pour fermer un dossier urgent. Tranquillement je sentais que ses mains me touchèrent de plus en plus souvent et que ce n'était pas des accidents surtout quand il me frôlait les fesses. Je le trouvai quant même beau garçon et ses beaux yeux m'inspiraient énormément. J'avais déjà eu des fantasmes bi, sans jamais rechercher à les réaliser. Je l'ai donc laissé faire ses attouchements toujours de plus en plus explicites. Nous nous regardions les yeux dans les yeux et tranquillement, mais surement nos lèvres se sont touchées pour conclure avec une embrassade des plus torrides. L'excitation était a son comble et nos pénis le montraient très explicitement.Il me détacha la cravate et la chemise pour me manger les mamelons. J'ai adoré cela et je l'ai laissé poursuivre avec un grand plaisir durant plusieurs minutes. Par la suite il ma mangé le pénis et vis versa.( Mon épouse lubrifiait à n'en plus finir et je sentais qu'elle était prête à la pénétration. Je commençai donc à la pénétrer tout en lui racontant la suite de l'histoire ).Tranquillement il me dilatait l'anus ( on voyait qu'il avait de l'expérience , car il avait même une petite quantité de lubrifiant avec lui ). Quand il me sentit prêt, il me fit couché sur la table de travail et très délicatement il me pénétra l'anus. J'ai adoré cette situation et cette sensation de sentir un homme en moi qui me désirait. Dans ma tête, c'était moi qui le faisais bander et il fantasmait sur mon corps, j'aimais me sentir désiré. Surtout qu'elle belle sensation que de savoir son pénis se promener dans mon intimité la plus profonde que même mon épouse n'y était jamais allée.( Mon épouse commença à gémir et à crier de plus en plus dans le va-et-vient de ma pénétration et elle me dit de continuer de lui conter l'histoire ).Après quelques minutes de cette érotique pénétration, il sortit rapidement son pénis de mon anus et me l'apporta à ma bouche. Je savais d'instinct quoi faire et donc j'ai mis son pénis dans ma bouche durant que lui se laissa aller à l'éjaculation. Wow, j'ai adoré ce gout de sperme et je l'ai avalé au complet sans en perdre une goutte. Par la suite, il m'a mangé mon pénis, mais que très sommairement, car mon excitation étant à son comble, j'ai éjaculé très rapidement.( Mon épouse criai à n'en plus finir quand j'ai fini mon histoire et elle a conclus le tout par un cri de jouissance du tonnerre ce qui m'a fait éjaculer à mon tour. )Après quelques minutes de repos, mon épouse m'a dit qu’elle a adoré se faire raconter une histoire durant que l'on faisait l'amour.Toutefois, elle commença l'interrogation par la suite en me demandant s'il y avait un brin de vérité dans cette histoire. Je pouvais omettre de lui dire la vérité, mais j'étais incapable de lui mentir. Je lui dis donc que oui ça m'était arrivé .Elle me demanda s’il y avait eu des récidives, je lui dis que non seulement des attouchements des temps à autre bien discret et qu'une fois il m'avait mangé les mamelons. Mais comme j'avais énormément de difficulté à la trompé, j'avais mis fin la semaine dernière à tous ses attouchements.Pour toute réponse, elle me dit qu'elle aimerait le rencontrer et j'ai accepté.Le lendemain, je l'ai donc invité à venir souper à la maison. Le soir après le souper nous étions passés au salon. Lui et moi sur le divan et elle sur le fauteuil. Après plusieurs échanges verbaux, elle nous dit qu'elle avait aimé l'histoire de notre aventure et qu'elle aimerait nous voir faire l'amour . Surpris sur le coup, nous nous sommes regardés et avons commencé nos échanges et avons fait l'amour devant elle à la différence, que quand il a éjaculé dans mon anus, je ne l'ai pas pénétré, mais plutôt je lui ai demandé de manger les seins de mon épouse durant que je la pénétrais et elle a adoré...Merci ma lopette qu'elle me dit ! Depuis, je la laisse utiliser ce terme pour m'appeler, sauf devant la famille proche. Nous avons su moi sa lopette et elle répéter l'histoire selon nos fantasmes du moment...

samedi 25 septembre 2010

Je n'avais pas prévu ça.

