samedi 25 septembre 2010

Je n'avais pas prévu ça.

Ce soir là, nous avions fait l’amour langoureusement. Les préliminaires s’étaient délicieusement éternisé et nous avions, c’était le deal, jouis longuement dans un silence religieux. Nous en étions à cet instant de plénitude quand les sens, satisfaits et rompus par la jouissance, nous poussent, singulièrement, à la confidence et nous fait inéluctablement demander à l’autre « Tu m’aimes ? ». Mais ce soir tel n’était pas le cas car ma chère et tendre épouse avait décidé de se rassurer sur un tout autre sujet.- A part moi, me questionna Magalie, je veux dire si nous n’étions pas mariés, avec qui aimerais-tu faire l’amour ?- Tu sais bien que je n’ai envie de faire l’amour qu’avec toi ma puce.Là, je tentais une esquive qui hélas sabrait dans le vide.- D’accord tu es un amour mais tu mettrais qui, disons en deuxième position ? Tu dois bien avoir flashé au moins une fois sur une autre femme. Tu as bien dû un jour, en voyant une belle nana, avoir une idée derrière la tête.Je me demandais comment j’allais me sortir de ce pétrin. Comment je pouvais répondre sans trop de détour à cette question piège. Finalement je choisi d’être honnête avec moi-même et décidais de jouer la carte de la franchise.- Comme ça, à brule pourpoint, je ne sais pas trop. Tu veux dire une people ?- Non, pas obligatoirement quelqu’un de connue, ça peut être tout simplement une femme de notre entourage ou une que l’on croise parfois.- Et toi, quel serait ton choix ? Essaye-je une fois de plus pour tenter de me défiler.- Tu triches. Allez, dit moi en toute franchise avec qui tu te verrais « Baiser » et peut être qu’après je me laisserais moi aussi aller aux confidences.- Bon ok. Alors j’aurais bien tenté le coup avec … heu !Je la faisais prudemment languir, prenant faussement le temps de la réflexion. Si je lui donnais illico un nom elle se dirait surement que j’y avais pensé bien avant sa question, et ça, c’était casse gueule. C’était à coup sur une raison pour la pousser à la jalousie. Je me décidais tout de même à lancer un nom.- Si je devais te tromper, autant que se soit avec Véronique alors.- Véronique ? La brunette qui bosse avec nous ? Celle qui te dévore des yeux quand tu rentres dans notre bureau ? C’est fou ça.- Quoi ? Elle est plutôt jolie et sympa cette fille, qu’est ce que tu lui reproches ?- Non, je ne lui reproche rien, je la trouve en fait carrément canon. Mais c’est quand même incroyable. J’irais jusqu’à dire, très troublant.- Qu’est ce qui est troublant ? Mon choix ? M’étonnais-je.- Oui, c’est étonnant que parmi toutes les femmes qui nous entourent et il y en a quand même pas mal qui sont aussi bien foutues qu’elle, que te choix se porte sur Véro. C’est comme moi.- Quoi, c’est comme moi ? Tu veux dire que tu m’aurais désigné cette fille si je t’avais demandé de m’en choisir une.Sa réponse me scotcha littéralement.- Je veux dire que moi aussi, si l’occasion se présentait, je « Me » choisirais cette fille.- Tu aimerais faire l’amour avec Véronique ? Pas avec un autre homme ?- Un homme, j’en ai déjà un mais avec une femme, oui, j’aimerais bien.La surprise passée, je m’étais laissé aller à des rêveries érotiques où je me voyais entouré et cajolé par ces deux charmantes créatures. De fantasme en fantasme, de confession en confession nous en étions arrivés à élaborer un plan qui nous permettrait d’entrainer la dites Véronique dans nos mutuels aspirations. Je promis à Magalie d’assumer les manœuvres d’approche. Il fut convenu que je me laisserai gentiment draguer par la demoiselle et pour conclure je l’inviterai un soir à la maison en lui laissant clairement entendre que nous serons trois. En espérant que la belle ne s’offusque pas.Non, elle