jeudi 28 octobre 2010

Une Femme violée et torturée par son agresseur...

Une femme qui rêve de viol et de torture, m'a demandée de lui écrire un scénario pour son plaisir et le vôtre en voici une partie, pour vous donner envie de lire la suite.

Un homme de 47 ans, en cavale recherché par la Police cherche une maison isolée pour se cacher et passer la nuit, il est 22h30, il se dirige dans la nuit et voit de la lumiére chez toi, discrétement il observe par une fenêtre pour voir si tu es seule, à l'extérieur tout est calme et sombre, il voit une baie légérement ouverte, il fait chaud! c'est l'été et le volet de ta chambre n'est pas encore fermé, aprés avoir vérifié que tu es seule assise devant la télé, il se glisse à l'intérieur sans faire de bruit, avec le son de la télévision qui couvre les bruits de ses pas, il se cache derriére une porte, et quand tu te léve pour aller dans la salle de bain, il se jette sur toi par derriére, te prend dans ses bras virils, et pose une main sur ta bouche brutallement...
-Si tu crie je te tue, t'a bien compris!! tu vas faire tout ce que je vais te dire salope, écoute bien je ne te le dirait pas deux fois. (habillée en jeans avec un chemisier clair avec un foulard)
-Répond moi avec la tête Ok! tu attends du monde ce soir?
-Non! en faisant un signe de la tête
-Tu vis seule ici?
-Oui, en te débattant un peut pour fuir vers la salle de bain. -Je t'ai dit de ne pas bouger salope, avec une violante giffle sur le visage, tu tombe par terre et te donne un coup de pied dans les fesses, et si tu gueule je te tue avec mon couteau comme une chienne, en arrachant le fil de téléphone dans l'entrée, passe le fil autour du coup et sur les poignées dans le dos, en te tirant par les cheuveux jusqu'au lit dans ta chambre, prend un mouchoir et te force à ouvrir la bouche et te bayonne avec le foulard, allongée sur le lit tu n'ose plus bouger...
-Voilà c'est mieux tu ne bouge pas Ok! j'ai beusoin d'une voiture tu en a une?
-Un signe de tête pour dire oui.
-Je vais manger et dormir ici, je partirai demain avec du fric, tu as du fric chez toi?
-Un signe de tête pour dire non.
-Il me faut du fric, ta une carte?
-Un signe de tête pour dire non.
-Je vais enlever le bayon, et tu vas parler, si tu gueule je te coupe une main t'a compris?
-Oui Monsieur, mais ne me faite pas de mal s'il vous plais... -Vas y parle salope! ou est ta carte bleue, assis sur ton ventre.. -J'en ai pas! Monsieur.
-Menteuse! je suis sur que t'a du fric caché quelque par...
-Je n'ai rien, c'est vrais!! peut être 10 euro dans mon sac, je vous en prie!! partez et je ne dirais rien je vous promet. -Aaah! c'est comme ça, il se reléve et se jette sur ton jeans en arrachant les boutons, et le retir avec le petit string jusqu'au chevilles et le jette par terre, et avec le reste du fil de téléphone, il ligature tes chevilles de chaques côté du lit, allongé sur toi, il détache tes poignées déjà rouge, pour les fixer solidement à la tête du lit, attachée en croix sur le dos les cuisses ouvertes, sans pouvoir crier par la peur, il te bayonne quand même avec le foulard, en disant tu peux gueuler maintenant et quand j'en aurai fini avec toi tu vas parler tu vas voir... assis sur ton ventre, il pose ses mains sur tes seins et ouvre ton chemisier en arrachant tous les boutons, passe son couteau entre tes seins et coupe d'un coup sec ton soutien gorges, passe encore sa lame froide sur les pointes, qui se dresse aussitôt, pose le couteau sur le lit et commence à maltraiter les bouts avec ses doigts, en tirant fort dessus, un cris de douleur dissimulé avec le bayon sort de ta bouche, une autre giffle sur la joue.
-Je t'ai dit de fermer ta gueule salope, tu sais ça fait deux mois que je n'ai pas baisait une pute, dit il en tirant sur tes mamelons bien irrités...
Meummmeuemmmeummm!!! -On dirait que tu commence à aimer ça! hein! tu m'excite de trop je vais te baiser, en sortant sa queue épaisse et déjà bien raide, regarde ma queue! tu vas voir, tu vas aimer ça. en retirant son pantalon, il enléve aussi sa cienture en cuir, pliée en double dans sa main droite et commence à frapper tes seins, et aussi sur le ventre plusieur coups assez violant, et surtout cinq coups sur ta chatte bien ouverte, en laissant des marques entre les cuisses et autour du clitoris bien dilaté par les coups, et devient trés sensible au toucher, d'un seul coup de rein son pieux pénétre tes petites lévres qui s'ouvre difficilement, mais avec ses mains autour de ton coup, il force sur ses bras et donne un deuxiéme coup de rein et rentre violament jusqu'au fond.
-Ahhh! Ahhh! c'est bon de baiser une salope étroite qui mouille, Ahhh!!! ça faisait longtemps, aprés quelques va et viens trés fort ...Ohh! je vaiiis jouuiiiiir ...Ohh! putain c'est bon!
-Tu sais ce que j'aime aussi quand j'ai joui avec une pute, c'est une petite clope! Humm! si tu ne gueule pas comme une truie, je te retir ton truc.
-Oh! Ahhh! merci je ne peux pas respirer avec ça.. d'une petite voix, et avec le bout rouge de la cigarette à quelques milimêtres du visage et qui descend le long du coup.
-C'était bon hein! ça t'a plus quand j'ai joui dans ta chatte. -Heuuu! Heuuu!
-Bon maintenant tu vas me dire ou est le poignon ma belle, avec sa grosse queue encore dans le fond de ta chatte, et avec la cendre rouge il passe au dessus des seins en faisant le tour de la pointe, et appui doucement sur la pointe qui noircis avec la cendre...
-Ahhhh! Ahhhh! Ohhh! Aie! Ahhhhhhhhh! Oh! Ouiiiiiiiiiiii! Humm! ; la pore de la chambre s'ouvre un homme en costume entre dans la piéce....
-Alors Chérie tu as joui? il est super Franck pour les scénarios -Ouiii Mon Amour j'ai joui trés fort, mais il a oublier de m'enculer et tu sais comment j'aime ça..
-Ce n'est pas grave je vais m'en occuper de ton cul, tu m'a excité avec tes cris tu sais Chérie..
-Oh! Oui! tous les deux en même temps...
-Alors Franck, c'était une bonne idée le coup du téléphone, mais maintenant il faut que tu me répare ça rappidement, tu reste dormir ici et on verra ça demain ensemble, oui Franck c'est notre contact au bureau de france Télécom, et j'ai voulu te faire plaisir en te faisant une surprise, toi qui rêve de te faire violer et torturer avec un homme brutal....