Ce soir là, nous avions fait l’amour langoureusement. Les préliminaires s’étaient délicieusement éternisé et nous avions, c’était le deal, jouis longuement dans un silence religieux. Nous en étions à cet instant de plénitude quand les sens, satisfaits et rompus par la jouissance, nous poussent, singulièrement, à la confidence et nous fait inéluctablement demander à l’autre « Tu m’aimes ? ». Mais ce soir tel n’était pas le cas car ma chère et tendre épouse avait décidé de se rassurer sur un tout autre sujet.- A part moi, me questionna Magalie, je veux dire si nous n’étions pas mariés, avec qui aimerais-tu faire l’amour ?- Tu sais bien que je n’ai envie de faire l’amour qu’avec toi ma puce.Là, je tentais une esquive qui hélas sabrait dans le vide.- D’accord tu es un amour mais tu mettrais qui, disons en deuxième position ? Tu dois bien avoir flashé au moins une fois sur une autre femme. Tu as bien dû un jour, en voyant une belle nana, avoir une idée derrière la tête.Je me demandais comment j’allais me sortir de ce pétrin. Comment je pouvais répondre sans trop de détour à cette question piège. Finalement je choisi d’être honnête avec moi-même et décidais de jouer la carte de la franchise.- Comme ça, à brule pourpoint, je ne sais pas trop. Tu veux dire une people ?- Non, pas obligatoirement quelqu’un de connue, ça peut être tout simplement une femme de notre entourage ou une que l’on croise parfois.- Et toi, quel serait ton choix ? Essaye-je une fois de plus pour tenter de me défiler.- Tu triches. Allez, dit moi en toute franchise avec qui tu te verrais « Baiser » et peut être qu’après je me laisserais moi aussi aller aux confidences.- Bon ok. Alors j’aurais bien tenté le coup avec … heu !Je la faisais prudemment languir, prenant faussement le temps de la réflexion. Si je lui donnais illico un nom elle se dirait surement que j’y avais pensé bien avant sa question, et ça, c’était casse gueule. C’était à coup sur une raison pour la pousser à la jalousie. Je me décidais tout de même à lancer un nom.- Si je devais te tromper, autant que se soit avec Véronique alors.- Véronique ? La brunette qui bosse avec nous ? Celle qui te dévore des yeux quand tu rentres dans notre bureau ? C’est fou ça.- Quoi ? Elle est plutôt jolie et sympa cette fille, qu’est ce que tu lui reproches ?- Non, je ne lui reproche rien, je la trouve en fait carrément canon. Mais c’est quand même incroyable. J’irais jusqu’à dire, très troublant.- Qu’est ce qui est troublant ? Mon choix ? M’étonnais-je.- Oui, c’est étonnant que parmi toutes les femmes qui nous entourent et il y en a quand même pas mal qui sont aussi bien foutues qu’elle, que te choix se porte sur Véro. C’est comme moi.- Quoi, c’est comme moi ? Tu veux dire que tu m’aurais désigné cette fille si je t’avais demandé de m’en choisir une.Sa réponse me scotcha littéralement.- Je veux dire que moi aussi, si l’occasion se présentait, je « Me » choisirais cette fille.- Tu aimerais faire l’amour avec Véronique ? Pas avec un autre homme ?- Un homme, j’en ai déjà un mais avec une femme, oui, j’aimerais bien.La surprise passée, je m’étais laissé aller à des rêveries érotiques où je me voyais entouré et cajolé par ces deux charmantes créatures. De fantasme en fantasme, de confession en confession nous en étions arrivés à élaborer un plan qui nous permettrait d’entrainer la dites Véronique dans nos mutuels aspirations. Je promis à Magalie d’assumer les manœuvres d’approche. Il fut convenu que je me laisserai gentiment draguer par la demoiselle et pour conclure je l’inviterai un soir à la maison en lui laissant clairement entendre que nous serons trois. En espérant que la belle ne s’offusque pas.Non, elle ne c’est pas offusqué. Bien au contraire. Elle c’est même enhardie tout au long de la semaine à lancer des œillades discrètes et sans équivoque à l’encontre de Magalie et avait poussé le dévergondage en l’embrassant à pleine bouche lors d’une rencontre fortuite dans les toilettes du bureau. Magalie était rentrée à la maison complètement chamboulée et c’était, littéralement, jeté sur moi. Nous avions, sans attendre, fait furieusement l’amour sur la table de la salle à manger.Nous nous étions entendus sur ce samedi et il était prévu de passer une soirée gentillette en la débutant par un repas arrosé d’un bon champagne. Quand à la suite… - C’est parfait, avaient ponctué les deux femmes, vivement samedi.- Oui mais, précisa Véronique, je vous préviens j’ai en se domaine des goûts particuliers. Je suis assez dirigiste. Je peux même être assez autoritaire.Une barrière se dressa soudainement entre nous et la brunette.- Tu veux dire, sado maso, le fouet, la fessée et tout ça ? Questionnais-je quelque peu inquiet. Alors là, ça va pas le faire ma chérie, je tiens à te souligner que nous ne recherchons absolument pas à atteindre le plaisir en passant par la case douleur.- Mais non, n’aillez craintes gros froussards quand je dis, des goûts particuliers, je veux dire que je suis adepte de jeux, disons « exotique » et soft comme le bondage mais qu’en plus j’aime diriger les festivités. -- o --Arrivé vers vingt heure, Véronique pris immédiatement l’initiative de diriger la soirée. Quand Magalie s’était approchée d’elle pour lui faire une chaste bise de bienvenue, elle c’était emparée de sa bouche et un long, très long baisé s’en était suivi. J’eus seulement droit à un bisou vertueux puis nous passâmes aussitôt au salon. Après quelques coupes de champagne le diner fut servi et bien vite la main de Véro s’égara sous la table. Celle de Magalie pris aussi tôt le chemin qui la conduisit à l’entre cuisse de sa voisine de table. Les deux femmes me faisaient face et la table en verre me permettait de me régaler du spectacle excitant de leurs caresses. Ma queue se trouva vite à l’étroit dans sa prison de tissus. Comme si elles s’étaient concerté, les deux complices attaquèrent simultanément mon entre jambes de la pointe du pied et je fus gratifié d’un très agréable pétrissage.Fatalement le repas perdit de son intérêt et nous tombâmes vite d’accords sur la nécessité de nous diriger vers le canapé.Chacun se retrouva rapidement nu comme un ver et les mains passèrent bientôt d’un corps à l’autre en des attouchements des plus bisexuels. De cunnilingus en broutage de minou, de branlette en doigté anal nos mains et nos bouches ne restaient jamais au repos. Les divertissements durèrent une bonne heure puis Véro proposa de changer jeux.- Qu’est ce que tu as à nous offrir ma chérie ? Demanda Magalie les yeux encore embrumés par le souvenir de nos caresses.- Vous n’êtes pas tentés par une petite séance de bondage ? J’ai amené tout ce qu’il faut à fin de vous faire découvrir les plaisirs de l’entrave.Nous acceptâmes sous la promesse renouvelée qu’il n’y aurai pas de douleur à la clef. Après avoir récupéré son sac de voyage et s’êtres isolée un moment dans notre chambre, Magalie réapparu vêtue d’un magnifique et troublant ensemble de soie noir composé d’un bustier jarretière et de bas coordonnés. Un charmant slip brésilien en dentelles fines cachait le strict minimum. Elle était superbe, très bandante et nous étions maintenant impatients de nous abandonner à ces caprices. Véronique nous en expliqua succinctement les règles.- Comme j’ai très envie de faire l’amour avec ta jolie femme pendant que tu nous regardes, c’est toi que je vais entraver si tu l’acceptes. Je suis certaine que si je m’équipe de ça, elle exhiba devant nos yeux un gode ceinture noir qu’elle avait sorti de son sac, que tu vas volontiers accepter de te plier au jeu.J’acceptai le deal avec bonne grâce, imaginant déjà le doux spectacle de cette nana, avec qui j’aurais bien volontiers fait l’amour et qui m’offrait de n’être qu’un spectateur, qu’un simple voyeur inactif et contemplatif du baisage de ma femme. Le rêve absolu.Elle me demanda de m’installer à quatre pates sur la robuste table du salon. Je m’exécutai docilement mais trouvais la position quelque peu humiliante. Plongeant à nouveau la main dans son sac Véronique en sorti une très longue corde en coton souple. Le lien fut premièrement attaché aux deux pieds de la table puis noué en collier de chien autour de mon coup. Il m’était donc impossible de me relever. Le mur qui me faisait face était recouvert par une mosaïque de miroir et je ne manquais rien des activités ludiques de notre invitée. L’entrave passa sous mon buste et vint emprisonner, sans serrage excessif, mon service trois pièces. Puis la charmante brunette poursuivi son travail sans prêter la moindre attention à mon début d’érection. M’ayant rapproché l’avant bras droit sur la cuisse droite elle en fit plusieurs fois le tour avec la corde agrémentant le tout d’une multitude de nœuds. Mon bras se trouvait, maintenant, littéralement soudé à ma cuisse. Le lien passa sous la table pour rejoindre ma jambe gauche qui subit les mêmes soins particuliers que sa congénère de droite. La corde fut nouée à mon collier, passa encore une fois sous la table et vint par l’autre côté de nouveau s’attacher au collier. Voila, j’étais maintenant, en de savantes combinaisons, correctement saucissonné. Je faisais, fesses en l’air, partie intégrante de la table. La seule liberté de mouvement qui m’était permise était de poser ma tête au niveau de la table. Mais par le fait je me trouvais encore plus avec le cul en l’air. Je ne voyais pas encore où était le plaisir du bondage mais cela devait venir plus tard.Véro m’abandonna à mon avilissante position et rejoignis Magalie sur le canapé. Elle confia son corps aux caresses de ma chérie et s’ensuit un spectacle des plus bandant. Jugez par vous-même. Après un baisé fougueux à langues que veux tu, les deux coquines en vinrent à tour de rôle à se consumer le clito. Un doigt, puis des doigts, que dis-je une main disparue un temps dans la fente inondée de Magalie qui rendis peu après l’appareil à sa copine. Moi, je ne pouvais faire que deux choses, les mater et bander, et croyez moi je ne m’économisais pas. Véronique s’équipa du gode ceinture et, bite en avant, pris possession de la chatte de son amie. Les jambes nouées autour du coup de sa violeuse, ma chérie recevait avec un plaisir évidente des coups de queue vigoureuse et rapide à la raideur toute artificielle mais qui lui arracha de puissants cris de jouissance. La violence de leur action les épuisa un moment et elle s’écroulèrent l’une contre l’autre le temps de la récupération.