ne c’est pas offusqué. Bien au contraire. Elle c’est même enhardie tout au long de la semaine à lancer des œillades discrètes et sans équivoque à l’encontre de Magalie et avait poussé le dévergondage en l’embrassant à pleine bouche lors d’une rencontre fortuite dans les toilettes du bureau. Magalie était rentrée à la maison complètement chamboulée et c’était, littéralement, jeté sur moi. Nous avions, sans attendre, fait furieusement l’amour sur la table de la salle à manger.Nous nous étions entendus sur ce samedi et il était prévu de passer une soirée gentillette en la débutant par un repas arrosé d’un bon champagne. Quand à la suite… - C’est parfait, avaient ponctué les deux femmes, vivement samedi.- Oui mais, précisa Véronique, je vous préviens j’ai en se domaine des goûts particuliers. Je suis assez dirigiste. Je peux même être assez autoritaire.Une barrière se dressa soudainement entre nous et la brunette.- Tu veux dire, sado maso, le fouet, la fessée et tout ça ? Questionnais-je quelque peu inquiet. Alors là, ça va pas le faire ma chérie, je tiens à te souligner que nous ne recherchons absolument pas à atteindre le plaisir en passant par la case douleur.- Mais non, n’aillez craintes gros froussards quand je dis, des goûts particuliers, je veux dire que je suis adepte de jeux, disons « exotique » et soft comme le bondage mais qu’en plus j’aime diriger les festivités. -- o --Arrivé vers vingt heure, Véronique pris immédiatement l’initiative de diriger la soirée. Quand Magalie s’était approchée d’elle pour lui faire une chaste bise de bienvenue, elle c’était emparée de sa bouche et un long, très long baisé s’en était suivi. J’eus seulement droit à un bisou vertueux puis nous passâmes aussitôt au salon. Après quelques coupes de champagne le diner fut servi et bien vite la main de Véro s’égara sous la table. Celle de Magalie pris aussi tôt le chemin qui la conduisit à l’entre cuisse de sa voisine de table. Les deux femmes me faisaient face et la table en verre me permettait de me régaler du spectacle excitant de leurs caresses. Ma queue se trouva vite à l’étroit dans sa prison de tissus. Comme si elles s’étaient concerté, les deux complices attaquèrent simultanément mon entre jambes de la pointe du pied et je fus gratifié d’un très agréable pétrissage.Fatalement le repas perdit de son intérêt et nous tombâmes vite d’accords sur la nécessité de nous diriger vers le canapé.Chacun se retrouva rapidement nu comme un ver et les mains passèrent bientôt d’un corps à l’autre en des attouchements des plus bisexuels. De cunnilingus en broutage de minou, de branlette en doigté anal nos mains et nos bouches ne restaient jamais au repos. Les divertissements durèrent une bonne heure puis Véro proposa de changer jeux.- Qu’est ce que tu as à nous offrir ma chérie ? Demanda Magalie les yeux encore embrumés par le souvenir de nos caresses.- Vous n’êtes pas tentés par une petite séance de bondage ? J’ai amené tout ce qu’il faut à fin de vous faire découvrir les plaisirs de l’entrave.Nous acceptâmes sous la promesse renouvelée qu’il n’y aurai pas de douleur à la clef. Après avoir récupéré son sac de voyage et s’êtres isolée un moment dans notre chambre, Magalie réapparu vêtue d’un magnifique et troublant ensemble de soie noir composé d’un bustier jarretière et de bas coordonnés. Un charmant slip brésilien en dentelles fines cachait le strict minimum. Elle était superbe, très bandante et nous étions maintenant impatients de nous abandonner à ces caprices. Véronique nous en expliqua succinctement les règles.