mardi 4 janvier 2011

Un appel longue distance


 

Je trouve le temps tellement long depuis que tu es parti là bas. Deux semaines à travailler loin, dans une autre province. Mon coeur n’en peut plus de t’attendre, et mon corps non plus. Je me suis souvent touché, je dirais même de quatre à cinq fois par jour, mais ce n’est jamais assez. J’ai tellement envie de toi.
Un soir, la solitude me pesant trop, j’invite ma copine Annick. Depuis le temps qu’on se connaît, elle saura me changer les idées. Nous louons des films, préparons des cocktails et nous installons sur le divan. Le film est bon, mais l’histoire d’amour fait que je m’ennuie encore plus de toi. Annick doit s’en apercevoir car elle me regarde d’un air désolé.
- Je m’excuse, je n’ai pas pensé en louant ce film. Il te manque n’est ce pas?
- Plus que tu ne peux l’imaginer. Pour le côté coeur, je n’y peux rien, et pour le côté corps, j’ai bien essayé, avec mes doigts, en regardant des films, avec mon vibrateur, dans la douche, dans le bain, mais rien n’y fait.
- Et bien j’ai un conseil à te donner. Installe toi dans ton lit, habillée bien sexy, avec tous les jouets sexuels que tu as, et appelle ton copain. Dis lui comment tu es habillée et tout et à quel point il te manque. Tu verras, ça va faire son effet.
J’affiche un air choqué mais l’idée trotte dans ma tête.

Le soir, je prends une longue douche, utilise un gel douche parfumé à la lavande, me rase partout et me caresse même un petit peu. J’enfile ensuite mon plus sexy déshabillé, ton préféré d’ailleurs, celui en dentelle blanche, avec les cordons mauves et les bas aux cuisses. Je me maquille, me coiffe et mets mes bijoux les plus dispendieux. Je me trouve belle, désirable et je suis plus en manque que jamais. Je sors mon vibrateur, mon huile à massage et des photos de toi. Je regarde l’heure, plus que cinq minutes avant que tu ne m’appelles. J’allume quelques chandelles et ferme les lumières. Je suis nerveuse mais en même temps excitée. Je repense à ce que je veux te dire, je revois des scénarios dans ma tête et je m’installe confortablement.
Le téléphone sonne enfin. Je tremble mais est ce de nervosité ou bien de désir? Je ne sais trop. Je prends le combiné :
-Salut mon amour. Comment vas tu?
Ma voix douce et langoureuse me surprend moi même. À ta réponse, je sais que tu as aussi saisi que quelque chose n’était pas comme d’habitude.
-Salut ma chérie. Je vais bien merci et toi tu sembles bien aller aussi, ta voix est un ton plus grave. Je dirais même qu’elle me semble plus sensuelle qu’à l’habitude.
-Pas juste la voix mon amour, tout ce soir est plus sensuel. Tu me manques tant ...
Le soupir qui termine ma phrase en dit long autant sur la sincérité de mes paroles que sur l’état dans lequel je suis.
-En attendant ton appel, j’ai pris une douche, j’ai mis ton déshabillé préféré, allumé des chandelles et sorti quelques trucs qui me feront penser encore plus à toi, si tu vois ce que je veux dire. Il ne me manquait que ta voix.
Je t’entends avaler bruyamment, signe que tu as compris où je voulais en venir.
-Donc en ce moment tu portes ce que je t’ai offert à la St-Valentin et c’est tout? Wow, j’aimerais tant être là avec toi ma puce.
-Mais tu peux l’être en pensée et en voix mon chéri. J’ai tellement envie de toi tu sais, tu me manques c’est fou. J’entends ta voix et je sens ma chatte qui mouille déjà.
-Hummm ma chérie, j’aimerais tellement être là avec toi en ce moment. Je pourrais t’admirer longuement à la lueur des chandelles, car je suis certain que tu les as allumées. Je pourrais sentir ton parfum et goûter tes lèvres.
-Tu sais que je suis toute à toi mon amour. Tu me manques tant. J’ai envie de sentir tes lèvres sur les miennes, descendre dans mon cou et lentement glisser vers mes seins. Si tu voyais à quel point mes mamelons sont durs en ce moment mon chéri.
-Oh bébé je les embrasserais à travers la dentelle et finirait pas en sortir un pour pouvoir le lécher. J’aime tant tes seins qui réagissent au quart de tour à ma langue et à mes caresses. Prends le dans ta main pour moi s’il te plait et caresses ton mamelon du bout d’un doigt que tu suceras avant.
Je lui fais entendre le bruit de succion et dépose mon doigt dégoulinant de salive sur mon mamelon tout dur. Je suis déjà si excitée que ce simple geste me fait gémir. Mon chéri ne manque pas de l’entendre.
-Oh oui mon amour, je veux entendre ton plaisir à défaut de le voir. Mets moi sur le haut parleur pour pouvoir te caresser librement ma puce.
Ce que je fais et aussitôt je retourne à mes seins.
-Maintenant ma chérie, ouvre tes cuisses en repliant les genoux, comme quand tu t’offres à moi. Je voudrais tellement admirer l’objet de mon plaisir. Glisse une main doucement sur ton ventre et pose la sur ta chatte.
-Hummm mon amour, j’aime quand tu me caresses et quand tu me guides dans mes caresses. Déshabilles toi pour moi et caresses toi s’il te plait.
-C’est déjà fait ma puce, je n’aurais jamais pu me retenir en t’entendant. Je t’ai aussi mis sur le haut parleur et passe une main sur mon torse tout en me caressant les couilles de l’autre.