Premiére partie JP

mardi 26 octobre 2010

Chantage ou complicité?

Je t’ai donné rendez-vous au cinéma, pendant un instant tu as espérée qu’il s’agisse d’un cinéma avec beaucoup de monde, un lieu où rien ne pourrais arriver. Mais évidemment, il s’agit d’un petit cinéma près des jardins du Luxembourg.
Tu as reçu le titre du film et tu es censée aller t’installer au dernier rang. Les autres instructions ne laissent aucun doute sur mes intentions. Une jupe courte, pas de culotte, une chemise et juste un petit gilet si vraiment il fait froid.
Arrivée au cinéma un peu avant la séance, tu entre dans ce lieu inconnu. Il y a encore une petite file d’attente qui mène à la cabine de la caissière, une petite femme âgée qui semble aigrie alors qu’elle explique au couple devant elle d’une voix ferme et énervée que non, elle ne prend pas les chèques.
Je ne suis pas là. Ou en tout cas, tu ne me vois pas. Peux être que je ne viendrais pas, que je te laisserais là, tu espères tant que je te laisserais tranquille. Tu veux y croire même si tu sais que ça ne sera pas le cas. Tu sais à quel point j’aime profiter de toi, faire de toi ma chose. Tu n’oses imaginer à quel point l’obscurité et le risque de se faire surprendre va m’exciter.
La caissière te ramène sur terre alors qu’elle te demande quel film tu viens voir. Tu prends ton ticket et au regard qu’elle te jette tu es convaincue qu’elle sait pourquoi tu es là, que pour cela tu la dégoutte. Tu baisses les yeux et tu montes rapidement vers la salle.
Celle-ci est basse de plafond, courte en profondeur. Les rangées de fauteuils étroites. Il y a déjà quelques personnes en train de s’installer. Cela te rassure un peu, peut-être qu’il y aura malgré tout trop de monde. Mais alors que tu avances pour t’asseoir, tu remarques un recoin de la salle non visible depuis l’entré dans lequel il y a encore quelques sièges. Voir l’écran depuis cet endroit ne dois pas être des plus confortable, personne n’ira s’y mettre sans y être obligé, personne ne viendra te sauver là-bas.
Les lumières baissent légèrement alors que les publicités démarrent, il n’y a plus de mouvement dans la salle, juste quelques couples qui chuchotent encore. C’est alors qu’une ombre passe devant, tu me reconnais et tu frémis quand que je pose mon regard sur toi. Ce tendre sourire que je t’adresse te ferait presque oublier ce que je te fais subir à chacune de nos rencontres. Tu esquisse un début de sourire en réponse car tu sais que je n’aime pas quand tu fais la tête. Tu réponds également à mon baiser alors que sans avoir même enlevé mon manteau ma main saisie ton sein gauche.
« Hum, pas de soutien-gorge, ça n’était pas demandé ça, j’apprécie l’attention ».
Je m’installe en faisant la conversation, est-ce que tu as trouvé la salle facilement ? Comment était ta journée ? Pas trop fatiguée ? Et sur le même ton de conversation « Relève donc ta jupe que je puisse vérifier que tu n’as pas mis de culotte non plus ». Tu m’adresse un regard suppliant alors que tu remontes doucement ta jupe. La douceur du fauteuil sur tes fesses te donne une étrange sensation. Mon regard s’attarde quelques instants sur ton sexe, je souris et continue ma discussion. Tu as déjà entendu parler de ce film ? La critique n’est pas mauvaise. Je continue comme ça jusqu’à l’extinction des lumières.
Le film commence, ton stress diminue au fur et à mesure que l’histoire commence et que je ne te fais rien, je semble apprécier le film. Tu te laisses alors aller et tu commences à entrer dans l’histoire. Mais alors que tu allais oublier ma présence, une main absolument glacée se pose sur ton sexe, tu as faillis crier sous la surprise.
Je t’avertis « Attention, tu vas réveiller toute la salle »
« Mais ! Ta main est gelée » me réponds-tu d’une petite voix.
« Je n’ai pas le choix alors, je dois t’empêcher de faire trop de bruit » C’est ma justification pour plaquer alors ma bouche sur la tienne. Ma langue caresse doucement la tienne au rythme de ma main qui te caresse. Tu serres un peu les cuisses, espérant ainsi réchauffer un peu ma main. Mon index titille lentement ton clitoris pendant que mon majeur joue avec tes lèvres. Alors que ma main se réchauffe, tu te laisses lentement aller à ces stimulis. Tu es d’autant plus étonnée quand je relève subitement ma tête et que tu devines mon regard surpris dans l’obscurité.
« Est-ce que l’on serais en train d’apprécier la situation ? » C’est à cette question que tu remarques enfin ta main en train de caresser mon sexe. Réalisant ce que tu fais, tu replis rapidement les bras. « Mais continus donc ce que tu faisais, tiens je vais t’aider un peu » dis-je en libérant mon sexe. Encore sous le choc de ce que tu t’es laissé faire, tu te mets alors à me branler doucement.
Pour ma part après avoir ouvert ta chemise je mets quelques doigts dans ta bouche pour que tu puisses les mouiller, une fois cela fait, je peux alors commencer à rentrer lentement un doigt dans ton sexe, l’humidité déjà présente me fait rapidement entrer un deuxième doigt et je commence alors de doux va et vient tout en léchant ta poitrine.
Au moment où tu recommences à gémir, ma bouche revient une nouvelle fois étouffer les bruits à la source. Mais cette fois ma langue se fait plus énergique, plus vivante, tu y réponds avec autant d’entrain alors que ta main se fait également plus vive. La pression se fait de plus en plus forte et tu tentes de retenir tes cris alors que tu te mets à jouir.
« Sais-tu à quel point tu es belle quand tu jouis ? » Tu ne sais que répondre alors que tu es surtout à regarder autour voir si quelqu’un à réagis à tes gémissements. « Je veux te gouter » je me penche alors et commence à lécher ton sexe complétement trempée, j’aspire ton jus, ma langue s’enfonce autant qu’elle le peut entre tes lèvres. Je fais des allers retours entre elles et ton clitoris. Très rapidement tu relèves ton bassin afin de me faciliter la tâche, tu ne demandes que ça, tu te laisses totalement aller, la seule chose sur laquelle tu cherches à garder un minimum de contrôle, ce sont tes grognements de plaisirs.
Une de mes mains commence à te caresser les seins, alors que l’autre profite de ta nouvelle position pour s’amuser avec ta petite rondelle. Tu n’aimes pas, mais tu es trop partie déjà pour oser me demander d’arrêter. Tu ne résiste pourtant pas très longtemps à ce traitement et à nouveau tu jouis, mais sans mes lèvres pour étouffer tes cris je suis obligé de mettre ma main devant ta bouche.
Je me redresse et alors même que tu cherches encore à reprendre ton souffle, je te prend par le cou et t’amène violemment sur mon sexe parfaitement rigide d’excitation. Tu commences alors une profonde fellation que j’accentue au grès de mes pressions sur ta tête. A l’occasion je te laisse respirer pour mieux te faire me lécher les couilles pendant que tu continues à me masturber. Il te faudra ce qui te semble être une éternité pour parvenir à me faire venir. « Tu ne laisses pas une seule goutte t’échapper tu m’entends ? » sont les derniers sons qui sortent de ma bouche avant que de longs flots de sperme soient projetés au fond de ta gorge.
Tu continues tout du long à me sucer, même après mon éjaculation, tu sens que mon sexe est atrocement sensible et que je cherche à m’échapper de ta bouche, mais tu me maintiens ainsi encore quelques minutes. Lorsque finalement tu te redresses, je remonte aussitôt mon pantalon, pourtant lorsque de ton côté tu cherches à rabaisser ta jupe je t’arrête rapidement. Sans un mot nous finissons de regarder le film avec une main qui caresse doucement tes cuisses.
Alors que les lumières se rallument, je t’embrasse tendrement. « Tu étais parfaite mon ange ».