- Tu as aimé mon chéri ? Me demanda Magalie entre deux respirations. Tu as apprécié de me voir faire l’amour avec une femme ? - Oh oui mon amour, c’était un spectacle enchanteur. Mais ne vous arrêtez pas en si bon chemin mes friponnes, et si à ton tour tu t’équipais de la ceinture.La chose fut entendue et Magalie se trouva très vite doté de la rude bitte à l’érection infatigable. Voir ma tendre épouse en possession d’un tel engin me troubla considérablement. Véronique se pencha à l’oreille du nouvel étalon qu’était devenu ma femme et s’en suit une messe basse qui fit sourire les deux femelles. Elles jetaient sur moi des regards furtifs et pouffaient, l’œil lubrique.- Quoi ? Pourquoi se conciliabule ? Qu’est ce que vous mijotez toute les deux? - Et bien, m’expliqua Véro le sourire aux lèvres et l’œil vicelard, on se disait avec ta chérie, étend donnée ta condition de soumis et surtout l’impossibilité que tu as de t’y soustraire, que tu pourrais être l’heureux bénéficiaire des bienfaits de cette providentielle queue.- Tu veux dire que tu as envie de me sodo. M’inquiétais-je au près de Magalie.- Oui, c’est Véro qui me l’a suggéré mais je t’avoue qu’elle a dû lire dans mes pensées car lorsqu’elle m’a harnaché j’ai tout de suite ressentis le désir de te posséder. Si tu es consentant, bien sur. Qu’en dis-tu ? Je suis certaine que tu vas adorer ça. Mon petit doigt, qui c’est d’ailleurs souvent égaré dans ce secteur, me dit que tu es séduit par notre proposition. Non ? J’ai tord ?- Faut voir. Répondais-je dubitatif.- C’est tout vu, ordonna Véro. Allez ma chérie, fait selon tes désirs, n’attends plus et baise se monsieur.La meneuse de la soirée puisa à nouveau dans son sac et en sorti un « Mord à balle », vous savez cette balle de caoutchouc que l’on place dans la bouche de la ou du partenaire, en l’occurrence moi, et qui l’empêche de se plaindre inutilement. J’en fus autoritairement équipé, puis elle s’accroupit à mon coté et sa main se referma sur mon sexe. Quand à Magalie, elle entreprit de m’enduire généreusement la raie de gel. L’intérieur de mon petit trou ne fut pas oublié car un doigt bien apprêté de lubrifiant pénétra bientôt mon séant. Surpris mais ravis par cette intrusion je gratifiais l’assemblée d’un grognement jouissif qui donna le départ à un rapide doigté. Véro s’activa sur ma queue qui me sembla devenir aussi dure que l’ébène. De son autre main elle tirait, assez fermement mais sans provoquer de douleur, sur le lien qui emprisonnait mes couilles. Super, s’était tout bonnement super bandant. Encouragée par ma branleuse, Magalie pointa le gode contre mon petit trou. J’eu un moment de panique. Et si mon anus faisait de la résistance, s’il refusait d’autoriser cet épieu de latex à le pénétrer. Si j’avais horriblement mal. Peine perdue autodéfense inutile car l’engin, poussé par ma chérie qui s’était solidement agrippé à mes hanches, fit son bonhomme de chemin dans mes entrailles. Je vociférais à cause de ma muselière des mots incompréhensibles, des grognements de lamentations venus du fond de ma gorge, ma tête s’agitait de gauche à droite, de droite à gauche.- Ca te fait trop mal mon chérie tu veux que j’arrête ? Me demanda Magalie, inquiétée par mes jérémiades.Oui, ça me fait mal, mon cul se dilate comme un malade et ça me fait mal mais non, non et non je ne veux pas qu’elle arrête. Je lui fais savoir en agitant de plus belle ma tête de gauche et de droite en donnant du « ...on ...on ! ». Le message fut quand même reçu cinq sur cinq car Magalie, excitée par mes encouragements, se mis à me pilonner le cul avec l’ambition évidente de nous faire jouir tous les deux. Véro, qui n’était, comme on peut s’en douter, nullement novice en la matière, lui conseilla de ralentir la cadence.- Doucement petite dévergondée d’amour, tu vas le faire jouir trop rapidement ton mec. Laisse-le un peu profiter de ton labeur mais fait lui tout de même comprendre que pour l’instant l’homme c’est toi. Que tu as entre tes jambes l’outil qui risque de lui faire demander grâce et qu’il n’est rien d’autre que ta chose, ton jouet, ta femme, ta femelle. C’est toi qui décide l’instant où vous allez jouir, pas lui. Vrais que tu es une femelle, Me gueulât-elle à l’oreille. Tu aimes que l’on te baise, hein ?Afin de m’en convaincre plus rapidement elle tira rudement sur la corde qui enserrait mes couilles et ma queue. Aïe, c’est bon.Dans le miroir je voyais le visage de Magalie se transformer sous l’effet de l’excitation. La tête en arrière, les yeux mi-clos, la bouche grande ouverte elle se pâmait littéralement. Suivant les conseilles de notre copine de jeux elle avait adopté un rythme lent mais à chaque pénétration, elle introduisait le gode au plus profond de mon cul. J’en avais à chaque fois le souffle coupé. Bien plantée jusqu’à la garde elle s’immobilisa un instant puis je vis son reflet se balancer. Elle se frottait, s’agaçait, s’excitait le clitoris contre la base du gode en laissant échapper de sa gorge un souffle saccadé de volupté. Ses mouvements désordonnés procuraient à « sa bite » comme une rotation à l’intérieur de mon cul. Merveilleux, s’était vraiment merveilleux. Mais pourquoi ne m’étais-je pas fais baiser avant ? Il est vrai que le désir m’en était venu parfois mais j’imaginais plutôt faire ça avec un homme. Bien que Magalie parvienne assez bien à me donner du plaisir avec sa bite de plastique, j’étais persuadé qu’un sexe de mec devait être plus agréable et bien moins dur.Assis sur mon petit nuage de bien-être, plongé dans la volupté, je fermais les yeux et savourais le doux baisage de ma chérie. Ca jouissance explosa soudainement. Ses ongles pénétrèrent la chaire de mes hanches et elle me pilonna à nouveau le cul. Pénétrations rapides, puissante, profondes, sans ménagement. Elle m’attirait à elle en donnant de la voix, en gueulant des « Oui, oui ! » tonitruants. Mes grognements l’accompagnaient dans sa jouissance. Le cul me chauffait, me brulait mais j’acceptais les coups de buttoirs avec bienveillance. J’en redemandais, j’en voulais encore plus. Quand à Véronique, elle s’acharnait, sur ma queue, me branlait en serrant ma bite avec une force inouïe, tirait sur le lien qui enserrait mes couilles, me faisait mal, me faisait du bien. Magalie jouit en poussant des cris d’hystérique, violement. Elle s’agitait dans tous les sens ce qui avait pour conséquence, et j’étais demandeur, de me dilater encore plus la pastille. Au moment même où j’explosais de plaisir, au moment même où je lui inondais la main d’un jet puissant de foutre, Véro abandonna mes couilles, dégrafa le « Mord à balle » qui obturait ma bouche et bien avant que je puisse hurler mon premier cris intelligible elle me gratifia d’une série cinglantes de claques sur les fesses qui, pour mon plus grand plaisir, décuplèrent la puissance de ma jouissance.Essoufflé, épuisé, repu et comblé par tant de bonheur je m’écroulais, autant que mes entraves le permettaient, sur la table du salon. Avec étonnement je vis « ma » Magalie pousser assez autoritairement son amie sur le canapé, s’agenouiller entre ses cuisses, s’enserrer la taille avec les jambes de la donzelle et avec une ardeur de diablesse lui planter son infatigable queue dans la fente. Véronique poussa un cri mêlé de plaisir et de douleur. Elle se redressa en partie, plaqua ses lèvres sur celles de son amante mais se mit aussitôt à hurler tant ma surprenante épouse lui criblait la chatte avec son infatigable bite. Véro battait l’air avec ses bras et Magalie, folle furieuse, plantait ses ongles dans les flans de celle qu’elle baisait. Les deux femmes explosèrent simultanément en un feu d’artifice de cris, de griffes et de vulgarités inspirées par celle que l’on appelle communément « la petite mort ». Il me fallut attendre encore une bonne vingtaine de minutes, le temps que mes deux comparses récupèrent leur souffle, avant d’être libéré de mes liens. Le spectacle de leurs amours lesbiens m’avait carrément régénéré et j’eu droit pour ma peine à une fellation collective où mes deux servantes s’appliquèrent à me faire cracher une dernière salve de foutre. Normalement, on devrait se revoir.