- Comme j’ai très envie de faire l’amour avec ta jolie femme pendant que tu nous regardes, c’est toi que je vais entraver si tu l’acceptes. Je suis certaine que si je m’équipe de ça, elle exhiba devant nos yeux un gode ceinture noir qu’elle avait sorti de son sac, que tu vas volontiers accepter de te plier au jeu.J’acceptai le deal avec bonne grâce, imaginant déjà le doux spectacle de cette nana, avec qui j’aurais bien volontiers fait l’amour et qui m’offrait de n’être qu’un spectateur, qu’un simple voyeur inactif et contemplatif du baisage de ma femme. Le rêve absolu.Elle me demanda de m’installer à quatre pates sur la robuste table du salon. Je m’exécutai docilement mais trouvais la position quelque peu humiliante. Plongeant à nouveau la main dans son sac Véronique en sorti une très longue corde en coton souple. Le lien fut premièrement attaché aux deux pieds de la table puis noué en collier de chien autour de mon coup. Il m’était donc impossible de me relever. Le mur qui me faisait face était recouvert par une mosaïque de miroir et je ne manquais rien des activités ludiques de notre invitée. L’entrave passa sous mon buste et vint emprisonner, sans serrage excessif, mon service trois pièces. Puis la charmante brunette poursuivi son travail sans prêter la moindre attention à mon début d’érection. M’ayant rapproché l’avant bras droit sur la cuisse droite elle en fit plusieurs fois le tour avec la corde agrémentant le tout d’une multitude de nœuds. Mon bras se trouvait, maintenant, littéralement soudé à ma cuisse. Le lien passa sous la table pour rejoindre ma jambe gauche qui subit les mêmes soins particuliers que sa congénère de droite. La corde fut nouée à mon collier, passa encore une fois sous la table et vint par l’autre côté de nouveau s’attacher au collier. Voila, j’étais maintenant, en de savantes combinaisons, correctement saucissonné. Je faisais, fesses en l’air, partie intégrante de la table. La seule liberté de mouvement qui m’était permise était de poser ma tête au niveau de la table. Mais par le fait je me trouvais encore plus avec le cul en l’air. Je ne voyais pas encore où était le plaisir du bondage mais cela devait venir plus tard.Véro m’abandonna à mon avilissante position et rejoignis Magalie sur le canapé. Elle confia son corps aux caresses de ma chérie et s’ensuit un spectacle des plus bandant. Jugez par vous-même. Après un baisé fougueux à langues que veux tu, les deux coquines en vinrent à tour de rôle à se consumer le clito. Un doigt, puis des doigts, que dis-je une main disparue un temps dans la fente inondée de Magalie qui rendis peu après l’appareil à sa copine. Moi, je ne pouvais faire que deux choses, les mater et bander, et croyez moi je ne m’économisais pas. Véronique s’équipa du gode ceinture et, bite en avant, pris possession de la chatte de son amie. Les jambes nouées autour du coup de sa violeuse, ma chérie recevait avec un plaisir évidente des coups de queue vigoureuse et rapide à la raideur toute artificielle mais qui lui arracha de puissants cris de jouissance. La violence de leur action les épuisa un moment et elle s’écroulèrent l’une contre l’autre le temps de la récupération.- Tu as aimé mon chéri ? Me demanda Magalie entre deux respirations. Tu as apprécié de me voir faire l’amour avec une femme ? - Oh oui mon amour, c’était un spectacle enchanteur. Mais ne vous arrêtez pas en si bon chemin mes friponnes, et si à ton tour tu t’équipais de la ceinture.La chose fut entendue et Magalie se trouva très vite doté de la rude bitte à l’érection infatigable. Voir ma tendre épouse en possession d’un tel engin me troubla considérablement. Véronique se pencha à l’oreille du nouvel étalon qu’était devenu ma femme et s’en suit une messe basse qui fit sourire les deux femelles. Elles jetaient sur moi des regards furtifs et pouffaient, l’œil lubrique.