vendredi 22 octobre 2010

Un petit jeu bandant ..

L'été passée une amie que je connais depuis peu m'a
invitée à passer le week-end au chalet d'un de ses amis.
C'est un endroit tranquille,au bord d'un lac perdu dans les bois loin de tout.Nous sommes six.Ma nouvelle
amie et quatre de ses copains.


Arrivé tôt le matin nous profitons pleinement de cette chaude journée.Le soir nous faisons la fête dehors près d'un feu de camp et l'alcool aidant nous faisons un peu les idiots.Un des gars propose un jeu.Une personne se fait bander les yeux et doit se laisser guider par les autres et faire tout ce qu'ils disent.


Je suis la première victime.On rigole bien car ils me font
faire des idioties pas possible.Je dois maintenant
m'assoire en califourchon sur un banc.Je me demande bien ce qu'ils vont encore inventé quand un des gars s'assoit derrière moi et me dit que je ne dois pas bouger.Il commence à me caresser.J'essaye de me relever mais il me retient et me rappelle que c'est le jeu et que je
dois le jouer jusqu'au bout.Je panique un peu mais je constate que je n'ai pas le choix lorsque je sens des mains sur mes cuisses.



Celui derrière moi me caresse,ses mains fouineuse sous
mon chandail ne se gêne pas pour explorer mes rondeurs.Il m'enlève mon chandail et descend mon soutien-gorge sous mes seins.Collé contre mon dos,je sens son érection à travers son short et son souffle d'excitation dans mon cou.



Pendant ce temps,les mains contre mes cuisses ont relevé
ma petite jupe et,m'écartant les jambes pour aller explorer.Écartant ma petite culotte,une langue y commence
une exploration plus appronfondie.