vendredi 24 septembre 2010

Gloria

Gloria est secrétaire dans une grande administration et travaille sous les ordres d’une chef de bureau. Cette femme autoritaire est une véritable terreur dans le service de cette administration. Elle gouverne son service d’une main de fer et chacun la craint, sauf Gloria qui semble être bien dans ses papiers. Elle connait de petits secrets sur sa chef et l’a surprise un soir en fâcheuse posture dans une situation non équivoque alors qu’elle était encore au bureau à préparer un dossier important. La porte du bureau de Gloria donne sur le bureau de sa chef et ce soir là, pour une raison inconnue, la porte était entrouverte donnant à Gloria la vue sur le bureau de sa chef. Cette dernière, fort occupée, avait reçu un appel téléphonique et absorbée par son travail et cet appel n’avait pas vu ni entendu Gloria qui travaillait en silence dans son bureau. Gloria leva la tête au dessus de son ordinateur lorsque la sonnerie du téléphone du bureau de sa chef retentit. Elle la vit décrocher et dire « allo ! » puis ce fut le silence. Madame Clément écoutait attentivement son interlocuteur. Au bout de quelques minutes Gloria vit le visage de Madame Clément rosir. Cette dernière avait soudain des gestes et une attitude que Gloria ne lui connaissait pas. Elle avait coincé le téléphone sur son épaule gauche avec sa tête et avait bientôt passé ses mains sous son chemisier. Il ne faisait aucun doute que Madame Clément était en train de se caresser. Gloria en fut surprise car elle n’aurait jamais pu imaginer Madame Clément en train de se caresser. Jamais cela, elle en est sure. Elle faisait trop vieux jeu. Toujours est-il qu’elle se caressait bel et bien en cette soirée et dans son bureau en plus. Le visage de Gloria esquissa un léger sourire et elle ne se priva pas de la regarder se donner du plaisir avec ses mains. Elle regretta pourtant de ne pas voir ses jambes puisque le bureau semi-ministre de Madame Clément était fermé par l’avant. Mais Gloria imaginait sans peine ce que Madame Clément pouvait bien faire maintenant avec ses mains. L’esprit de Gloria commençait à s’échauffer devant la vision dont elle était témoin et voyeuse par la force des choses sans l’avoir cherché ni provoqué. Sa respiration s’accéléra imperceptiblement lorsque la main droite de Madame Clément ouvrit le tiroir de droite de son bureau et en sortit un vibromasseur. Gloria ne pouvait pas le croire. Madame Clément enfermait dans un tiroir de son bureau un vibromasseur ! Elle, la chef de service rigide comme la justice en temps normal ! Incroyable ! Madame Clément respirait vite elle aussi et porta le sexe virtuel à sa bouche puis l’enfourna doucement tout en se levant de son fauteuil. Elle vint s’asseoir sur le bord de son bureau, cuisses grandes ouvertes et retroussa lentement la jupe de son tailleur sur le haut de ses cuisses. Gloria voyait quasiment tout maintenant et ne perdait aucun des gestes de Madame Clément. Gloria ne tenait plus. Sa main droite se porta directement entre ses cuisses et lorsque Madame Clément, fermant les yeux, descendit entre ses cuisses le vibromasseur et l’enfonça lentement entre ses lèvres intimes Gloria mouilla spontanément. La main de Madame Clément tremblait légèrement et elle commença bientôt à faire aller et venir le vibromasseur dans son intimité, le téléphone toujours plaqué contre son épaule. Les doigts de Gloria étaient passés sous son string et elle s’astiquait en cadence en suivant des yeux la main de Madame Clément. Madame Clément entrait lentement dans la jouissance et sa respiration devenait haletante. Ses deux mains étaient maintenant entre ses cuisses largement ouvertes. Gloria était partie elle aussi dans la quête de son plaisir et ses doigts accéléraient leur exploration intra-utérine. Gloria sentit que Madame Clément était sur le point de jouir aux gestes désordonnés de sa main gauche excitant son bouton. Gloria avait la tête en feu et pensa « Elle est en train de me faire venir cette salope » quand elle reçu une formidable décharge de cyprine sur les doigts et ne put s’empêcher d’émettre un râle. Madame Clément jouissait aussi mais avait entendu le râle venant du bureau de Gloria. Elle tourna la tête et vit à travers la porte entrouverte Gloria affalée sur son fauteuil. Le doute n’était pas possible Gloria l’épiait depuis le début et l’avait vue se donner du plaisir avec ses doigts et le vibromasseur mais en tacticienne avisée elle tourna la situation à son avantage. Elle raccrocha le téléphone, se rajusta calmement, rangea le vibromasseur dans son tiroir qu’elle referma à clé puis se rendit jusqu’à la porte du bureau de Gloria et l’ouvrit soudainement. De sa voix la plus autoritaire elle dit à Gloria tout en faisant irruption dans le bureau « Qu’est-ce que vous faites encore ici à cette heure là Gloria ? ». Gloria lui répondit d’une voix mal assurée « Je travaillais sur le dossier des retraites Madame ». Madame Clément s’approcha d’elle et tira d’un coup sec son fauteuil à roulettes en arrière découvrant soudainement sa jupe retroussée haut sur ses cuisses. « Et vous étiez en train de travailler dans cette position Gloria ? » répondit du tac au tac Madame Clément, ajoutant « Vous n’étiez pas plutôt en train de vous caresser ? ». Pour toute réponse Gloria baissa les yeux en signe d’affirmation. Madame Clément s’approcha tout près de Gloria et posa sa main gauche haut sur la cuisse de Gloria juste à la limite de sa jupe puis lui dit d’une voix presque douce « Je suis prête à oublier cela Gloria » tout en remontant sa main plus haut de manière insistante. Gloria se taisait et Madame Clément poussa son avantage. Elle passa maintenant sa main sous la jupe et remonta jusqu’à son ventre. En sentant son string mouillé elle lui dit d’une voix douce « Dis donc Gloria tu as une chatte qui mouille bien ». Puis elle passa ses doigts sous le tissu du string et vint les poser sur ses lèvres. Elle ajouta « Tu sais que tu es bien foutue Gloria » en enfonçant lentement deux doigts dans l’intimité trempée de Gloria qui se mit à respirer plus vite. Elle retira ses doigts trempés de l’intimité de Gloria puis la regardant dans les yeux, porta les doigts à sa bouche et goûta la liqueur de Gloria. Elle lui dit ensuite « Lève-toi et tourne-toi ». Gloria s’exécuta et Madame Clément défit le bouton de la jupe qui tomba aux pieds de Gloria puis elle fit glisser son string sur ses cuisses et le lui retira. Elle la poussa vers le bureau et lui dit d’une voix pleine d’une soudaine envie « Allonge-toi sur le bureau Gloria ! ». Gloria s’exécuta et s’allongea cuisses ouvertes sur le bureau. La bouche de Madame Clément se posa sur les belles cuisses de Gloria et commença à goûter sa peau ambrée. Sa bouche remonta bientôt vers la vulve de Gloria et goûta ses lèvres intimes. La langue de Madame Clément s’insinua entre les lèvres intimes et fouilla la vulve avec insistance. La tête de Gloria allait de droite à gauche et elle ne put s’empêcher de caresser les cheveux de Madame Clément et de lui appuyer doucement la tête contre sa vulve lui faisant signe par ce geste qu’elle voulait la sentir encore plus fort et plus profondément en elle. La langue de Madame Clément était en train de faire venir Gloria et lorsque sa langue titilla le bouton d’amour de la belle secrétaire Madame Clément reçu dans la bouche sa récompense : Trois giclées de cyprine qu’elle dégusta jusqu’à la dernière goutte. Gloria avait resserré ses cuisses autour de la tête de Madame Clément et jouissait sans aucune retenue en râlant puis son corps se relâcha et ses cuisses s’ouvrirent libérant la tête de Madame Clément qui porta une main douce en direction de la poitrine aux bourgeons tendus de Gloria. Elle caressa avec insistance les seins gonflés de Gloria puis prise d’une nouvelle envie défit les boutons du chemisier de Gloria. Elle dégrafa son soutien gorge et posa sa bouche sur les seins de Gloria et en aspira les bourgeons à tour de rôle puis elle les téta. Gloria gémissait doucement et en deux minutes d’une succion insistante elle se mit à jouir une nouvelle fois puis s’assoupit, vaincue par ses jouissances. Lorsqu’elle ouvrit à nouveau les yeux Madame Clément n’était plus là mais elle vit un Post-It collé sur sa porte. Elle lut : « Rendez-vous demain matin à neuf heures à mon bureau Gloria ».Gloria devint, en peu de temps, la secrétaire de direction de Madame Clément qui avait été nommée au ministère. Elles se voyaient régulièrement en dehors du travail et se tutoyaient maintenant mais jamais au bureau.