-Ma bouche s’ennuie tellement de tes lèvres, de ton corps, de ton sexe mon chéri. J’aurais tant besoin de t’embrasser, de lécher ton torse et terminer en engouffrant ton sexe tout dur. Sentir tes doigts agripper légèrement mes cheveux pour me donner ton rythme. Et j’ai même envie de te sentir pousser un peu plus, pour t’engouffrer au fond de ma gorge.

Je ne pensais pas faire autant de bruit mais j’ai réveillé Annick qui dormait au salon. Je la vois entrer dans la chambre, vêtue d’une camisole et d’un string. Wow, je trouvais qu’elle était belle mais là, j’en ai le souffle coupé. Elle me fait signe de ne rien dire à son sujet en mettant un doigt sur ses lèvres et s’approche doucement de moi. L’excitation monte d’un cran, et même de trois ou quatre crans. Elle est maintenant à coté de moi et me caresse le ventre doucement. Ses mains remontent vers mes seins et elle les effleure du bout des doigts. Je pousse un gémissement. Elle est très excitée elle aussi et ne peut résister à la tentation d’y goûter. Elle sort la langue et fais des cercles sur mon mamelon avant de le prendre entre ses lèvres et le sucer comme un bébé. Hummmmm c’est si bon, si doux. Ma chatte mouille encore plus à ce moment là.

- Ma chérie, j’aime t’entendre gémir. Continues de te caresser. Mouille tes doigts dans ta chatte et glisse les sur tes mamelons pour moi.
- Daccord mon amour !

Aussitôt, Annick enfonce deux doigts dans ma chatte trempée et les roule sur un mamelon, avant de passer au suivant. Je soupire et je gémis
- Hummmm c’est tellement bon, mes mamelons sont durs, bien bandés. J’aime cette caresse.
- C’est bon ma puce, continue. Suce tes doigts et recommence avec ta salive maintenant.
Annick mets ses doigts dans ma bouche et je les suce comme si c’était une queue. Ensuite, je les enduis de salive et elle retourne caresser mes mamelons qui sont si durs qu’ils vont exploser. Je pousse un petit cri de plaisir, ce qui ne manque pas d’allumer mon homme à l’autre bout du fil.
- Ma chérie, maintenant, mouille tes doigts à nouveau et va frotter ton clito. Je veux que tu m’imagines en train de te regarder te masturber. Tu es si belle ma p’tite chatte.
- Daccord mon amour, j’aime que tu me regardes, j’aime lire le désir dans tes yeux.
Comme je descend mes mains vers ma chatte, Annick me retient pas les poignets en me faisant non de la tête et elle va se mettre au pied du lit.
J’ai les jambes bien écartées et la chatte tellement mouillée. Je la vois s’approcher et sa tête disparaît entre mes cuisses. Elle sort la langue et la roule sur mon clito. Il est déjà bien gonflé mais elle réussit à le faire durcir et grossir à un point tel qu’il sort maintenant de ma chatte. Elle le lèche et le suce comme si c’était une queue, la salope. Et elle aime ça. Elle me lape comme une chienne et moi je gémis et me plains en cochonne que je suis.
- Bien mon amour, je vois que tu commences à devenir cochonne, en plein comme je te connais. Continues, accélères un peu le rythme, excites moi mon bébé.

Alors Annick accélère le rythme et elle appuie avec sa langue tout en la tournant sur mon clito. Mon ventre tremble et elle en rajoute, petite chienne. Elle me suce le clito, le mordille, le lèche. Je lui prends les cheveux et lui enfonce le nez dans ma chatte. Je suis près de jouir.
- Ah ouiiiiiii c’est bon je vais jouir hummmmm OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!!!!

Annick lèche tout, elle prend tout avec sa langue et vient poser mon jus sur mes lèves. Je me lèche les lèvres, c’est si bon.
- Hummm ma chérie, tu es si excitante quand tu jouies bébé.

J’ai tant envie de toi et tu me manques tant, mais la jouissance qu’Annick me fait connaître est si forte. J’écoute ta voix et profites des caresses d’Annick qui suce mes seins tout doucement.
Nous raccrochons le téléphone, tu dois aller dormir et nous promettons de nous rappeler demain. Mais dès que le téléphone est raccroché, ce que tu ne sais pas, c’est qu’Annick s’agenouille au dessus de mon visage et m’offre sa chatte. C’est à mon tour de la faire jouir maintenant.

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