La situation,à ma grande surprise,m'excite.De petits
gémissements de plaisir m'échappent,ce qui attise la flamme d'excitation de mes bourreaux.Je me retrouve vite couché sur le banc,pratiquement nue exposé aux regards
de ces cinq pairs de yeux.



Je sens sûr moi des mains qui me caresse,me pelotte les seins faisant durcir mes mamelons.Des membres durcit par l'excitation se promenant sur moi pendant qu'un autre toute aussi dur se frait un passage entre mes lèvres pour s'enfoncer dans ma bouche.Ces caresses multiples m'excitent
comme jamais et je prends plaisir à déguster la bite énorme
que j'ai dans la bouche.



Je sens soudain contre ma chatte humide d'excitation un sein.Je me rends soudain compte que c'est ma copine qui me dégustais l'entre-jambe.Surprise j'arrête la délicieuse fellation que je suis en train de faire.On me rappelle à l'ordre en me l'enfoncant un peu plus profondément dans la bouche.



La surprise passée la situation m'excite encore plus et je reprend de plus belle cette délicieuse fellation.Je les entends changer de place,une nouvelle bouche se retrouve entre mes cuisses,suçant et mordillant mon clitoris en m'enfoncant les doigts dans la chatte on m'excite à fond.



On enlève mon bandeau,je vois ma copine nue au dessus de
moi en califourchon.Elle me dit de lui manger la chatte.
Je regarde un peu autour de moi.Je vois la tête du gars entre mes cuisses qui me regarde,il y a deux gars de chaque côté ,nus.Ils nous caressent ma copine et moi.

Ma copine au-dessus de moi se penche vers l'avant et commence à suçer le dernier en me redisant de lui bouffer la chatte.



Cette vision est hyper excitante.Je lui fait plaisir et
commence à m'occuper de sa petite chatte.M'écartant un peu plus les jambes,le gars à l'autre bout me pénètre en douceur,enfonçant entièrement son membre gonflé à bloc.

Il commence un va et viens des plus exquis,accélérant
l'allure rapidement,me pénétrant de plus en plus fort se qui m'excite au max.Je lèche ma copine avec ardeur, jouant avec son clitoris et la masturbant pour l'amener au bord de la jouissance.



Les gars sont aussi au comble de l'excitation,ils jouissent pratiquement en même temps.Un m'inonde la chatte de sa semence,les deux autres m'aspergent le ventre et les seins de leur sperme chaud et le dernier jouit dans la bouche de ma copine.Ce flot de jouissance m'achève et je jouis à mon tour.



Je n'avais jamais éprouvé une telle jouissance et une telle excitation.Je n'ai jamais regretté ce week-end
rempli de nouvelles expérience plus délicieuse les unes
que les autres. avons remis ça tout au long du week-end,
ce fût hummm..... délicieux.

jeudi 21 octobre 2010

1ere experience bi

Après avoir déposé mes bagages dans la chambre et pris une bonne douche, je me decidai de faire une petite ballade en ville. Après une demi heure, la chaleur faisant, je m'assis à la terrasse d'un café pour siroter une bonne bière. A la table d'à côté, se trouvait un couple, la 50ène, occupé à discuter. Après un certain temps, je m'aperçus que ces personnes étaient du coin. Dès lors, je les abordai, en leur précisant que j'étais de passage et que j'aimerais qu'ils me fassent visiter la ville, s'en abuser de leur temps. Ils acceptèrent et nous voilà, tous les trois en train de faire du tourisme.
En fin d'après-midi, je demandais a Isabelle et Marc s'il connaissait un bon restaurant pour le soir. Marc me proposa alors de venir diner chez eux car sa femme était une fine cuisinière et que je me régalerais beaucoup mieux qu'au restaurant. Marc, voyant mon hésitation, me dit que je ne dérangeais absolument pas et que ça leur feraient un immense plaisir de me recevoir. Je retournai donc à l'hôtel pour me changer, avec en poche leur adresse.

Vers 20hOO, j'arrive chez eux, avec en main, un bouquet de fleurs et fut reçu par Isabelle, habillée d'une robe arrivant à hauteur des genoux, bas noirs et talons hauts. Elle me fit entrer dans le salon et me dit de me mettre à l'aise, que Marc finissait de se préparer, et qu'elle retournait dans sa cuisine pour surveiller la cuisson.

L'apéro se déroula normalement ainsi que le repas, succulent d'ailleurs. Marc me proposa d'aller de nouveau au salon pour prendre le digestif tandis qu'Isabelle mit une musique douce. L'alcool aidant, je me sentais de plus en plus a mon aise, c'est alors qu'Isabelle m'invita en danser un slow.

Pendant que l'on dansait, Isabelle se colla à moi et je sentis ces hanches se frotter contre les miennes. Cela me fit avoir une érection et bien sur, Marc, assis dans le fauteuil, ne manqua pas de le remarquer.

Le slow terminer, Isabelle m'invita à m'asseoir à côté d'elle, dans le divan. Elle commença alors à me caresser le haut de la cuisse et mis sa main sur mon sexe en érection.

Sentant une gêne de ma part, Marc me dit qu'il aimait voir sa femme faire l'amour avec un autre homme et que cela l'excitait.

Isabelle entreprit de me déshabiller totalement et se mit à me pomper le gland tout en me massant les boules et en me titillant la rondelle. chosse que j'apprécie fortement quand une femme me fait une fellation.