jeudi 23 septembre 2010

Mon écolière

Vendredi, 18h30, comme tous les jours je suis à mon bureau à la maison, je prépare mes devis pour mes clients, réponds à mes mails, bref la vie d'indépendant, ma femme travaille, je suis seul dans mon coin, la routine.La fille de ma femme, Laura, née de son premier mariage, étudie dans sa chambre, elle prépare ses examens pour sa dernière année. Jeune, tout juste 18ans, 1m85 cm, 71 kg, des jambes aussi longues que l'infini, un petit cul bien serré, un ventre plat, une poitrine généreuse, ronde, une peau lisse et un visage aussi doux que la pureté.Oui, je la connais bien, je l'ai déjà observée souvent, sa démarche, son corps, ses allures qui même parfois m'énervent, il m'est déjà souvent arrivé de fantasmer sur elle. Mais bon, je suis marié avec sa mère, c'est ma belle-fille, qu'elle honte.Soudain, j’entends la porte du bureau s'ouvrir, c'est elle, Laura, la belle Laura, elle entre, j'hallucine presque, petites chaussettes blanches, jupe plissée à carreaux noirs et blancs, un top blanc trop serré, une taille trop petit moule son corps, serré sur son petit ventre plat et complètement étiré sur sa poitrine opulente. Je ne l’avais jamais vue habillée comme ça, elle ne porte même pas de soutien-gorge, j’aperçois ses tétons qui pointes en avant, l’encolure de son top où elle n’a pas fermée les boutons, semble à la limite du déchirement tellement il lui serre son petit corps. Et pour finir, deux petites couettes dans ses longs cheveux noirs viennent parfaire ce tableau.Je me rapproche de mon bureau, je ne tiens pas à ce qu’elle aperçoive à travers mon jogging que cette vision me secoue un peu la libido. Elle s’avance près de moi, se penche en avant pour s’accouder sur le bureau, m’offrant ainsi une vue plongeante sur son décolleté et me demande : « Beau-papa, tu pourrais me filer un coup de main en anglais ? Je ne m’en sors pas ».La première pensée qui me traverse l’esprit est : bon-sang, ce n’est pas un coup de main que je te filerai bien, mais je me ressaisis aussi vite et lui réponds « oui, bien sûr ». Je me recule un peu avec ma chaise de bureau et fais tomber la souris maladroitement, je suis trop préoccupé par mes fantasmes qui défilent dans mon esprit à la vitesse de la lumière, à la vue de cette beauté si attirante. Voulant ramasser ma souris tombée devant moi, elle me dit « laisse, je te la ramasse », et se penche en avant, la main tendue entre mes jambes pour ramasser la souris. Son visage vient se poser sur moi, à la hauteur de mon sexe, qui par le biais de mon esprit en fusion, se retrouve déjà durci, elle a un léger sourire. Pendant qu’elle fouille un peu de la main parterre, mon regard parcours son corps, je vois sa petite jupe plissée qui est remontée, de par sa position, me laissant voir tout juste le bord rond d’une de ses fesses.Mon sang est déjà en fusion, je me sens un peu ridicule de me retrouver dans cette position, et surtout d’être excité de la sorte, elle se relève, pose la souris sur le bureau, et me tends son livre d’anglais tout en s’asseyant sur mon genou droit. Je pose le livre sur le bureau, lui pose une main sur la hanche, et l’ouvre à la première page. Sur le dos de la couverture, il y a une photo collée d’un couple nu enlacé. Puis semblant apercevoir un écart plus important entre deux pages de son livre, je l’ouvre à cet endroit précis, pensant trouver la page de son problème d’anglais.Stupéfaction, en ouvrant le livre à cette page, je vois un string blanc, tout fin, tout léger, si transparent que je peux presque lire le texte en dessous. Je suis scotché, incapable d’émettre un son, de dire un mot, troublé par sa tenue si légère et par ce sous-vêtement trouvé là. Elle me dit « il te plaît ? Si tu veux je peux le remettre ? ». Ma main posée sur sa hanche se resserre un peu, comme pour lui dire non, ne bouge pas. Elle se tourne un peu et s’avance pour m’embrasser, je pose une main sur son ventre, l’embrasse tout en la caressant, je mont vers sa poitrine, la frôle légèrement, sentant ses tétons durci et continue en montant lentement jusqu’à lui saisir la nuque pour mieux la saisir tout en l’embrassant.Une de ses mains parcours mon corps, elle m’embrasse toujours, et descend plus bas vers mon sexe ne érection. Elle le touche, le caresse à travers mon jogging, pendant que moi je redescends ma main sur ses seins si fermes, si doux, avec ses tétons tendus en avant comme pour me demander de les embrasser. Je les caresse, lentement, profitant de ce moment si magique, l’embrasse dans le cou, et continue de descendre avec ma main sur une de ses cuisses. Sa peau est si douce, si fraiche, je remonte, passe sous sa jupe pour découvrir que réellement elle ne porte pas de culotte, je sens la chaleur de sa petite chatte avant même de la toucher.Je deviens comme fou, je n’y crois pas, je la prends par la main, l’invite à se lever. Une fois debout, devant moi, je saisis ses hanches, l’attire vers moi pour lui donner quelques baiser sur son ventre, je relève un peu son top et découvre son nombril, ma langue vient s’y caler, jouant un peu tout autour, elle enlève son top pendant que je m’amuse de la sorte puis, saisissant ma tête elle m’invite sur sa poitrine. Un délice, une excitation indescriptible m’envahi encore, et encore, je m’empresse de les caresser, de jouer sur ses deux pointes érigées à mon intention du bout de la langue, je les suce un peu, pendant que son corps semble commencer à danser la valse nuptiale.Soudain, elle me dit « bouffe moi la chatte, on ne me l’a jamais fait, j’en ai trop envie ». Comment lui refuser une telle demande ? Je l’assois sur le bord du bureau, me positionne ne face d’elle sur ma chaise, lui écarte délicatement les jambes, ce qui m’offre la vue de son fruit défendu, sa petite chatte ferme et tendre, plus je lui écarte les jambes, plus sa petit chatte suit le mouvement et s’entrouvre doucement, je vois sur les bords de ses lèvres une comme l’impression d’une larme, elle est mouillée, que dis-je ? Trempée de désir, sa chatte coule littéralement. J’embrasse ses cuisses tout en lui saisissant les fesses pour la ramener vers moi, instinctivement elle pose ses pieds sur mes épaules, comme pour être sûre d’ouvrir suffisamment le chemin qui mène à son petit fruit. Je continue à lui embrasser l’intérieur des cuisses, frôlant son petit minou pour passer d’une à l’autre, chaque passage par-dessus sa petite chatte me fait sentir son désir lorsque, ne pouvant plus se contenir, elle m’attrape par les cheveux et me dirige tout droit vers son petit minou tout écartelé, ma langue ne se fait pas priée, je commence lentement à lécher ses grandes lèvres, puis délicatement avance pour fouiller son fruit, sous la pression de ma langue elle s’écarte complètement, je goute enfin son jus, celui de l’excitation dans laquelle elle se trouve, je fais pénétrer ma langue dans sa chatte, puis remontant un peu, délicatement, je commence à tourner tout autour de son clito en érection.Elle lâche de petits soupir de contentement, son bassin se remue, ma langue titille son clito sans arrêt, ses mains m’attire encore plus fort sur son petit fruit, son basin devient frénétique, bouge de plus en plus, c’est quasiment elle maintenant qui frotte son clito sur ma langue, une de ses mains vient ouvrir encore plus sa petite chatte, son clito est totalement dehors, tendu à fond vers mes caresses, quand soudain, se penchant vers l’arrière, elle lâche un râle de plaisir, son bassin est devenu incontrôlable, ses mouvements sont saccadés, sursautant à chaque passage de ma langue sur ce petit bouton rougit à vif. Quel pied, elle jouit, c’est si bon de la voir se tortiller de plaisir, puis n’en pouvant plus, elle me repousse en arrière comme pour stopper ce feu qui la consume.Dans le fond de mon fauteuil de bureau, je contemple son corps, satisfait de ce plaisir que je viens de lui offrir, elle reste un moment allonger sur le bureau, appréciant à sa valeur la redescente des nuages.Tout en la regardant, je descends mon froc et profite de cet instant pour me caresser la queue, durcie par cet instant magique, j’hésite, que dois je faire ? Dois-je l’entreprendre ? Où tout simplement attendre qu’elle se remette de ses esprits ? Pas besoin de question car d’un bond, elle se relève du bureau, et me chevauche d’une enjambée tel un cowboy qui enfourche son cheval, elle se serre contre moi, mon sexe est tendu vers les cieux tel un pylône n’attendant que la foudre du plaisir, d’un mouvement assuré elle se laisse glisser sur ma queue, et, « aïe » fait-elle, je la regarde ébahi en lui demandant « pardon, je t’ai fait mal ? », « non, mais tu viens de faire de moi une femme » me répondit elle.Je ne peux y croire, elle vient de m’offrir sa virginité, comme un cadeau venu du ciel, et pendant qu’elle entame sa chevauchée, mon esprit est tout enivré de ce présent, mon excitation est telle qu’il ne lui faut pas 5 min pour me faire jouir, que je sens au moment de mon plaisir mon sperme s’envoler au fond de sa chatte si douce, ferme, et délicieuse pendant qu’elle me dit « oui, c’est bon, je sens ton plaisir en moi, je sens ton plaisir s’écouler dans ma chatte, je te sens vivre en moi ».Satisfait, troublé, je ne peux plus réagir, et tout naturellement elle se relève, comme envoutée, aux anges, pour quitter mon bureau en me laissant au passage un petit clin d’œil coquin.

Le bar

Bien qu'il ne la connaisse pas, il ne se trompe pas, c'est bien avec elle qu'il a rendez-vous dans le bar de ce grand hôtel qu'il aime bien. Elle habillée comme convenu, encore plus belle qu'il ne l'avait imaginée. Ses talons hauts lui donnent une démarche élégante sure et raffinée. En se hissant sur le tabouret du bar sa jupe s'est entrouverte, découvrant brièvement une bande sombre affriolante. De son fauteuil, il assiste un peu hypnotisé à son arrivée, l'émotion de l'attente se transforme en trouble. Elle est entrée sans trop regarder autour d'elle pour se diriger directement au bar. Elle sait que les hommes (et les femmes) la regardent, et lui parmi eux. Même si en cette fin d'après-midi, le bar n'est pas très rempli, elle s'oblige à ne pas chercher à le trouver. Elle se sent désirable et profite de ce moment, de la sensation du glissement des regards sur son corps. Elle boit un verre et joue avec son tel, peut-être pour masquer son trouble. Elle est plus excitée qu'elle ne l'aurait imaginé. Le jeu l'amusait, mais elle pensait attendre d'être avec lui pour succomber pleinement dans le désir. Elle doit pourtant bien admettre qu'elle ressent une onde intérieure, entre ses cuisses. Elle croise les jambes, pour lui, mais aussi pour elle, pour s'apaiser, ou s'abandonner ... Son téléphone sonne. - Bonjour, vous êtes parfaite Mademoiselle. - Merci Monsieur lui répondit-elle avec un sourire derrière son épaule, à son attention. - Voulez-vous bien vous tourner un peu vers la gauche? - Oui merci, je vois mieux votre visage, votre regard... - Vous pouvez y aller, je vous attends. Elle savait ce que cela signifiait. Sans raccrocher, le téléphone pendant au bas de son bras, elle se tourne vers l'escalier qui monte vers les toilettes et s'y dirige d'un pas souple, féline sur ses talons, sachant qu'il succombait progressivement. Il n'avait lâché son téléphone que le temps qu'elle passe devant lui. Puis il le remet à son oreille et entend le frottement de sa jupe et le bruit de ses talons sur l'escalier, puis le sol qui résonne. Elle s'enferme dans les toilettes, et comme une délivrance soulève sa jupe et met sa main entre ses lèvres à travers la fine culotte de dentelle. Son cœur s'accélère, son souffle dans l'appareil le fait tressaillir. Maintenant il bande tout à fait juste à imaginer. - Vous êtes prête, lui dit-il. Racontez-moi. Et elle lui raconte à voix basse, par bribe, comment le désir la fait couler, comment elle se donne du plaisir. Il l'encourage de sa voix sensuelle. - Mais vous allez me faire jouir, Monsieur.... - Oui, mais pas tout de suite, je vous attends. Elle raccroche, passe encore un fois son doigt sur son clitoris et dans un frémissement pousse le tissu de dentelle entre ses lèvres pour bien l'humecter. Elle enlève sa culotte, et la plie soigneusement dans son sac. Elle se rajuste, jette un coup d'œil dans le miroir, une touche de rouge à lèvres, remet en place une mèche de cheveux, satisfaite de son image de femme soumise sophistiquée telle qu'il là désire, elle remonte à sa place près du bar. Il finit son premier verre, la regarde encore une fois de sa position anonyme et confortable et s'approche d'elle. - Bonjour, lui dit-il en la regardant dans les yeux - Bonjour Monsieur, vous êtes là depuis longtemps lui dit-elle d'un ton moqueur pour détendre l'atmosphère. - Un peu, suffisamment…, venez donc à ma table. Ils s'assirent face à face dans les fauteuils. Elle remonta un peu sa jupe avant de se laisser tomber dans le fauteuil en le regardant malicieusement. En parlant pour faire connaissance, ils se rapprochent, sans laisser l'excitation retomber.Leurs respirations sont rapides, leurs regards équivoques.Elle joue, s'amuse à croiser et à décroiser les jambes, le provoque. Puis elle ouvre son sac et lui donne discrètement sa culotte. Il la prend au creux de sa main comme avec un mouchoir la porte à son nez, ses lèvres. Il goûte son humidité tout en la regardant, belle, radieuse. Vous aimez ? demande-t-elle. Sans attendre sa réponse, elle se pencha pour que son regard puisse plonger dans son décolleté, elle n'avait pas de soutien gorge….Puis dans la même minute, elle décroisa les jambes et les ouvrit suffisamment pour qu'il puisse entre'voir sa féminité. Elle fixait ses yeux braqués sur elle et s'amusait à refermer les jambes, puis à les ouvrir à nouveau, n'y tenant plus, il passa la main sur son pantalon pour caresser son sexe, cette fois c'est son regard à elle qui n'arrivait pas à se détacher de cette main, il prit alors le journal posé sur la table et s'en servit comme d'un paravent, il baissa discrètement sa braguette, sortit son sexe, posa le journal de manière à le dissimuler et de temps en temps lui permettait de le voir, pendant ce temps, elle ouvrait les jambes autant que sa jupe le lui permettait. Finalement après de longues minutes de ce jeu terriblement excitant…. leurs regards brillants d'excitation se croisent, elle se détourne dans un sourire....

incensé

Accoudée au bar, me déhanchant nonchalement sur un air reggae, quelle fut ma surprise lorsque je sentis une main se glisser sous ma jupe a raz des fesses!! comment avait-on osé!!je me suis retourné violement et me suis retrouvé devant lui, un grand gars bien baraqué, tres mignon et avec un air de mauvais garcon... ma première réaction a été de lui sourire, ensuite je me suis reprise et je l'ai giflé! il sourit aussi et se saisi de mon sein gauche tt en passant sa main dans mes cheveux...je l ai giflé a nouveau! c'est alors que d'une main il bloqua mes bras derière mon dos, et de l'autre m'étrangla et m'embrassa, et c est a ce moment la que la securité s'en mêla!A ma grande surprise, je pris le parti de cet inconnu leur expliquant que tout allait bien! j'en ai aussi profité pour changer de spot et aller rejoindre mes amis a qui biensur je n'ai pas dis pas un mot!!Troublée, j'essayais tant bien que mal d'arriver au bout de cette soirée en tâchant d'être de bonne compagnie, mais je n'arrivais pas a comprendre ce qui venait de se passer... je suis alors allée chercher mon manteau pour aller prendre l'air et fumer une cigarette.j'ai commencé alors marcher et me suis rapidement retrouvée ds un petit parc, je me suis assise, ouvert mon sac, pris une cigarette, et là une flamme s'alluma devant mon visage, m aveuglant ds cette nuit noire. Une fois la flamme éteinte , je reconnu l'inconnu du bar!!j'etais petrifiée, je ne pouvais plus bouger, ni respirer...il commenca alors a me carresser le visage, profitant de ma paralysie et me chuchota`" promets moi que tu ne m'en voudras pas!" et je lui promis, ce qui était totalement insencé puisque je n'avais jamais eu ce genre de fantasmes...pourtant en ce moment j'était complètement mouillée et exitée!Il recula, me regarda et me donna deux bonnes gifles, qui firent aussitot couler des larmes sur mes joues. il recula encore et me regarda , je devais être complètement pitoyable car un sourir de satisfaction de dessina sur son visage. Il me demanda`"et maintenant, est tu toujours sure de la promesse que tu m'as faite?" je répondis entre deux sanglots, avec une voix tremblante "oui je suis sure!" Il m'ordonna alors d'enlever ma culotte et de me mettre a 4 pattes...je n'avais pas enlevé ma jupe, alors d'un coup sec il le fit, et commenca a rire en découvrant a quel point j'étais mouillée.Il était hors de lui, il frappait mes fesses de toutes ses forces, tout en me dévorant, doigtant et me lechant... mes yeux étaient gonflé de larmes, j'avais tellement mal, et j'aimais tellement ca...je me sentais humiliée et adulée en meme temps...en fait je n'étais plus dans ce monde...!Il se mit en face de moi qui était tjs a 4 pattes , et m'enfonca sa grosse queue , que j'arrivais a peine a distinguer tellement il faisait noir, dans la gorge, jusqu'a ce kil en sorte des sons dont j'avais jamais soupconné l'éxistence...il continua ainsi a me faire sucer (si on peut appeler ca comme ca) sa queue pendant au moins 10 minutes, j'en avais mal a la machoir... Apres il me penetera avec une rage que je ressentai comme édifiante, tout en m'enfoncant quelques doigts dans l'anus, chose qui me fit rapidement jouir. J'étais honteuse de ma jouissance et essayer de la cacher, je ne fis pas un bruit, mais il s'en ai rendu compte...surement à cause des contractions de mon vagin...il devint alors une furie: il se mit a m'insulter en me tirant les cheveux et en me frappant les fesses ,il sortit son gros penis de ma chatte, cracha grossierement ds sa main qu'il porta a mon anus, et enfonca d'un seul coups sa bite, dans toute sa longueure dedans!! j'ai hurlé d'un melange de surprise de douleure et de bonheur...il continua de m'enculer jusqu'a ce qu'enfin il jouisse aussi, se retira, me demanda me rassoir sur le banc, et vint me jeter le préserfatif plein de sa semmence sur le visage. Il ramassa ma culotte, la fait disparaitre dans une poche et me dit "on se reverra, je te l'assure". Et il disparut dans le noir!Machinalement je suis repartie au bar rejoindre mes amis, et cette fois j'étais d'une humeure joviale et contagieuse...j'avais passé une soirée inespérée...j'avais découvert une facette de moi que j'ignorais, et qui me plaisai...qui contredisait mon éternel desir de tout controler!

mardi 21 septembre 2010

en salle de déshabillage....

Ce matin très tôt je suis allé au magasin grande surface. Depuis qq. temps je "syeutais" une belle vendeuse qui ne cachait pas ses rondeurs.Elle est juste devant moi dans l'escalier mobile... je m'approche, elle se retourne, me sourit et tout doucement je lui passe la main sur l'intérieur de la cuisse en montant tout doucement vers son entrejambe. Elle écarte légèrement les cuisses ce qui permet à ma main d'atteindre sa belle toison directo... elle n'a pas de slip! Je lui caresse doucement le clito... entre un doigt ds son vagin tout lubrifié... qui me dégouline sur le poignet...Rendu à l'étage, de crainte d'être surpris je retire ma main, mais elle la prend pour goûter son nectar... et m'attire ds le département des femmes dans une chambrette de déshabillage.Elle ferme la porte à clé... me baisse la fermeture éclair illico... m'enfourne le pieu tout gonflé dans le fond de la bouche et me claque une de ces fellations à me faire trembler sur mes jambes...Tout en continuant de me sucer le pieu... elle défait ma ceinture, baisse mes pantalons, me caresse les fesses et y attarde un doigt juste à l'entrée de mon anus... Je donne des coups par en avant si fort qu'elle en perd le gourdin...tombe presque sur la porte... j'en profite pour lui défaire la blouse... lui tripoter les seins... j'en bave de plaisir... quelles boules toutes douces, fermes, laiteuses....Sans un mot elle se place les mains sur le tabouret et d'un signe de tête m'invite à la défoncer à toute allure.Je suis fou de plaisir... de multiples va et vient m'arrachent le grand soupir... prédisant mon éjaculation éminente... elle se retourne, engouffre mon membre au fond de sa gorge et elle boit tout au complet... mon déversement si abondant qu'il en sort par les commissures des lèvres. Elle n'en perd pas une goutte. Lèche mon gros pieu qui se détend tout lentement ... tellement ses lèvres sont douces et sa langue rapeuse.En silence ns ns revêtons... elle sort doucement me laissant le temps de reprendre mes esprits. Elle m'attend au comptoir des paiements, me sourit et me donne son numéro de téléphone personnelle....Je pars du reculons tout en l'admirant et lui faisant signe... ce soir 21h. pile!

La foire!

J'était en vacance et nous étions à la journée de l'ouverture d la foire qui dure 10 jours. Le monde s'amusent dans les manèges et visitent les commerçants qui exposent leurs marchandises en promotions. Je me promenais parmi la foule et regardait les gens s'amuser dans les manèges, et mon regard a été attirer par un nouveau manège. Comme je voulais voir le fonctionnemnt du manège je me suis approché de la clôture de sécuriter pour le regarder. L'opérateur était un jeune noir, il pouvait avoir dans les 25 ans. Je me suis mis à le regarder, car il avait un corps des dieux, il était musclé et une belle paire de fesses qui étaient bien mouler dans son jeans serré. Alors je me suis approché de lui pour jaser, j'ai appris qui venait de la côte D'Ivoire, et qu'il était étudiant ici, et il avait trouver ce travaille pour l'été pour payer ces études. Il était très gentil et sympathique, durant la conversation il me dit, qu'il était un peu tanné de dormir dans les roulottes et manger sur le pouce. Alors il m'est venu une idée de l'inviter chez moi, et de le loger pour la période de la foire car j'avais une chambre de libre et que je ne restais pas loin du lieu de l'évènement, il accepta l'invitation sans hésitation.Depuis quelques jours qui était à la maison, et un soir il arriva plus de bonne heure de son travaille car j'étais sous la douche et je n'avais pas fermé ma porte de la salle de bain, il était près de la porte qu'il me regardait prendre ma douche,et j'ai senti un plaisir et une exitation de me faire regarder. Je ne sais pas depuis combien de temps qu'il était là à me regader, quand j'ai sorti de la douche il avait regagner sa chambre mais il l'avait laissé entre ouverte. Je me suis approché un peu de la porte et j'entendis des soupirs et une forte respiration et j'ai constater qu'il était allongé sur le lit toute nu et ce masturbait, il avait une belle queue et des fesses qui me tournais la tête.Le lendemain à la fin de soirée j'étais au salon et j'avais seulement ma robe de chambre sur le dos rien en-dessous, je l'entend qui arrive comme j'étais au salon viens me rejoindre pour jaser un peu et me dit qu'il va aller prendre une douche. Il rentre dans la salle de bain mais il laisse la porte ouverte. Pendant qui est sous la douche je m'approche sur le bord de porte pour le regarder à mon tour, il est dans la cabinet de la douche je m'aventure un peu plus dans la chambre de bain, mais soudain il ferme les robinets et rouvre la petite porte de la douche et me dit viens me rejoindre. Je suis un peu surpris et éxiter de l'invitation, mon coeur`s'est mis battre rapidement et je respirais rapidement je m'approchais tranquillement en me mettant nu et je rentre dans le cabinet. Je suis dos à lui il s'approche derrière moi et colle son corps sur le miens, je sens son penis qui s'écrase sur mes fesses qui me donne des frissons, ses mains qui me presse contre lui et de sentir son corps, et il commence a passé ses lèvres sur mon cou et sur mes épaules. Il descends ses mains le longs de mon corps qui frissonne et s'arrête sur mes hanches pour me tenir et il roule ses hanches en en pressant son penis sur mes fesses et le frottant dans la craque et sur mon anus, à sentir cette sensation, j'ai été très exiter je me suis penché un peu par en avant pour presser mes fesses à mon tour contre son penis qui était très dur, je sentais mon sang bouillir dans mes veines. Après quelques minutes dans cette position, je me suis retourné pour saisir son membre et je me suis mis à genoux et le prendre dans la bouche et de le sucer avec ardeur en lui mettant mes mains sur ses fesses qui étaient très dures et fermes. J'entendais sa respiration qui était très rapide, ses mains me serraient très fort mes épaules et même il échappait des petits cris de satisfaction.Il me fit relevé et à son tour ce met à genoux pour me manger mon membre qui est disparu complètement dans sa bouche, il me serra les fesses avec beaucoup de force avec ses mains je sentais ses doigts à l'ouverture de mon anus, je me sentais venir avec rapiditée je l'ai repoussé, pour ne pas exploser immédiatement. Alors il se relève, et je le fais retourné sur lui même je le prend de mes deux mains par les hanches je me laisse descendre tranquillement en glissant ma langue sur son dos et sur les reins pour aboutir sur ses fesses avec mes doigts je lui écarte les fesses et ma langue ce dirige sur son anus et je lèche son petit trous, je m'apperçois qu'il frissonne à son tour et qui pousse ses fesses contre mon visage. Àprès quelques minutes je me relève, il me fait retourné de dos à lui et me fait appuyer mes deux mains contre le mur, à son tour il descends sa langue sur mon et mes reins pour me donner la chair de poule et écate mes fesse pour aller me manger mon anus, et je sens sa langue me force mon petit trous pour me pénètrer assez profondément et d'une main me saisie le penis et me masturbe et mes jambes commencent à trembler et dans un grande respiration en laisant échapper un gros crie j'explose dans sa main qui lui le porte rapidement à sa bouche pour lècher toute le sperme. Pendant que je reprend mes esprits il me fait pencher un peu plus par en avant en me lèchant avidement mon anus, en inserrant un doigt dans mon petit trous pour le faire dilater, il se lrelève passe son bras à ma taille et tiens son penis fermement d'une main et l'inserre entre mes fesses contre mon anus et commence à pousser fermement et je sens dans la douleur son penis qui commence à s'enfoncer dans mon anus, et en me serrant fort contre lui me donne des grands de bassins contre mes fesses qui claques contre son corps et dans sa respiration rapide son corps ce raidie et rapidement fait sortir son membre de mon trous pour exploser sur mes reins et mes fesses. Après avoir retrouver nos esprits il me dit en me regardant ça fait du bien, ce tenant debout tout les deux nous ouvrons les robinets pour une bonne douche.

J'étais soumise à mon prof.

J’étais déjà vicieuse lorsque j’avais 18ans. Je passais des heures dans mon bain à faire gicler la paume de douche sur mon minou. J’apprenais à mouiller et à jouir. J’adorais cela, et je me sentais une petite salope. Cette sensation m’excitait encore d’avantage.Ma chatte commencait à me titiller de plus en plus, je dirais qu’elle m’obsédait. J’avais tout le temps envie de la frotter et de me faire jouir.Je la frottais à toutes occasion, sur une porte, une chaise, une table….Je prenais le métro aux heures de pointe pour me frotter sur le pantalon de l’homme qui se tenait derrière moi….J’étais plus qu’une Lolita, j’étais déjà une nympho.Mon prof de sport le repéra tout de suite. Pendant les cours en début d’année il s’occupait beaucoup de moi et souvent laissait trainer une main à mon cul ou sur mes seins. J ‘aimais ça chauffer mon prof de sport. Je l’adorais, le vénérais et le trouvais si beau et gentil ! !Un jour que je restais un peu à discuter après le cours avec lui, tout le monde était sorti, il me colla au mur et colla son haut de pantalon sur mon entre jambe. Il me dit alors « tu sais que tu m’excites petite salope à tortiller ton cul devant moi tout le temps et à me montrer tes seins de petite salope, hein ? Si tu continues tu vas y passer ma petite pute, mmmmm ? Tu veux, ma chérie ? Tu me rends fou… »Mon cœur battait très fort et je sentais la mouille couler de mon minou. C’est alors que je m’entendis dire : « Je vous aime, monsieur et j’aime être votre petite salope ». Je faisais alors des mouvements du bassin pour frotter ma chatte contre son membre que j avais senti bien dur sur mon bas ventre.« Salope ». Il m’embrassa et se frotta aussi sur moi. Nous nous fimes jouir ainsi la première fois.*** ***Mon prof de sport m’invita quelques jours plus tard chez lui pour le déjeuner. J’étais fière d’aller chez mon prof de sport. Je me sentais importante tout d’un coup.A peine entrés, assis, il me pris sur ses genoux et se frotta sur mes fesses en palpant et caressant mes seins qui pointaient fort sous ses doigts.Je me sentais une sale petite garce vicieuse et cela me faisait mouillée. Ma chatte mouillait, j ‘avais des élans au bas ventre de plaisir et mes seins etaient tout pointés.Mon professeur m’excitait comme une salope en chaleur. Il m’apprenait à me frotter, à me cambrer, a m’offrir.« t’es ma petite salope, hein, tu l’aimes ton prof, hein, tu aimes qu’il se frotte sur toi, t’es bien sage avec lui, hein ? » quand il me chuchotait cela dans l’oreille je redoublait à me trémousser. Oui je me sentais une petite trainée à son prof. J’avais envie d’obéir à tout ses fantasmes.Quand il sentie que j’étais suffisamment excitée, il sortit sa bite de son pantalon et la branla devant moi, juste sous mon nez.« voilà la bite de ton prof, petite pute, regarde comme je me branle bien pour toi, tu la rends bien dure petite salope, tu vas faire sortir les spermatozoïdes. »Il m’avait mis a genoux et se branlait en tendant sa queue et en la branlant fort juste en face de ma bouche.« goute la bite de ton prof, trainée, sors la langue et leche le gland ». Je m’executais. Et j’apprenais le gout de la bite de mon prof, comment il aimait que je suce et leche. Cela dura des heures avant qu’il gicle sur mon visage en me faisant bouffer ses couilles.Une salope à son prof était née.