jeudi 23 septembre 2010

Mon écolière

Vendredi, 18h30, comme tous les jours je suis à mon bureau à la maison, je prépare mes devis pour mes clients, réponds à mes mails, bref la vie d'indépendant, ma femme travaille, je suis seul dans mon coin, la routine.La fille de ma femme, Laura, née de son premier mariage, étudie dans sa chambre, elle prépare ses examens pour sa dernière année. Jeune, tout juste 18ans, 1m85 cm, 71 kg, des jambes aussi longues que l'infini, un petit cul bien serré, un ventre plat, une poitrine généreuse, ronde, une peau lisse et un visage aussi doux que la pureté.Oui, je la connais bien, je l'ai déjà observée souvent, sa démarche, son corps, ses allures qui même parfois m'énervent, il m'est déjà souvent arrivé de fantasmer sur elle. Mais bon, je suis marié avec sa mère, c'est ma belle-fille, qu'elle honte.Soudain, j’entends la porte du bureau s'ouvrir, c'est elle, Laura, la belle Laura, elle entre, j'hallucine presque, petites chaussettes blanches, jupe plissée à carreaux noirs et blancs, un top blanc trop serré, une taille trop petit moule son corps, serré sur son petit ventre plat et complètement étiré sur sa poitrine opulente. Je ne l’avais jamais vue habillée comme ça, elle ne porte même pas de soutien-gorge, j’aperçois ses tétons qui pointes en avant, l’encolure de son top où elle n’a pas fermée les boutons, semble à la limite du déchirement tellement il lui serre son petit corps. Et pour finir, deux petites couettes dans ses longs cheveux noirs viennent parfaire ce tableau.Je me rapproche de mon bureau, je ne tiens pas à ce qu’elle aperçoive à travers mon jogging que cette vision me secoue un peu la libido. Elle s’avance près de moi, se penche en avant pour s’accouder sur le bureau, m’offrant ainsi une vue plongeante sur son décolleté et me demande : « Beau-papa, tu pourrais me filer un coup de main en anglais ? Je ne m’en sors pas ».La première pensée qui me traverse l’esprit est : bon-sang, ce n’est pas un coup de main que je te filerai bien, mais je me ressaisis aussi vite et lui réponds « oui, bien sûr ». Je me recule un peu avec ma chaise de bureau et fais tomber la souris maladroitement, je suis trop préoccupé par mes fantasmes qui défilent dans mon esprit à la vitesse de la lumière, à la vue de cette beauté si attirante. Voulant ramasser ma souris tombée devant moi, elle me dit « laisse, je te la ramasse », et se penche en avant, la main tendue entre mes jambes pour ramasser la souris. Son visage vient se poser sur moi, à la hauteur de mon sexe, qui par le biais de mon esprit en fusion, se retrouve déjà durci, elle a un léger sourire. Pendant qu’elle fouille un peu de la main parterre, mon regard parcours son corps, je vois sa petite jupe plissée qui est remontée, de par sa position, me laissant voir tout juste le bord rond d’une de ses fesses.Mon sang est déjà en fusion, je me sens un peu ridicule de me retrouver dans cette position, et surtout d’être excité de la sorte, elle se relève, pose la souris sur le bureau, et me tends son livre d’anglais tout en s’asseyant sur mon genou droit. Je pose le livre sur le bureau, lui pose une main sur la hanche, et l’ouvre à la première page. Sur le dos de la couverture, il y a une photo collée d’un couple nu enlacé. Puis semblant apercevoir un écart plus important entre deux pages de son livre, je l’ouvre à cet endroit précis, pensant trouver la page de son problème d’anglais.Stupéfaction, en ouvrant le livre à cette page, je vois un string blanc, tout fin, tout léger, si transparent que je peux presque lire le texte en dessous. Je suis scotché, incapable d’émettre un son, de dire un mot, troublé par sa tenue si légère et par ce sous-vêtement trouvé là. Elle me dit « il te plaît ? Si tu veux je peux le remettre ? ». Ma main posée sur sa hanche se resserre un peu, comme pour lui dire non, ne bouge pas. Elle se tourne un peu et s’avance pour m’embrasser, je pose une main sur son ventre, l’embrasse tout en la caressant, je mont vers sa poitrine, la frôle légèrement, sentant ses tétons durci et continue en montant lentement jusqu’à lui saisir la nuque pour mieux la saisir tout en l’embrassant.Une de ses mains parcours mon corps, elle m’embrasse toujours, et descend plus bas vers mon sexe ne érection. Elle le touche, le caresse à travers mon jogging, pendant que moi je redescends ma main sur ses seins si fermes, si doux, avec ses tétons tendus en avant comme pour me demander de les embrasser. Je les caresse, lentement, profitant de ce moment si magique, l’embrasse dans le cou, et continue de descendre avec ma main sur une de ses cuisses. Sa peau est si douce, si fraiche, je remonte, passe sous sa jupe pour découvrir que réellement elle ne porte pas