De mon coté, je me mis à déboutonner la robe et découvris qu'Isabelle ne partait sous sa robe qu'un porte-jarretelle. Elle avait des seins fermes et son entre-jambes était dépourvu de poil. Mes mains commencèrent à descendre sur sa poitrine, où les tétons se dressaient fièrement, et continuèrent l'exploration jusqu'à son sexe épilé. J'y decouvris un clitoris tout en érection et surtout qu'elle mouillait énormément. Marc, pendant ce temps, s'était dévétu et se carressait le sexe tout en nous regardant.

Isabelle m'invita alors, après s'être couchée sur le divan à l'honorer avec ma langue. Je commencai donc par lui lécher le clitoris qui se dressait devant ma bouche puis me mis à lui passer la langue dans sa vulve toute mouillée.

Aprés quelques minutes, Isabelle me prit par les épaules et me fit remonter vers elle pour me permettre de la pénétrer, chose qui fut facile tant elle était dans un état d'excitation. Elle m'entoura les hanches avec ses jambes pour me donner la cadence du va et vient car elle ne voulait pas jouir trop vite et profiter de ma queue au maximum.

C'est alors que je sentis deux mains commencer à me carresser les fesses et des doigts me toucher les testicules et la rondelle. Marc me demanda si cela me dérangeait car il avait remarquer que j'appreciais quand sa femme me le faisait. Je lui répondis que je n'avais jamais eu d'expérience de ce type et que cela m'excitais de me faire caresser pendant que je pénètre son épouse.

Isabelle, pendant ce temps, me donnait toujours le tempo du va et vient.

Marc continuait à me titiller la rondelle et commença à introduire un puis deux doigts dans mon anus. Je sentais une excitation nouvelle monté en moi et invitais Marc à continuer ce qu'il était en train de faire. Après m'avoir bien dilater la rondelle, Marc se mit derrière moi et commença à me pénétrer avec son sexe. Je voulu me relever mais Isabelle m'en empécha avec ses jambes et en profita pour m'embrasser. De part cela, je n'avais plus qu'à accepter cette situation.

Marc commença son va et vient et m'obligeait à aller au plus profond du sexe d'Isabelle. Je sentais une chaleur prendre possession de mon corps et je savais que je n'allais pas attendre longtemps avant de jouir. Isabelle l'avait remarquer et m'invita à jouir en même temps qu'elle. Isabelle se mit à crier et à se trémousser. Elle jouissait ce qui me fit partir au septième ciel et j'envoyai ma semence dans le corps de ma partenaire. Je n'avais jamais connu une telle extase.

Marc se retira de moi et vint mettre son sexe devant nos deux bouches. Isabelle me demanda de le sucer en même temps qu'elle. Elle me montra comment faire car je n'y connaissais rien de la fellation. on se mit à passer nos langues sur le gland de Marc et à mettre son sexe à tour de role dans nos bouches. Je voyais Marc commencer à ahaner de plus en plus et je savais qu'il n'allait pas tarder à jouir. Par contre, je ne m'attendais pas à ce qu'il décharge sa semence au moment que c'était mon tour de le gober. Je sentis un jet chaud m'arriver dans le fond de la bouche.

Isabelle me demanda de ne pas avaler car elle voulait profiter aussi du jus de son mari. Je l'embrassai avec passion et nous nous sommes partagés celui-ci.

Après m'être remis de mes émotions, j'expliquais à mes hôtes que c'était ma première expériences bi et que j'avais apprécié cela. Isabelle en fut contente et recommença à me caresser.

Bip.bip.bip.bip

et merde, il est temps de se lever pour aller travailler et je m'aperçus que j'étais dans un état d'excitation extrême. Dommage que ce n'était qu'un reve et qu'il serait agréable de vivre cette expérience en réalité.

dimanche 10 octobre 2010

une assurance bien placée!

Lundi dernier, ma femme etait partie pour la journée avec une amie. Elle avait a peine fermé la porte que je me suis précipité pour enfiler mon porte jarretelles favoris, le noir et rose, et le string et soutien gorge assortis, le tout recouvert d'une petite robe bleue ciel agrementée d'escarpins a talon.


vêtu de la sorte, je surfait sur jalf, cherchant les videos, les histoires et tout ce qui pouvait augmenter mon excitation deja grande!


Vers 11h30 l'interphone sonne, c'etait un agent d'assurance avec qui j'avais rdv et que j'avais completement oublié.


je lui ouvre et le temps qu'il prenne l'ascenceur jusqu'au 5ieme etage je cours dans ma salle de bain, enleve les escarpins, la robe et enfile un grand peignoir de bain, juste a temps pour lui ouvrir la porte.


je m'excuse de le recevoir dans cette tenue et le précède dans mon bureau en priant pour qu'il ne remarque pas mes jambes gainées de bas noirs , ou qu'il pense que se sont des chaussettes fines.
Mais j'ai oublié mon ordinateur!!!JALF en grand écran.!!
Il s'approche de l'ecran en me disant:"avant de parler assurance, faisons plus ample connaissance".Nous voila cote a cote a regarder l'ecran.
De la main droite il prend la souris et met ce que j'etais entrain de regarder avant son arrivée: ma video favorite ou l'on voit un europeen se faire enculer par un beau braquemart noir.
Je suis tout géner et en même temps exciter, je sens alors sa main gauche qui ecarte les pans de mon peignoir et caresse ma cuisse dans son bas noir. Il remonte tout doucement jusqu'a la ja rretelle a l'endroit ou la peau est nu, s'arrete tout en continuant a caresser, puis reprend sa progression vers le haut.