- Quoi ? Pourquoi se conciliabule ? Qu’est ce que vous mijotez toute les deux? - Et bien, m’expliqua Véro le sourire aux lèvres et l’œil vicelard, on se disait avec ta chérie, étend donnée ta condition de soumis et surtout l’impossibilité que tu as de t’y soustraire, que tu pourrais être l’heureux bénéficiaire des bienfaits de cette providentielle queue.- Tu veux dire que tu as envie de me sodo. M’inquiétais-je au près de Magalie.- Oui, c’est Véro qui me l’a suggéré mais je t’avoue qu’elle a dû lire dans mes pensées car lorsqu’elle m’a harnaché j’ai tout de suite ressentis le désir de te posséder. Si tu es consentant, bien sur. Qu’en dis-tu ? Je suis certaine que tu vas adorer ça. Mon petit doigt, qui c’est d’ailleurs souvent égaré dans ce secteur, me dit que tu es séduit par notre proposition. Non ? J’ai tord ?- Faut voir. Répondais-je dubitatif.- C’est tout vu, ordonna Véro. Allez ma chérie, fait selon tes désirs, n’attends plus et baise se monsieur.La meneuse de la soirée puisa à nouveau dans son sac et en sorti un « Mord à balle », vous savez cette balle de caoutchouc que l’on place dans la bouche de la ou du partenaire, en l’occurrence moi, et qui l’empêche de se plaindre inutilement. J’en fus autoritairement équipé, puis elle s’accroupit à mon coté et sa main se referma sur mon sexe. Quand à Magalie, elle entreprit de m’enduire généreusement la raie de gel. L’intérieur de mon petit trou ne fut pas oublié car un doigt bien apprêté de lubrifiant pénétra bientôt mon séant. Surpris mais ravis par cette intrusion je gratifiais l’assemblée d’un grognement jouissif qui donna le départ à un rapide doigté. Véro s’activa sur ma queue qui me sembla devenir aussi dure que l’ébène. De son autre main elle tirait, assez fermement mais sans provoquer de douleur, sur le lien qui emprisonnait mes couilles. Super, s’était tout bonnement super bandant. Encouragée par ma branleuse, Magalie pointa le gode contre mon petit trou. J’eu un moment de panique. Et si mon anus faisait de la résistance, s’il refusait d’autoriser cet épieu de latex à le pénétrer. Si j’avais horriblement mal. Peine perdue autodéfense inutile car l’engin, poussé par ma chérie qui s’était solidement agrippé à mes hanches, fit son bonhomme de chemin dans mes entrailles. Je vociférais à cause de ma muselière des mots incompréhensibles, des grognements de lamentations venus du fond de ma gorge, ma tête s’agitait de gauche à droite, de droite à gauche.- Ca te fait trop mal mon chérie tu veux que j’arrête ? Me demanda Magalie, inquiétée par mes jérémiades.Oui, ça me fait mal, mon cul se dilate comme un malade et ça me fait mal mais non, non et non je ne veux pas qu’elle arrête. Je lui fais savoir en agitant de plus belle ma tête de gauche et de droite en donnant du « ...on ...on ! ». Le message fut quand même reçu cinq sur cinq car Magalie, excitée par mes encouragements, se mis à me pilonner le cul avec l’ambition évidente de nous faire jouir tous les deux. Véro, qui n’était, comme on peut s’en douter, nullement novice en la matière, lui conseilla de ralentir la cadence.- Doucement petite dévergondée d’amour, tu vas le faire jouir trop rapidement ton mec. Laisse-le un peu profiter de ton labeur mais fait lui tout de même comprendre que pour l’instant l’homme c’est toi. Que tu as entre tes jambes l’outil qui risque de lui faire demander grâce et qu’il n’est rien d’autre que ta chose, ton jouet, ta femme, ta femelle. C’est toi qui décide l’instant où vous allez jouir, pas lui. Vrais que tu es une femelle, Me gueulât-elle à l’oreille. Tu aimes que l’on te baise, hein ?Afin de m’en convaincre plus rapidement elle tira rudement sur la corde qui enserrait mes couilles et ma queue. Aïe, c’est bon.Dans le miroir je voyais le visage de Magalie se transformer sous l’effet