de culotte, je sens la chaleur de sa petite chatte avant même de la toucher.Je deviens comme fou, je n’y crois pas, je la prends par la main, l’invite à se lever. Une fois debout, devant moi, je saisis ses hanches, l’attire vers moi pour lui donner quelques baiser sur son ventre, je relève un peu son top et découvre son nombril, ma langue vient s’y caler, jouant un peu tout autour, elle enlève son top pendant que je m’amuse de la sorte puis, saisissant ma tête elle m’invite sur sa poitrine. Un délice, une excitation indescriptible m’envahi encore, et encore, je m’empresse de les caresser, de jouer sur ses deux pointes érigées à mon intention du bout de la langue, je les suce un peu, pendant que son corps semble commencer à danser la valse nuptiale.Soudain, elle me dit « bouffe moi la chatte, on ne me l’a jamais fait, j’en ai trop envie ». Comment lui refuser une telle demande ? Je l’assois sur le bord du bureau, me positionne ne face d’elle sur ma chaise, lui écarte délicatement les jambes, ce qui m’offre la vue de son fruit défendu, sa petite chatte ferme et tendre, plus je lui écarte les jambes, plus sa petit chatte suit le mouvement et s’entrouvre doucement, je vois sur les bords de ses lèvres une comme l’impression d’une larme, elle est mouillée, que dis-je ? Trempée de désir, sa chatte coule littéralement. J’embrasse ses cuisses tout en lui saisissant les fesses pour la ramener vers moi, instinctivement elle pose ses pieds sur mes épaules, comme pour être sûre d’ouvrir suffisamment le chemin qui mène à son petit fruit. Je continue à lui embrasser l’intérieur des cuisses, frôlant son petit minou pour passer d’une à l’autre, chaque passage par-dessus sa petite chatte me fait sentir son désir lorsque, ne pouvant plus se contenir, elle m’attrape par les cheveux et me dirige tout droit vers son petit minou tout écartelé, ma langue ne se fait pas priée, je commence lentement à lécher ses grandes lèvres, puis délicatement avance pour fouiller son fruit, sous la pression de ma langue elle s’écarte complètement, je goute enfin son jus, celui de l’excitation dans laquelle elle se trouve, je fais pénétrer ma langue dans sa chatte, puis remontant un peu, délicatement, je commence à tourner tout autour de son clito en érection.Elle lâche de petits soupir de contentement, son bassin se remue, ma langue titille son clito sans arrêt, ses mains m’attire encore plus fort sur son petit fruit, son basin devient frénétique, bouge de plus en plus, c’est quasiment elle maintenant qui frotte son clito sur ma langue, une de ses mains vient ouvrir encore plus sa petite chatte, son clito est totalement dehors, tendu à fond vers mes caresses, quand soudain, se penchant vers l’arrière, elle lâche un râle de plaisir, son bassin est devenu incontrôlable, ses mouvements sont saccadés, sursautant à chaque passage de ma langue sur ce petit bouton rougit à vif. Quel pied, elle jouit, c’est si bon de la voir se tortiller de plaisir, puis n’en pouvant plus, elle me repousse en arrière comme pour stopper ce feu qui la consume.Dans le fond de mon fauteuil de bureau, je contemple son corps, satisfait de ce plaisir que je viens de lui offrir, elle reste un moment allonger sur le bureau, appréciant à sa valeur la redescente des nuages.Tout en la regardant, je descends mon froc et profite de cet instant pour me caresser la queue, durcie par cet instant magique, j’hésite, que dois je faire ? Dois-je l’entreprendre ? Où tout simplement attendre qu’elle se remette de ses esprits ? Pas besoin de question car d’un bond, elle se relève du bureau, et me chevauche d’une enjambée tel un cowboy qui enfourche son cheval, elle se serre contre moi, mon sexe est tendu vers les cieux tel un pylône n’attendant que la foudre du plaisir, d’un mouvement assuré elle se laisse glisser sur ma queue, et, « aïe » fait-elle, je la regarde ébahi en lui demandant « pardon, je t’ai fait mal ? », « non, mais tu viens de faire de moi une femme » me répondit elle.Je ne peux y croire, elle vient de m’offrir sa virginité, comme un cadeau venu du ciel, et pendant qu’elle entame sa chevauchée, mon esprit est tout enivré de ce présent, mon excitation est telle qu’il ne lui faut pas 5 min pour me faire jouir, que je sens au moment de mon plaisir mon sperme s’envoler au fond de sa chatte si douce, ferme, et délicieuse pendant qu’elle me dit « oui, c’est bon, je sens ton plaisir en moi, je sens ton plaisir s’écouler dans ma chatte, je te sens vivre en moi ».Satisfait, troublé, je ne peux plus réagir, et tout naturellement elle se relève, comme envoutée, aux anges, pour quitter mon bureau en me laissant au passage un petit clin d’œil coquin.

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