Ma queue est raide, la gêne est maintenant partie seul reste l'envie de cet homme, pas tres grand mais bien bati.
Il se tourne vers moi me prend dans les bras et me roule une pelle profonde, humide et longue, sa grosse langue fouillant ma bouche. Il me repousse vers le sofa sur lequel je m'assoie, enleve sa veste et chemise, pendant que je defait sa ceinture baisse son pantalon et caleçon, caresse sa bite pas tres longue mais large. je le branle delicatement, il m'attrape par les cheveux et me la fourre dans la bouche."Suces, je suis sur que tu aimes ça, hein ma salope, parceque tu es une salope, n'est-ce? une poufiasse qui aime se faire baiser. fais moi bien raide et ton cul n'en reviendra pas tellement je peux tenir longtemps" me dit-il. Je suce sa bite, la bouche grande ouverte tellement elle est grosse, c'est un delice. Deja je la ressort pour lui confirmer combien j'aime ça. "T'arrêtes pas dit-il en me l'enfornant de nouveau et me giflant pour m'être interrompu. C'est pas le premiére hein? je fais non de la tête.
Il me malaxe les seins a travers le petit soutien gorge.
"Viens je vais t'enculer comme une belle vicieuse que tu es".
je sors du gel d'un tiroir et remet sur ses ordres mes escarpins, il me fait mettre a 4 pattes sur le sofa, me dit d'ecarter les fesses avec mes mains pour bien degager mon petit trou, enfonce 1,2 ou 3 doigts plein de gel, a ce stade je ne sais plus, je suis tellement demandant, je le dis , le pleure, le quemande, puis il m'enfonce son pieux dans le cul. Il est tellement large que j'ai mal, mais bien vite la douleur fait place au plaisir. Il me prend par les hanches et pompe mon cul, je cri de plaisir, lui dit combien c'est bon.
Lui continue ses va et vient,me traite de femelle en chaleur,de pute, de sale pd. Puis se retire. me fait allonger sur le dos sur le tapis du sol. Sur ses instructions, je releve les jambes, écartes largement les cuisses en tirant. Il me baise a nouveau cette fois-ci en rentrant d'un seul coup.
je tiens mes cuisses avec mes mains pour les garder bien ecarteés. Il me baise tres fort, et en mêmme temps a attrapé ma bite, la serre tres fort en la branlant.


Je ne sais plus ou je suis, je geins , râle, cri, je sens sa grosse queue me faire tant de bien et sa main aussi. Son ventre claque sur mes fesses.
"C'est comme ça qu'on doit baiser les femelles de ton espéce", je sens que je vais jouir, je le dis. "Vas y gicle toi dessus, ce que je fais. Rapidement il se retire,
se branle et m'envoie toute sa purée sur le visage.
Il me leche le visage, m'embrasse, on met un certain temps a revenir sur terre.


Puis il se rhabille, je le raccompagne, on s'embrasse a nouveau et je lui dis que pour les assurances, je n'ai pas tout compris!!! qu'il va falloir qu'il revienne. Depuis j'attends son coup de fil qui devrait venir lundi prochain m'a -t-il dit!!!

mercredi 6 octobre 2010

Hôtel de la plage

Le déjeuner fut excellent. Nous nous regardions dans les yeux, oublieux du reste du monde.Un couple élégant d’une quarantaine d’années déjeunait lui aussi à deux tables de nous. Je les observais du coin de l’oeil. Ils jetaient de fréquents regards vers notre table et chuchotaient en riant. Ils avaient l’air sympathique et ouvert. D’un coup, une bouteille de vin apparut sur notre table. La serveuse nous dit : « Ces messieurs/dames de la table à côté ».Nous remplîmes nos verres et nous tournâmes vers eux pour les saluer. « Vous êtes français ? » « Oui, mais venez donc à notre table et merci pour le vin ».Elle s’appelait Danièle, était petite rousse et pulpeuse. Lui Georges, les cheveux déjà légèrement argentés, d’allure sportive et décontractée. Ils étaient ici en vacances. Nous bûmes la bouteille puis une autre, puis des cafés. Ils habitaient l’hôtel de la plage depuis quelques jours. Georges nous avoua que depuis le balcon de leur chambre il nous avait vu dans l’eau avec ses jumelles, tout la bas à la fin des bouées. Ce qu’il avait vu lui avait bien plu (rires). Je regardai Franceska qui rosit. Nous étions maintenant à la fin de l’après midi. La plage, un désert. Plus de client dans la taverne. « On fait quoi ? » Demanda Georges. « Venez boire un verre dans notre chambre. Il y a une si belle vue du balcon ». Clin d’œil ? Je consultai ma femme du regard. Un battement de paupière. C’était oui.La vue de la terrasse était vraiment belle. Rien que la mer et dans le lointain cotonneux, l’île d’Aegina.La chambre était vaste, occupée par un lit géant. Georges saisit le téléphone intérieur et commanda une bouteille de champagne et des amuse-gueule. Il avait un Ipod qu’il branchât sur les baffles de la télé. Il avait bon goût en matière de musique. Le jour tombait lentement mais il n’alluma pas la lumière. La pénombre se fit plus épaisse. Danièle disparut un long moment dans la salle de bain. Elle revint enfin vêtue d’un déshabillé élégant, vaporeux, vaguement transparent. Elle s’allongea sur le lit, une jambe repliée sous elle. Georges alluma la lampe de chevet. Une douce lumière chaude et tamisée envahit la chambre.A part un pouf et une chaise, pas d’autres endroit pour s’asseoir. Franceska était assise sur le bord du lit, j’étais sur le pouf. Georges, le verre à la main, s’allongea à moitié sur le lit. Il avait enlevé ses chaussures. La conversation avait légèrement dérapée, plus que légèrement. Nous parlions maintenant de libération sexuelle. Enfin, Georges en parlait avec une certaine véhémence. Franceska me regardait, un léger sourire sur les lèvres. Je vis la main de Georges se posait d’abord sur le genoux de Danièle puis remonter lentement vers le haut de sa cuisse à demi dénudée. Danièle nous observait, les yeux mi-clos, les deux mains sur ses seins qu’elle semblait caresser.L’atmosphère se chargea lentement d’électricité. La tension érotique se fit palpable au fur et à mesure du temps écoulé et de la conversation de plus en plus chaude. La cuisse de Danièle était maintenant nue jusqu’à l’aine et quelques poils roux et bouclés dépassaient la bordure de son déshabillé. Sa main droite avait disparu à l’intérieur du vêtement et il était visible qu’elle se massait le sein et en pinçait le bout. Je vis le regard de Franceska se river sur ce spectacle. Elle passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres sèches. Je vins m’asseoir à son côté sur le lit.Georges saisit de ses doigts le bord du déshabillé et l’écarta entièrement dévoilant ainsi la nudité de Danièle qui écarta les jambes. Sa vulve nichée dans sa toison rousse nous apparut. Fascinés par cette image nous n’avions pas remarqué que Georges, profitant de notre émotion, avait débouclé sa ceinture et descendu la fermeture éclair de son pantalon de toile exposant ainsi son slip d’où débordait le bout enflammé de son gland. Je posai ma main sur le genoux de ma femme et le senti trembler sous mes doigts.Georges était maintenant positionné, à genoux, à la tête du lit. Sa verge dénudée frôlait la bouche de Danièle, une belle verge au gland violacé en forme de champignon. Danièle ouvrit la bouche et, très lentement la queue bandée s’y introduisit jusqu’à la racine. Des doigts de sa main droite, Danièle écarta les grandes lèvres sur l’univers nacré et rose de son con.C’en fut trop pour moi. Je me dressai et en deux secondes ma verge douloureuse et raide fut dehors. Franceska, les yeux fixés sur le spectacle, se laissa déshabiller entièrement. Sa respiration était rapide. Elle se mit à ramper sur le lit et bientôt son visage se trouva joue à joue avec Danièle, à quelques centimètres de la queue qui allait et venait dans sa bouche. Elle ne résista pas longtemps, sa main se saisit du membre et l’engouffra entre ses lèvres. Ma femme était couchée sur le côté contre Danièle sur le dos, les jambes écartées. Je me penchais d’abord sur la vulve grande ouverte de Danièle et me mis à la sucer. Dans le même temps, je plongeai deux doigts dans le vagin trempé de Franceska qui continuait à pomper la queue de Georges en alternance avec Danièle.Franceska souleva une cuisse m’invitant ainsi à la pénétrer ce que je fis, à genoux entre ses cuisses. Je vis la main de ma femme remplacer ma bouche sur le clitoris de Danièle, se mettre à le caresser, à le masser. Puis elle enfonça deux doigts en crochet dans le vagin béant, puis un troisième. Elle se mit à les faire aller et venir rapidement. Je pouvais entendre le bruit mouillé que cela produisait. Le quatrième doigt rejoignit les autres et enfin le pouce. Franceska avait désormais sa main enfoncée dans le vagin dilaté, il s'en fallait de peu pour qu'elle y disparût entièrement. Franceska faisait maintenant des mouvements de rotation, poussant lentement, cherchant à aller encore plus loin Je voyais ses jointures disparaître puis réapparaître gluants. Danièle se tordait de plaisir, elle n'allait pas tarder à exploser… Mais non, car Franceska retira sa main lentement, sa main trempée qu'elle tendit à ma bouche pour que je les nettoie, ce que je fis avec avidité.C'est alors que Georges intervint. Il fit mettre Danièle à quatre pattes, en 69 avec Franceska, et lui lécha longuement l'anus. Danièle avait la tête entre les cuisses de ma femme. Elle regardait ma queue allait et venir lentement dans son vagin. De ses deux mains, elle écarta les grandes lèvres pour exposer totalement le clitoris. Elle poussa un long râle quand elle senti la queue de Georges pénétrer son anus puis elle se pencha et posa sa bouche sur le clitoris durci. J'imaginais ma femme caressant les testicules de Georges et alternativement caressant le clitoris de Danièle, introduisant de nouveau ses doigts dans le vagin brûlant, sentant la queue de Georges à travers la fine membrane du périnée.Ah, que le spectacle de nous quatre était excitant à voir! Je sortais parfois ma verge et la plongeais, humide, vernissée, dans la bouche de Danièle. Enfin, je me penchais, et réunissant le maximum de salive la déposais sur l'anus de ma femme. Je soulevais son bassin et disposais un coussin sous ses reins puis je pris ses jambes et les levai bien écartées. Je vis le visage de Danièle envahir la vulve qu'elle se mit à laper. Ma queue pénétra lentement l'anus. Je restai un long moment immobile au fond de ce rectum dont je sentais les contractions spasmodiques.Brusquement je vis frémir les épaules de Danièle. Tout son corps se mit à trembler. Un son étouffé sorti de sa bouche toujours collée à la vulve de FranceskaDans le même temps, je vis un long jet de sperme atterrir sur son dos, puis un deuxième. Cela porta mon excitation au paroxysme. Je fis quelques aller retours rapides et éjaculai sur le visage de Danièle. Mon sperme s'écoula sur la vulve de ma femme et Danièle s'empressa de le lécher. Restait Franceska qui s'était emparée de la verge de Georges, libérée, encore dur, et la tétait gloutonnement Nous la caressâmes tous les trois jusqu'à ce qu'enfin, elle aussi soit submergé par un long orgasme…

dimanche 3 octobre 2010

Veuve de hockey ? Nous avons la solutions mesdames...

Mon époux est un grand admirateur de Hockey et bien sûr à chaque partie que l'équipe locale joue, je deviens une veuve de hockey, dans le sens que plus rien de compte pour lui que de regarder la partie qui est toujours télédiffusée. Généralement, mon époux invite son bon ami Luc à venir écouter la partie sur notre écart géant dans le sous-sol et la conjointe de Luc, Lucie, demeure seule à son domicile, elle aussi victime du hockey.Cette semaine, j'ai décidé d'inviter Lucie à venir faire les boutiques avec moi. Nous nous sommes rendus dans une boutique du centre commercial local. Cette boutique à la particularité d'avoir de grandes salles d'essayage. Comme nous désirions nous donner mutuellement nos opinions sur les vêtements que l'on voulait acheter, nous avons pris la même cabine pour essayer le linge. Quant j'ai vu Lucie avec uniquement sa petite culotte et son soutient gorge, je l'ai trouvé très jolie. C'est vraiment une très belle femme et une drôle de sensation m'a passé dans le corps. Ainsi quand elle m'a demandé de l'aider à ajuster la robe qu'elle essayait, j'ai accepté immédiatement. J'aimai quant dans mes mouvements, mes seins se frottaient sur son corps ou quant en lui mesurant la taille, me lèvres ont passé dans son coup. Son parfum remplissait la pièce et j'aimais cela. Je ne pus me retenir de lui dire qu'elle était très belle et je crois qu'elle a beaucoup apprécié. Car quand elle a enlevé sa robe, j'ai remarqué que ses petites culottes étaient mouillées au centre en avant. Par la suite, nous sommes retournés chacune dans nos maisons.La semaine suivante, une autre soirée où nous étions veuves de hockey, nous avons convenu de nous rendre chez l'esthéticienne ensemble pour une séance d'épilation du bikini. Nous discutions de différents sujets, en attentes pour le traitement. Nous étions en petites culottes et Lucie me disait qu'elle hésitait à faire faire faire la zone du vagin. Je lui dis que ça valait la peine, car je l'avais déjà fait faire. Elle m'a demandé si elle pouvait regarde, bien sûr que je lui dis et j'ai baissé ma petite culotte. Elle trouvait cela beau et m'a demandé si elle pouvait toucher pour voir la douceur que ça donne. Pour toute réponse, je lui ai pris la main et lui est mis sur ma vulve. Elle toucha et apprécia . Toutefois, moi ça m'excitait et j'ai lubrifié durant ce temps. Bien sûr, elle c'en est aperçu , mais elle continua à passer sa main tout en s'arrêtant sur mon clitoris. C'est là que j'ai compris que je la désirais et qu’elle aussi me désirait ( même si nous n'avions jamais vécu d'expérience lesbienne ). Sur l'entretemps, l'esthéticienne arriva et cela mit une fin rapide à nos fantasmes. À la sortie du salon, je lui ai murmuré avant de la quitter qu’à la prochaine partie de hockey, j'aimerai l'invité à un endroit spécial et elle accepta.Donc à fin de semaine suivant, quand les gars se sont installés devant l'écran pour écouter la partie, moi et Lucie sommes partis ensemble. Je lui dis que j'aimerai une petite séance de massage. Elle a accepté et je l'ai amené à un spa santé proche de mon domicile. Les massages furent excellents et par la suite nous avions comme une petite chambre juste pour nous pour relaxer. Nous étions nus en dessous de notre robe de chambre et Lucie entrepris de me montrer l'épilation qu'elle c'était faire depuis notre dernière rencontre dans la zone pubienne. Elle se coucha sur le lit et ouvras sa robe de chambre. Tranquillement, j'ai touché à sa peau fraichement épilée avec ma main, et par la suite, je me suis mis à masser son clitoris. Elle s’est mise à lubrifier abondamment et maintenant j'avais la conviction qu'elle désirait aller plus loin dans notre aventure. Donc je me suis approché de ses lèvres et j'ai commencé à l'embrasser comme mon amoureuse. Par la suite, nous nous sommes mutuellement mangé les seins et surtout les mamelons avec une tendresse que jamais nos hommes ne pourraient nous donner. Graduellement, je suis descendu jusqu'à son vagin et j'ai entrepris de la manger. Quel délice que de gouter ce délicieux nectar naturel que dégage notre corps avec l'excitation. Ma langue a entrepris de jouer avec son clitoris et ça ne fut pas très long avec l'excitation qu'elle ait joui tout en faisant attention à ne pas crier trop fort, car nos voisins n'étaient pas loin. Par la suite ce fut à mon tour de gouter à ce plaisir de se faire manger par une femme et j'ai adoré. Nous sommes demeuré de longue minute enlacée en amoureuse, mais comme toute bonne chose à une fin , nous dure retourner à nos maisons avec la promesse de recommencer.Ainsi à chaque partie nous nous retrouvions dans un hôtel, motel ou autre. Même qu’a quelques reprises nous nous rendions dans le cartier gai pour marcher main dans la main comme des amoureuses que nous étions devenus et montrer au monde notre amour en s'embrassant en public. Nous étions bisexuel, ainsi le sexe pur et dur avec nos hommes et la tendresse entre nous. Toutefois, cela devrait rester secret.