de l’excitation. La tête en arrière, les yeux mi-clos, la bouche grande ouverte elle se pâmait littéralement. Suivant les conseilles de notre copine de jeux elle avait adopté un rythme lent mais à chaque pénétration, elle introduisait le gode au plus profond de mon cul. J’en avais à chaque fois le souffle coupé. Bien plantée jusqu’à la garde elle s’immobilisa un instant puis je vis son reflet se balancer. Elle se frottait, s’agaçait, s’excitait le clitoris contre la base du gode en laissant échapper de sa gorge un souffle saccadé de volupté. Ses mouvements désordonnés procuraient à « sa bite » comme une rotation à l’intérieur de mon cul. Merveilleux, s’était vraiment merveilleux. Mais pourquoi ne m’étais-je pas fais baiser avant ? Il est vrai que le désir m’en était venu parfois mais j’imaginais plutôt faire ça avec un homme. Bien que Magalie parvienne assez bien à me donner du plaisir avec sa bite de plastique, j’étais persuadé qu’un sexe de mec devait être plus agréable et bien moins dur.Assis sur mon petit nuage de bien-être, plongé dans la volupté, je fermais les yeux et savourais le doux baisage de ma chérie. Ca jouissance explosa soudainement. Ses ongles pénétrèrent la chaire de mes hanches et elle me pilonna à nouveau le cul. Pénétrations rapides, puissante, profondes, sans ménagement. Elle m’attirait à elle en donnant de la voix, en gueulant des « Oui, oui ! » tonitruants. Mes grognements l’accompagnaient dans sa jouissance. Le cul me chauffait, me brulait mais j’acceptais les coups de buttoirs avec bienveillance. J’en redemandais, j’en voulais encore plus. Quand à Véronique, elle s’acharnait, sur ma queue, me branlait en serrant ma bite avec une force inouïe, tirait sur le lien qui enserrait mes couilles, me faisait mal, me faisait du bien. Magalie jouit en poussant des cris d’hystérique, violement. Elle s’agitait dans tous les sens ce qui avait pour conséquence, et j’étais demandeur, de me dilater encore plus la pastille. Au moment même où j’explosais de plaisir, au moment même où je lui inondais la main d’un jet puissant de foutre, Véro abandonna mes couilles, dégrafa le « Mord à balle » qui obturait ma bouche et bien avant que je puisse hurler mon premier cris intelligible elle me gratifia d’une série cinglantes de claques sur les fesses qui, pour mon plus grand plaisir, décuplèrent la puissance de ma jouissance.Essoufflé, épuisé, repu et comblé par tant de bonheur je m’écroulais, autant que mes entraves le permettaient, sur la table du salon. Avec étonnement je vis « ma » Magalie pousser assez autoritairement son amie sur le canapé, s’agenouiller entre ses cuisses, s’enserrer la taille avec les jambes de la donzelle et avec une ardeur de diablesse lui planter son infatigable queue dans la fente. Véronique poussa un cri mêlé de plaisir et de douleur. Elle se redressa en partie, plaqua ses lèvres sur celles de son amante mais se mit aussitôt à hurler tant ma surprenante épouse lui criblait la chatte avec son infatigable bite. Véro battait l’air avec ses bras et Magalie, folle furieuse, plantait ses ongles dans les flans de celle qu’elle baisait. Les deux femmes explosèrent simultanément en un feu d’artifice de cris, de griffes et de vulgarités inspirées par celle que l’on appelle communément « la petite mort ». Il me fallut attendre encore une bonne vingtaine de minutes, le temps que mes deux comparses récupèrent leur souffle, avant d’être libéré de mes liens. Le spectacle de leurs amours lesbiens m’avait carrément régénéré et j’eu droit pour ma peine à une fellation collective où mes deux servantes s’appliquèrent à me faire cracher une dernière salve de foutre. Normalement, on devrait se revoir.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire